Actualités de l'Urgence - APM

15/11 2018
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: MATERNITÉ DES BLUETS (PARIS), CLINIQUE BOYER À VILLENEUVE-SAINT-GEORGES (VAL-DE-MARNE), CH D'ANTIBES, AP-HP, CH D'ARGENTEUIL, CH DE QUINTIN-LAMBALLE (CÔTES-D'ARMOR), CHU DE BREST, GH SÉLESTAT-OBERNAI

Le 15 novembre 2018 (APMnews) -

ILE-DE-FRANCE: L'hôpital Pierre-Rouquès (maternité des Bluets) à Paris certifié au niveau B

PARIS - L’hôpital Pierre-Rouquès-Les Bluets, qui dispose d'une maternité de type 1 (2.812 accouchements en 2017), a été certifié au niveau B, avec une recommandation d'amélioration portant sur le management de la prise en charge médicamenteuse du patient, selon le rapport diffusé sur le site de la Haute autorité de santé (HAS).

A l'issue d'une première visite de certification en mai 2016 selon le référentiel V2014, la HAS avait prononcé la non-certification de l'établissement en plein conflit entre les personnels et l'Association Ambroise-Croizat (AAC), qui gère cet établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic) adossé à l'hôpital Trousseau (AP-HP), rappelle-t-on (cf dépêche du 27/09/2016 à 11:43).

La HAS avait alors identifié une obligation d'amélioration sur les droits des patients, le dossier patient, le management de la prise en charge du patient au bloc opératoire, le management de la prise en charge du patient en endoscopie et le management de la prise en charge du patient en salle de naissance. Elle avait aussi émis plusieurs réserves, notamment sur le management de la qualité et des risques, la gestion du risque infectieux, le parcours du patient et le management de la prise en charge médicamenteuse du patient.

L'association, qui négocie actuellement un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) avec plusieurs suppressions prévues à l'hôpital Pierre-Rouquès, s'est félicitée de ce résultat dans un communiqué diffusé mardi et a salué "le professionnalisme et l’engagement de tous les personnels".

"Ceci est un encouragement à poursuivre le travail engagé par les équipes depuis des années et à porter de nouveaux projets à partir des propositions faites par le tiers facilitateur qui ont recueillis l’assentiment des personnels de l’hôpital et du conseil d’administration de l’association, à l’unanimité" (cf dépêche du 26/10/2018 à 12:51), note-t-elle.

ILE-DE-FRANCE: Diminution de la prévalence des patients avec infection nosocomiale à l'AP-HP depuis 2012

PARIS - L'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) connaît une baisse de la prévalence des patients avec infection nosocomiale depuis 2012, selon les résultats du CHU obtenus dans le cadre de l'enquête nationale de prévalence, communiqués lors de la réunion de la commission médicale d'établissement (CME) du 6 novembre.

L'enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales et des traitements anti-infectieux en établissements de santé conduite par Santé publique France porte sur "un jour donné" entre le 15 mai et le 30 juin 2017 (cf dépêche du 04/06/2018 à 13:23).

Au sein de l'AP-HP, 21 hôpitaux ont participé à cette enquête, qui a inclus 9.098 patients en hospitalisation complète, soit 45% des lits de l’AP-HP. Parmi eux, 65% étaient en médecine, chirurgie, obstétrique (MCO) et 35% en soins de suite et de réadaptation (SSR), soins de longue durée (SLD) et psychiatrie.

"On constate une baisse de la prévalence des patients avec infection nosocomiale et une légère baisse de ceux traités par antibiotiques. L’attention est appelée sur la nécessité de limiter les cathéters veineux périphériques au strict nécessaire afin de diminuer le risque infectieux", relate le compte rendu de la CME.

Les résultats montrent que, un jour donné à l’AP-HP, 6,5% des patients avaient une infection nosocomiale, soit une diminution de 20% depuis 2012 (contre une stabilité sur le plan national et une prévalence des patients infectés de 7,4% en 2017 dans les CHR-CHU). La prévalence des patients traités par antibiotiques a diminué de 9%.

PACA: Le CH d'Antibes inaugure un nouvel espace de chirurgie ambulatoire

ANTIBES (Alpes-Maritimes) - Le centre hospitalier (CH) d'Antibes Juan-les-Pins a inauguré jeudi une nouvelle unité de chirurgie ambulatoire (UCA) d'une capacité de 14 places, a annoncé mercredi l'établissement dans un communiqué.

