Actualités de l'Urgence - APM

20/08 2021
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CENTRE ANTOINE-LACASSAGNE DE NICE, CHU DE DIJON

Le 20 août 2021 (APMnews) -

PACA: Le Centre Antoine-Lacassagne de Nice a mené une consultation de son personnel sur la QVT

NICE - Le centre de lutte contre le cancer (CLCC) Antoine-Lacassagne de Nice a conduit une "démarche participative" sur la qualité de vie au travail (QVT) en recueillant l'avis des personnels sur la question, a annoncé l'établissement dans un communiqué.

Cette démarche a été menée avec l'Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact) et son pendant régional, l'Aract Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca).

"L'ensemble des salariés du centre a été interrogé, en juin, de manière anonyme et confidentielle, au travers d’un e-questionnaire dit GPS (gestion des perspectives sociales) sous forme de 32 questions fermées ainsi qu’une question ouverte", explique le CLCC.

"La valeur scientifique de cette démarche nationale s’appuie sur le concours méthodologique de l’université de psychologie de Bordeaux mais aussi sur le nombre important de structures (78 structures à ce jour) qui participent à cette démarche en utilisant le même outil", poursuit l'établissement.

Les résultats du questionnaire "permettront d'établir un plan d'actions et également d'orienter les négociations avec les partenaires sociaux", précise-t-il.

En 2018, le CLCC avait créé une cellule QVT composée de psychologues, d'assistantes sociales et de médecins formateurs en qualité de vie au travail.

"Cette cellule traite de nombreux dossiers individuels et accompagne les salariés dans le champ du logement, de l'adaptation des postes de travail, du retour ou maintien dans l’emploi, en cas de situation de handicap ou de besoin de soutien psychologique, face à des difficultés d'ordre personnel ou collectives", explique l'établissement.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE: Le CHU de Dijon entame la construction d'un nouveau bâtiment pour les urgences

DIJON - Le CHU de Dijon commence fin août un grand chantier pour construire un nouveau bâtiment pour les urgences, d'un montant de 5 millions d'euros (M€), a annoncé la direction dans un communiqué.

A partir du mardi 24 août, les accès aux urgences adultes seront transitoirement modifiés car le chantier démarrera pour quinze mois afin de construire le futur bâtiment Bocage Central Nord-Est (BCNE), un nouveau centre pour l'accueil et la prise en charge des situations d'urgence (cf dépêche du 15/02/2021 à 17:08).

Il s'agit d'un "complexe architectural sur quatre niveaux, spacieux et en parfaite harmonie avec les codes couleur déjà utilisés sur la face nord de l'établissement", explique le CHU.

Bâtiment Bocage Central Nord-Est
Bâtiment Bocage Central Nord-Est

Le rez-de-jardin sera réservé à l'accueil des urgences pédiatriques et adultes dans un espace relié à l'hôpital d'enfants et au bâtiment Bocage Central. Au rez-de-chaussée sera installée l'unité interventionnelle thérapeutique brève de prévention en santé mentale (UITB), un service concentré sur la prévention des conduites suicidaires (passage à l'acte et récidive), qui se différencie des unités d'hospitalisation psychiatrique classiques. L'UITB sera volontairement une structure ouverte de 12 lits organisés en 4 chambres doubles et 4 chambres simples.

Le "rez-de-chaussée +1" sera une extension du secteur de prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) qui comporte 10 lits actuellement, dans la perspective d'augmentation de la capacité d'accueil du service à 15 lits. Ce niveau accueillera aussi la nouvelle unité de soins intensifs neuro-vasculaires (USI-NV), d'hospitalisation complète.

Le "rez-de-chaussée +2" sera dévolu à la prise en charge des troubles cognitifs. Il accueillera l'hospitalisation de jour cognitif, une unité innovante pour les maladies neuro-évolutives et pathologies du mouvement.

Le projet a été dessiné pour mieux dimensionner le secteur des urgences face à une demande croissante des soins, pour moderniser les conditions de travail des professionnels et maintenir une prise en charge optimale des patients, explique la direction.

L'enveloppe attribuée à ce projet s'élève à plus de 5 M€ dont 4,8 M€ financés sur fonds Feder dans le cadre du programme européen React-EU. Ce programme est piloté par la région Bourgogne-Franche-Comté et a reçu le soutien de l'agence régionale de santé (ARS) (cf dépêche du 30/03/2021 à 16:57).

