Antihistaminiques H1 :
Eléments diagnostiques
La gravité de l'intoxication dépend du type de
molécule.
Anciens antihistaminiques et méquitazine
Le risque est lié à la sédation et aux
convulsions (surtout chez l'enfant)
- Nausées et vomissements peu fréquents (propriété
anti-émétique des anti-H1)
- Neurologiques, dans les 30 minutes à 2 heures
- Chez l'enfant plutôt excitation du SNC
- Agitation, troubles du comportement, ataxie
- Tremblements, myoclonies, convulsions pouvant être
répétées
- Troubles de la conscience : somnolence...
- Chez l'adulte plutôt dépression du SNC :
- Hallucinations, vertiges, troubles de la coordination
- Somnolence pouvant aller jusqu'au coma
- Hyperthermie
- Signes extrapyramidaux, dyskinésies orofaciales (phénothiazines
et pipérazines)
- Convulsions pouvant être répétées
- Atropiniques (ou anticholinergiques)
Cétirizine, lévocétirizine, loratadine,
desloratidine
Signes cliniques
- Possibilité de sédation et d'effets anticholinergiques
modérés à dose importante
- Aucun trouble cardiaque n'a été rapporté
Dimenhydrate
- Le dimenhydrate est formé de diphényldramine
et d'un sel de théophylline : aux effets antihistaminiques
s'ajoutent des signes d'intoxication par la théophylline
Ecran principal
Doses toxiques Caractéristiques
du produit Notions générales
Conduite à tenir
Réalisé sous la direction
du Pr Vincent Danel, Université Grenoble Alpes
Dernière révision : Novembre 2017