Cette unité remplace l'ancienne unité ambulatoire du CH d'une capacité de 10 places et d'une surface de 100 m² qui a depuis été fermée.

La nouvelle unité est plus vaste (300 m²) et comprend 8 places dans des boxes, dont un box double, pour plus d'intimité et de confort quand les espaces patients de l'ancienne unité "étaient séparés par des rideaux", a précisé mercredi à APMnews la direction de l'hôpital.

Depuis son ouverture en octobre, elle a accueilli en moyenne 73,5 patients par semaine (hors vacances scolaires), soit une augmentation de 13,8% de l'activité ambulatoire, pour une durée de séjour comprise entre 2 et 6 heures.

Les travaux ont duré entre décembre 2017 et juillet, pour un coût total de 1,5 million d'euros.

ILE-DE-FRANCE: La clinique Boyer, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), certifiée de niveau A

VILLENEUVE-SAINT-GEORGES (Val-de-Marne) - La Haute autorité de santé (HAS) a attribué à la clinique Boyer, du groupe Almaviva Santé, une certification de niveau A, a fait savoir le groupe mardi dans un communiqué.

La décision de la HAS, rendue selon la procédure V2014, a été mise en ligne fin octobre sur son site.

"Cette année, la qualité du parcours du patient était le point central de l’observation des experts de la Haute autorité de santé", note Annabelle Roque, directrice de la clinique Boyer, citée dans le communiqué. "Le suivi du patient est un domaine où nous sommes particulièrement performants; en effet, nous disposons d’un dossier informatisé à 100% qui permet un suivi en temps réel et un échange d’informations très efficace entre les équipes médicales et les hôpitaux partenaires".

La directrice met également en avant "la présence sur place de tous les paramédicaux: kinésithérapeutes, diététiciennes, assistantes sociales et psychologues, qui accompagnent les patients et favorisent la continuité des soins".

Spécialisée dans les soins de suite et de réadaptation (SSR) de cancérologie et polyvalents, la clinique Boyer dispose de 45 lits de soins de suite polyvalents et de 15 lits de soins de suite pour l’activité du cancer. Pour les soins de suite de gériatrie et polyvalents, elle "assure les prises en charge de chirurgie orthopédique, viscérale, vasculaire et orthopédique, de cardiologie médicale et interventionnelle et de médecine gériatrique", précise le communiqué.

ILE-DE-FRANCE: Le CH d'Argenteuil certifié de niveau B

ARGENTEUIL (Val d'Oise) - Le CH Victor-Dupouy d’Argenteuil a obtenu une certification de niveau B (selon la procédure V2014) par la Haute autorité de santé (HAS), dont la décision a été mise en ligne mercredi.

La seule recommandation d’amélioration émise dans le rapport de certification porte sur le dossier patients.

En mars 2017, la HAS avait attribué à l’établissement une certification avec des obligations d'amélioration (C) en matière de droits des patients et de management de la prise en charge médicamenteuse du patient et une recommandation d'amélioration sur le dossier patient.

BRETAGNE: Côtes-d'Armor: le CH de Quintin-Lamballe fusionné maintient sa certification de niveau A

QUINTIN (Cotes-d'Armor) - Le centre hospitalier du Penthièvre et du Poudouvre (CH2P), issu de la fusion au 1er janvier 2017 du CH de Quintin et du CH de Lamballe, a été certifié de niveau A par la Haute autorité de santé (HAS) dans le cadre de la V2014, selon un rapport mis en ligne cette semaine par la HAS.

Les deux CH, avant la fusion avaient déjà obtenu chacun une certification de niveau A. Cet hôpital local comporte 102 lits et places et emploie 237 personnes, avec des activités de médecine, de soins de suite et de réadaptation (SSR) et une unité de soins de longue durée (USLD). Il fait partie du GHT d'Armor qui a fait l'objet d'une démarche de certification commune datant de la communauté hospitalière de territoire (CHT).

BRETAGNE: Finistère: l'hélicoptère du Samu intervient désormais 24 heures sur 24

RENNES - L'agence régionale de santé (ARS) Bretagne a autorisé le CHU de Brest à pérenniser le fonctionnement 24 heures sur 24 de l'hélicoptère du Samu 29 (Finistère) à la suite d'une expérimentation, a annoncé l'agence jeudi dans un communiqué.

