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21/01 2020
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CHI DE POISSY/SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (YVELINES): LE NOUVEAU BÂTIMENT EST BIENTÔT PRÊT

(Par Maryannick LE BRIS)

POISSY (Yvelines), 21 janvier 2020 (APMnews) - Le nouveau bâtiment médico-technique à Poissy du centre hospitalier intercommunal (CHI) de Poissy/Saint-Germain-en-Laye sera terminé en avril ou mai, conformément au calendrier de ce vaste projet immobilier, a expliqué sa directrice, Isabelle Leclerc, vendredi dans un entretien à APMnews, quelques jours après son discours de voeux.

Le nouveau bâtiment du site de Poissy, dont le chantier a été inauguré il y a deux ans, doit accueillir, en lien avec le projet médical de l'établissement, notamment l'activité d'hospitalisation complète, des urgences et de soins critiques du CHI (831 lits et 254 places), rappelle-t-on (cf dépêche du 23/01/2019 à 14:09).

Il doit s'étendre sur 19.000 m² (6 niveaux) et représente un coût global d'environ 71 millions d'euros (M€), pour un montant d'aides s'élevant à 43 M€.

A l'été, les services devant intégrer le nouveau bâtiment auront emménagé, a précisé Isabelle Leclerc lors de son discours de voeux, dont APMnews a eu copie. Sont concernés la maternité, le secteur naissance, la réanimation, l’unité de soins intensifs de cardiologie, l’unité de soins intensifs neurovasculaires, les urgences, l'assistance médicale à la procréation (AMP), la cardiologie, le service des maladies infectieuses et tropicales, ou encore la neurologie.

Le site de Saint-Germain-en-Laye va pour sa part devenir "un grand centre d'ambulatoire", réunissant son centre de consultations urgentes adultes, un plateau de consultations spécialisées, une activité de chirurgie ambulatoire et un hôpital de jour de médecine.

Le projet médical prévoit "que la plus grande partie de la chirurgie ambulatoire se fasse sur le site de Saint-Germain-en-Laye", a souligné Isabelle Leclerc auprès d'APMnews. Celle-ci "représente plus de 60% de l'activité chirurgicale" du CHI.

Le site disposera également d'un "important plateau technique d’imagerie, avec un appareil IRM qui va être implanté en 2021 et un scanner qui existe déjà, d'une activité de radiothérapie en partenariat public-privé et de médecine nucléaire avec des praticiens libéraux".

Du fait des surfaces libérées, une grande partie du site a été cédée pour un montant de 43 M€, la ville prévoyant de la transformer en lieu d'activités "autour de la santé et du bien-être" (cf dépêche du 15/07/2019 à 18:27).

Une chute des recettes liée aux difficultés de recrutement

En 2019, des travaux de mise en conformité de sécurité incendie ont été menés à Poissy et à Saint-Germain-en-Laye, pour un montant de 14 M€.

L'établissement doit désormais engager "la phase 2" de son projet immobilier. Celle-ci "consiste à rénover le bâtiment historique de Poissy, à transférer certaines activités logistiques et médico-techniques actuellement sur le site de Saint-Germain-en-Laye et à rénover la psychiatrie et le bloc opératoire à Poissy", a détaillé Isabelle Leclerc. Le financement de cette nouvelle étape doit encore être précisé.

La directrice a pointé que l'établissement a en 2019 investi dans le renouvellement ou l'acquisition de plusieurs équipements biomédicaux. "Nous avons installé une nouvelle salle cardiovasculaire interventionnelle, pour un coût de 2 M€, qui a remplacé une salle 'ancienne génération'".

"Nous avons acquis un automate de dernière génération pour l'analyse des frottis, installé sur le site de Mantes, destiné à l’ensemble des établissements du GHT [groupement hospitalier de territoire Yvelines Nord, dont le CHI est l'établissement support], et renouvelé le parc échographique des trois maternités du GHT", a-t-elle exposé.

