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Suivi des donneurs potentiels décedés après arrêt cradiaque (DDAC)

Auteurs

E. Legeard (1), J. Libot (2), M. Cornuault (1), M. Videcoq (2), F. Berthier (3), G. Potel (4)

1. SAMU-Urgences, CHU de Nantes, France
2. Coordination des prélèvements, CHU de Nantes, France
3. SAMU, CHU de Nantes, France
4. Urgences, CHU de Nantes, France

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Introduction

Le prélèvement d’organes sur donneur en arrêt cardiaque est une activité récente qui justifie un suivi exhaustif pré-hospitalier des ACR 

Matériel et méthode

Suivi depuis 2008 (année de mise en place) des prises en charge smur de patients victimes d’arrêt cardiaque sans reprise d’activité cardiaque, âgés de 18 à 55 ans, pouvant être inclus DDAC.

Résultats

 

Discussion

L’objectif est de diminuer le nombre de donneurs potentiels non inclus pour atteindre une exhaustivité complète du recensement des donneurs potentiels et leur inclusion effective en DDAC. Il est nécessaire de reprendre les dossiers de PEC d’ACR afin d’évaluer si le patient décédé aurait pu être un donneur DDAC et de comprendre les raisons qui ont conduit les professionnels à ne pas penser au don d’organes. Les donneurs « oubliés » varient entre 3 et 6 par an. En 2012 les douze reins prélevés ont été greffés. Le renouvellement des équipes oblige à une formation initiale impérative des acteurs de soins. La réactualisation constante de la sensibilisation/formation sur la place du don d’organes en médecine d’urgence est essentielle. Un suivi rigoureux de l’activité permet de replacer le don comme une activité à part entière, véritable changement culturel en médecine d’urgence.

Conclusion

L’activité DDAC permet d’augmenter le nombre de greffe rénale (52 en 4 ans). Son suivi régulier permet d’optimiser cette activité récente.

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