Alors qu'il n'intervenait qu'en journée, l'hélicoptère du Samu 29 peut désormais intervenir 24 h/24. Cette autorisation vise à renforcer les moyens engagés au titre de l'aide médicale urgente et d'assurer une meilleure couverture territoriale, notamment pour les zones situées à plus de 30 minutes de Brest comme les îles, le nord Finistère et la presqu'île de Crozon.

Cette disposition a été expérimentée de début juillet à octobre et a montré la pertinence du dispositif, explique l'ARS. L'hélicoptère est sorti en moyenne 15 fois par mois entre 22h et 8h. Dans 80% des cas, les interventions ont eu lieu sur des zones situées à plus de 30 min de Brest (Crozon, Cap Sizun, Morlaix,...) et 25% concernaient un transfert nocturne inter-hospitalier pour des patients nécessitant d'être acheminés en urgence au CHU de Brest. De plus, l'activité de cet hélicoptère permet de maintenir disponibles les équipes du service mobile d'urgence et de réanimation (Smur) terrestre de Quimper, Morlaix ou Carhaix sur leurs territoires.

"Le territoire dispose ainsi désormais d’un vecteur supplémentaire capable d’intervenir 24h/24 avec des délais d’intervention plus courts, non seulement pour effectuer des missions de Smur sur place mais aussi des transferts, si nécessaire, de patients depuis un centre hospitalier du Finistère vers un CHU [à] Brest, Rennes, Nantes ou Paris", commente l'ARS.

GRAND EST: Bas-Rhin: le GH Sélestat-Obernai reçoit la certification V2014 de niveau B

SÉLESTAT (Bas-Rhin) - Le groupement hospitalier Sélestat-Obernai (GHSO) a annoncé jeudi dans un communiqué avoir été certifié selon le référentiel V2014 par la Haute autorité de santé (HAS) en octobre.

En septembre 2017, l'hôpital avait été certifié de niveau C, avec une obligation d'amélioration concernant le management de la prise en charge médicamenteuse du patient.

La décision de la HAS avait également été assortie de recommandations concernant "la gestion du risque infectieux" et le "dossier patient", toujours présentes dans la dernière décision de la HAS.

"Le management et les équipes du GHSO se sont engagés dans la mise en œuvre d'actions d'amélioration qui ont permis de lever complètement la réserve", s'est félicité l'établissement. Le GH a annoncé va qu'il allait "poursuivre sa démarche d'amélioration continue de la qualité dans le cadre du plan d'action qualité et sécurité des soins" pour se préparer à certification V2020.

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Le 15 novembre 2018 (APMnews) -

ILE-DE-FRANCE: L'hôpital Pierre-Rouquès (maternité des Bluets) à Paris certifié au niveau B

PARIS - L’hôpital Pierre-Rouquès-Les Bluets, qui dispose d'une maternité de type 1 (2.812 accouchements en 2017), a été certifié au niveau B, avec une recommandation d'amélioration portant sur le management de la prise en charge médicamenteuse du patient, selon le rapport diffusé sur le site de la Haute autorité de santé (HAS).

A l'issue d'une première visite de certification en mai 2016 selon le référentiel V2014, la HAS avait prononcé la non-certification de l'établissement en plein conflit entre les personnels et l'Association Ambroise-Croizat (AAC), qui gère cet établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic) adossé à l'hôpital Trousseau (AP-HP), rappelle-t-on (cf dépêche du 27/09/2016 à 11:43).

La HAS avait alors identifié une obligation d'amélioration sur les droits des patients, le dossier patient, le management de la prise en charge du patient au bloc opératoire, le management de la prise en charge du patient en endoscopie et le management de la prise en charge du patient en salle de naissance. Elle avait aussi émis plusieurs réserves, notamment sur le management de la qualité et des risques, la gestion du risque infectieux, le parcours du patient et le management de la prise en charge médicamenteuse du patient.

L'association, qui négocie actuellement un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) avec plusieurs suppressions prévues à l'hôpital Pierre-Rouquès, s'est félicitée de ce résultat dans un communiqué diffusé mardi et a salué "le professionnalisme et l’engagement de tous les personnels".

"Ceci est un encouragement à poursuivre le travail engagé par les équipes depuis des années et à porter de nouveaux projets à partir des propositions faites par le tiers facilitateur qui ont recueillis l’assentiment des personnels de l’hôpital et du conseil d’administration de l’association, à l’unanimité" (cf dépêche du 26/10/2018 à 12:51), note-t-elle.