/syl-sl/nc/APMnews

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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CENTRE ANTOINE-LACASSAGNE DE NICE, CHU DE DIJON

Le 20 août 2021 (APMnews) -

PACA: Le Centre Antoine-Lacassagne de Nice a mené une consultation de son personnel sur la QVT

NICE - Le centre de lutte contre le cancer (CLCC) Antoine-Lacassagne de Nice a conduit une "démarche participative" sur la qualité de vie au travail (QVT) en recueillant l'avis des personnels sur la question, a annoncé l'établissement dans un communiqué.

Cette démarche a été menée avec l'Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact) et son pendant régional, l'Aract Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca).

"L'ensemble des salariés du centre a été interrogé, en juin, de manière anonyme et confidentielle, au travers d’un e-questionnaire dit GPS (gestion des perspectives sociales) sous forme de 32 questions fermées ainsi qu’une question ouverte", explique le CLCC.

"La valeur scientifique de cette démarche nationale s’appuie sur le concours méthodologique de l’université de psychologie de Bordeaux mais aussi sur le nombre important de structures (78 structures à ce jour) qui participent à cette démarche en utilisant le même outil", poursuit l'établissement.

Les résultats du questionnaire "permettront d'établir un plan d'actions et également d'orienter les négociations avec les partenaires sociaux", précise-t-il.

En 2018, le CLCC avait créé une cellule QVT composée de psychologues, d'assistantes sociales et de médecins formateurs en qualité de vie au travail.

"Cette cellule traite de nombreux dossiers individuels et accompagne les salariés dans le champ du logement, de l'adaptation des postes de travail, du retour ou maintien dans l’emploi, en cas de situation de handicap ou de besoin de soutien psychologique, face à des difficultés d'ordre personnel ou collectives", explique l'établissement.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE: Le CHU de Dijon entame la construction d'un nouveau bâtiment pour les urgences

DIJON - Le CHU de Dijon commence fin août un grand chantier pour construire un nouveau bâtiment pour les urgences, d'un montant de 5 millions d'euros (M€), a annoncé la direction dans un communiqué.

A partir du mardi 24 août, les accès aux urgences adultes seront transitoirement modifiés car le chantier démarrera pour quinze mois afin de construire le futur bâtiment Bocage Central Nord-Est (BCNE), un nouveau centre pour l'accueil et la prise en charge des situations d'urgence (cf dépêche du 15/02/2021 à 17:08).

Il s'agit d'un "complexe architectural sur quatre niveaux, spacieux et en parfaite harmonie avec les codes couleur déjà utilisés sur la face nord de l'établissement", explique le CHU.

Bâtiment Bocage Central Nord-Est
Bâtiment Bocage Central Nord-Est

Le rez-de-jardin sera réservé à l'accueil des urgences pédiatriques et adultes dans un espace relié à l'hôpital d'enfants et au bâtiment Bocage Central. Au rez-de-chaussée sera installée l'unité interventionnelle thérapeutique brève de prévention en santé mentale (UITB), un service concentré sur la prévention des conduites suicidaires (passage à l'acte et récidive), qui se différencie des unités d'hospitalisation psychiatrique classiques. L'UITB sera volontairement une structure ouverte de 12 lits organisés en 4 chambres doubles et 4 chambres simples.

Le "rez-de-chaussée +1" sera une extension du secteur de prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) qui comporte 10 lits actuellement, dans la perspective d'augmentation de la capacité d'accueil du service à 15 lits. Ce niveau accueillera aussi la nouvelle unité de soins intensifs neuro-vasculaires (USI-NV), d'hospitalisation complète.

Le "rez-de-chaussée +2" sera dévolu à la prise en charge des troubles cognitifs. Il accueillera l'hospitalisation de jour cognitif, une unité innovante pour les maladies neuro-évolutives et pathologies du mouvement.

Le projet a été dessiné pour mieux dimensionner le secteur des urgences face à une demande croissante des soins, pour moderniser les conditions de travail des professionnels et maintenir une prise en charge optimale des patients, explique la direction.

L'enveloppe attribuée à ce projet s'élève à plus de 5 M€ dont 4,8 M€ financés sur fonds Feder dans le cadre du programme européen React-EU. Ce programme est piloté par la région Bourgogne-Franche-Comté et a reçu le soutien de l'agence régionale de santé (ARS) (cf dépêche du 30/03/2021 à 16:57).

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