L'établissement a également inauguré, en juin 2019, l'extension du laboratoire de biologie du site de Poissy, qui lui "a permis d’acquérir une chaîne automatisée ultramoderne pour réaliser des examens, notamment de biochimie et sérologie infectieuse". Les équipements du laboratoire ont représenté un coût de 3 M€.

Interrogée sur le résultat du CHI pour 2019, sa directrice a répondu qu'il était estimé "à ce stade" à 8 M€ sur l'activité principale, contre une prévision initiale de l’ordre de 6 M€ (pour un budget principal de 254 M€).

"Les charges de l’hôpital sont totalement maîtrisées, en revanche nous avons une diminution de nos recettes d’activité qui s’explique en grande partie par le fait que nous avons dû, dans certains secteurs, fermer des lits, à un moment donné, de manière plus ou moins durable, parce que nous manquions soit de médecins, soit de personnel paramédical", a-t-elle expliqué.

Cette baisse d'activité a entraîné "un manque à gagner de 4 M€", a chiffré Isabelle Leclerc. "En 2018, le déficit était proche de l’EPRD [état prévisionnel des recettes et des dépenses], qui était de l’ordre de 2 M€."

"Nous mettons tout en oeuvre pour recruter, nous avons mené beaucoup d’actions", a-t-elle fait valoir, citant des initiatives à destination des étudiants ou "des contrats de pré-recrutement pour certains métiers comme les masseurs kinésithérapeutes et les manipulateurs radio".

Pour les médecins, la directrice a évoqué la mise en oeuvre de postes partagés, de primes multisites et de contrats de praticiens cliniciens.

"Nous espérons que le prochain statut unique de praticien hospitalier nous offrira plus de souplesse, à la fois pour les niveaux de rémunération, l’organisation du temps de nos médecins et pour les exercices mixtes ville-hôpital", a-t-elle souligné.

Interrogée sur l'enveloppe dont va bénéficier le CHI au titre des investissements courants, dans le cadre du plan "Investir pour l’hôpital", Isabelle Leclerc a précisé qu'elle serait "de l'ordre de 650.000 € pour 2020".

"Chaque année, nous consacrons près de 7 M€ au renouvellement courant de nos équipements et nos installations, mais cela n’est pas forcément suffisant, donc cette enveloppe supplémentaire qui sera discutée au plus près des services sera vraiment la bienvenue", a-t-elle commenté.

La dette de l'établissement "est proche de 100 M€ avec les derniers investissements", a-t-elle également précisé. "Nous ferons valoir le dossier du CHI" pour la reprise d'une partie de la dette prévue par le "Plan investir par l'hôpital", afin de lui permettre "de continuer à investir, de manière à maintenir à des standards modernes ses unités d’hospitalisation et ses plateaux techniques".

Une "politique zéro brancard"

Dans son discours de voeux, la directrice est également revenue sur la grève des urgences, qui a connu "un épisode local l'été dernier". Ce mouvement a abouti à un protocole d'accord, renforçant notamment les équipes de nuit d'un poste d'aide-soignante (trois aides-soignantes supplémentaires).

Avec le nouveau bâtiment de Poissy, les urgences vont s'installer "dans des locaux neufs, adaptés, car [ceux d'aujourd'hui] ont été dimensionnés pour 25.000-30.000 passages, alors qu'il y a 45.000 passages aux urgences adultes" par an, a spécifié Isabelle Leclerc.

Elle a précisé que l'établissement s'était engagé dans une "politique zéro brancard", déclinée dans les trois établissements de la direction commune (avec le CH de Mantes-la-Jolie et le CHI de Meulan-Les Mureaux), en travaillant sur le parcours intra-urgences, sur l'amont et l'aval.

Isabelle Leclerc a pointé que le CHI s'inscrivait "dans tous les projets de CPTS [communautés professionnelles territoriales de santé] du territoire, pour organiser dans les parcours patients l’épisode hospitalier ou des recours à des plateaux techniques, avec un circuit court grâce à des liens privilégiés entre la ville et l'hôpital".