ILE-DE-FRANCE: Diminution de la prévalence des patients avec infection nosocomiale à l'AP-HP depuis 2012

PARIS - L'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) connaît une baisse de la prévalence des patients avec infection nosocomiale depuis 2012, selon les résultats du CHU obtenus dans le cadre de l'enquête nationale de prévalence, communiqués lors de la réunion de la commission médicale d'établissement (CME) du 6 novembre.

L'enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales et des traitements anti-infectieux en établissements de santé conduite par Santé publique France porte sur "un jour donné" entre le 15 mai et le 30 juin 2017 (cf dépêche du 04/06/2018 à 13:23).

Au sein de l'AP-HP, 21 hôpitaux ont participé à cette enquête, qui a inclus 9.098 patients en hospitalisation complète, soit 45% des lits de l’AP-HP. Parmi eux, 65% étaient en médecine, chirurgie, obstétrique (MCO) et 35% en soins de suite et de réadaptation (SSR), soins de longue durée (SLD) et psychiatrie.

"On constate une baisse de la prévalence des patients avec infection nosocomiale et une légère baisse de ceux traités par antibiotiques. L’attention est appelée sur la nécessité de limiter les cathéters veineux périphériques au strict nécessaire afin de diminuer le risque infectieux", relate le compte rendu de la CME.

Les résultats montrent que, un jour donné à l’AP-HP, 6,5% des patients avaient une infection nosocomiale, soit une diminution de 20% depuis 2012 (contre une stabilité sur le plan national et une prévalence des patients infectés de 7,4% en 2017 dans les CHR-CHU). La prévalence des patients traités par antibiotiques a diminué de 9%.

PACA: Le CH d'Antibes inaugure un nouvel espace de chirurgie ambulatoire

ANTIBES (Alpes-Maritimes) - Le centre hospitalier (CH) d'Antibes Juan-les-Pins a inauguré jeudi une nouvelle unité de chirurgie ambulatoire (UCA) d'une capacité de 14 places, a annoncé mercredi l'établissement dans un communiqué.

Cette unité remplace l'ancienne unité ambulatoire du CH d'une capacité de 10 places et d'une surface de 100 m² qui a depuis été fermée.

La nouvelle unité est plus vaste (300 m²) et comprend 8 places dans des boxes, dont un box double, pour plus d'intimité et de confort quand les espaces patients de l'ancienne unité "étaient séparés par des rideaux", a précisé mercredi à APMnews la direction de l'hôpital.

Depuis son ouverture en octobre, elle a accueilli en moyenne 73,5 patients par semaine (hors vacances scolaires), soit une augmentation de 13,8% de l'activité ambulatoire, pour une durée de séjour comprise entre 2 et 6 heures.

Les travaux ont duré entre décembre 2017 et juillet, pour un coût total de 1,5 million d'euros.

ILE-DE-FRANCE: La clinique Boyer, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), certifiée de niveau A

VILLENEUVE-SAINT-GEORGES (Val-de-Marne) - La Haute autorité de santé (HAS) a attribué à la clinique Boyer, du groupe Almaviva Santé, une certification de niveau A, a fait savoir le groupe mardi dans un communiqué.

La décision de la HAS, rendue selon la procédure V2014, a été mise en ligne fin octobre sur son site.

"Cette année, la qualité du parcours du patient était le point central de l’observation des experts de la Haute autorité de santé", note Annabelle Roque, directrice de la clinique Boyer, citée dans le communiqué. "Le suivi du patient est un domaine où nous sommes particulièrement performants; en effet, nous disposons d’un dossier informatisé à 100% qui permet un suivi en temps réel et un échange d’informations très efficace entre les équipes médicales et les hôpitaux partenaires".

La directrice met également en avant "la présence sur place de tous les paramédicaux: kinésithérapeutes, diététiciennes, assistantes sociales et psychologues, qui accompagnent les patients et favorisent la continuité des soins".

Spécialisée dans les soins de suite et de réadaptation (SSR) de cancérologie et polyvalents, la clinique Boyer dispose de 45 lits de soins de suite polyvalents et de 15 lits de soins de suite pour l’activité du cancer. Pour les soins de suite de gériatrie et polyvalents, elle "assure les prises en charge de chirurgie orthopédique, viscérale, vasculaire et orthopédique, de cardiologie médicale et interventionnelle et de médecine gériatrique", précise le communiqué.

ILE-DE-FRANCE: Le CH d'Argenteuil certifié de niveau B

ARGENTEUIL (Val d'Oise) - Le CH Victor-Dupouy d’Argenteuil a obtenu une certification de niveau B (selon la procédure V2014) par la Haute autorité de santé (HAS), dont la décision a été mise en ligne mercredi.

La seule recommandation d’amélioration émise dans le rapport de certification porte sur le dossier patients.

En mars 2017, la HAS avait attribué à l’établissement une certification avec des obligations d'amélioration (C) en matière de droits des patients et de management de la prise en charge médicamenteuse du patient et une recommandation d'amélioration sur le dossier patient.

BRETAGNE: Côtes-d'Armor: le CH de Quintin-Lamballe fusionné maintient sa certification de niveau A

QUINTIN (Cotes-d'Armor) - Le centre hospitalier du Penthièvre et du Poudouvre (CH2P), issu de la fusion au 1er janvier 2017 du CH de Quintin et du CH de Lamballe, a été certifié de niveau A par la Haute autorité de santé (HAS) dans le cadre de la V2014, selon un rapport mis en ligne cette semaine par la HAS.

Les deux CH, avant la fusion avaient déjà obtenu chacun une certification de niveau A. Cet hôpital local comporte 102 lits et places et emploie 237 personnes, avec des activités de médecine, de soins de suite et de réadaptation (SSR) et une unité de soins de longue durée (USLD). Il fait partie du GHT d'Armor qui a fait l'objet d'une démarche de certification commune datant de la communauté hospitalière de territoire (CHT).

BRETAGNE: Finistère: l'hélicoptère du Samu intervient désormais 24 heures sur 24

RENNES - L'agence régionale de santé (ARS) Bretagne a autorisé le CHU de Brest à pérenniser le fonctionnement 24 heures sur 24 de l'hélicoptère du Samu 29 (Finistère) à la suite d'une expérimentation, a annoncé l'agence jeudi dans un communiqué.

Alors qu'il n'intervenait qu'en journée, l'hélicoptère du Samu 29 peut désormais intervenir 24 h/24. Cette autorisation vise à renforcer les moyens engagés au titre de l'aide médicale urgente et d'assurer une meilleure couverture territoriale, notamment pour les zones situées à plus de 30 minutes de Brest comme les îles, le nord Finistère et la presqu'île de Crozon.

Cette disposition a été expérimentée de début juillet à octobre et a montré la pertinence du dispositif, explique l'ARS. L'hélicoptère est sorti en moyenne 15 fois par mois entre 22h et 8h. Dans 80% des cas, les interventions ont eu lieu sur des zones situées à plus de 30 min de Brest (Crozon, Cap Sizun, Morlaix,...) et 25% concernaient un transfert nocturne inter-hospitalier pour des patients nécessitant d'être acheminés en urgence au CHU de Brest. De plus, l'activité de cet hélicoptère permet de maintenir disponibles les équipes du service mobile d'urgence et de réanimation (Smur) terrestre de Quimper, Morlaix ou Carhaix sur leurs territoires.

"Le territoire dispose ainsi désormais d’un vecteur supplémentaire capable d’intervenir 24h/24 avec des délais d’intervention plus courts, non seulement pour effectuer des missions de Smur sur place mais aussi des transferts, si nécessaire, de patients depuis un centre hospitalier du Finistère vers un CHU [à] Brest, Rennes, Nantes ou Paris", commente l'ARS.

GRAND EST: Bas-Rhin: le GH Sélestat-Obernai reçoit la certification V2014 de niveau B

SÉLESTAT (Bas-Rhin) - Le groupement hospitalier Sélestat-Obernai (GHSO) a annoncé jeudi dans un communiqué avoir été certifié selon le référentiel V2014 par la Haute autorité de santé (HAS) en octobre.

En septembre 2017, l'hôpital avait été certifié de niveau C, avec une obligation d'amélioration concernant le management de la prise en charge médicamenteuse du patient.

La décision de la HAS avait également été assortie de recommandations concernant "la gestion du risque infectieux" et le "dossier patient", toujours présentes dans la dernière décision de la HAS.

"Le management et les équipes du GHSO se sont engagés dans la mise en œuvre d'actions d'amélioration qui ont permis de lever complètement la réserve", s'est félicité l'établissement. Le GH a annoncé va qu'il allait "poursuivre sa démarche d'amélioration continue de la qualité dans le cadre du plan d'action qualité et sécurité des soins" pour se préparer à certification V2020.

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