"Il faut regarder, une fois qu’on aura fait tout le travail sur la fluidification du parcours, si la question de la capacité se pose ou pas", a-t-elle poursuivi. "On est en train de démarrer, on n’a pas encore signé notre contrat avec l’ARS".

Dans le champ des personnes âgées, le CHI a engagé des travaux d’extension de l'Ehpad Hervieux, à Poissy, qui doit accueillir les places de l'Ehpad Ropital Anquetin, à Saint-Germain-en-Laye, "qui n’est plus en très bonne état". Les travaux devraient être terminés "d’ici un an et demi à deux ans".

Parmi les projets du GHT, "en 2019, nous avons constitué une communauté psychiatrique de territoire qui réunit l’activité de psychiatrie des établissements de Poissy-Saint-Germain-en-Laye, Mantes-la-Jolie, Meulan-Les Mureaux, et l’hôpital Théophile-Roussel à Montesson", a fait savoir Isabelle Leclerc.

Les établissements du GHT ont par ailleurs travaillé sur un schéma cible d'organisation de leurs unités de soins de suite et de réadaptation (SSR). Le GHT poursuit la structuration de ses filières de soins, par exemple gériatrique, vasculaire, ou encore de chirurgie orthopédique.

Des départements des services d'urgence et d'hépato-gatro-entérologie sont en cours de constitution pour les trois établissements en direction commune. Les 9 instituts de formation du GHT vont par ailleurs former sur le plan de la gouvernance un "campus unique multisite".

Isabelle Leclerc a précisé que le Pr Patrick Rozenberg, professeur des universités-praticien hospitalier (PU-PH) gynécologue-obstétricien, responsable de la maternité, a succédé au Pr Jacqueline Selva à la présidence de la commission médicale d'établissement (CME) du CHI.

mlb/ab/APMnews

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(Par Maryannick LE BRIS)

POISSY (Yvelines), 21 janvier 2020 (APMnews) - Le nouveau bâtiment médico-technique à Poissy du centre hospitalier intercommunal (CHI) de Poissy/Saint-Germain-en-Laye sera terminé en avril ou mai, conformément au calendrier de ce vaste projet immobilier, a expliqué sa directrice, Isabelle Leclerc, vendredi dans un entretien à APMnews, quelques jours après son discours de voeux.

Le nouveau bâtiment du site de Poissy, dont le chantier a été inauguré il y a deux ans, doit accueillir, en lien avec le projet médical de l'établissement, notamment l'activité d'hospitalisation complète, des urgences et de soins critiques du CHI (831 lits et 254 places), rappelle-t-on (cf dépêche du 23/01/2019 à 14:09).

Il doit s'étendre sur 19.000 m² (6 niveaux) et représente un coût global d'environ 71 millions d'euros (M€), pour un montant d'aides s'élevant à 43 M€.

A l'été, les services devant intégrer le nouveau bâtiment auront emménagé, a précisé Isabelle Leclerc lors de son discours de voeux, dont APMnews a eu copie. Sont concernés la maternité, le secteur naissance, la réanimation, l’unité de soins intensifs de cardiologie, l’unité de soins intensifs neurovasculaires, les urgences, l'assistance médicale à la procréation (AMP), la cardiologie, le service des maladies infectieuses et tropicales, ou encore la neurologie.

Le site de Saint-Germain-en-Laye va pour sa part devenir "un grand centre d'ambulatoire", réunissant son centre de consultations urgentes adultes, un plateau de consultations spécialisées, une activité de chirurgie ambulatoire et un hôpital de jour de médecine.

Le projet médical prévoit "que la plus grande partie de la chirurgie ambulatoire se fasse sur le site de Saint-Germain-en-Laye", a souligné Isabelle Leclerc auprès d'APMnews. Celle-ci "représente plus de 60% de l'activité chirurgicale" du CHI.

Le site disposera également d'un "important plateau technique d’imagerie, avec un appareil IRM qui va être implanté en 2021 et un scanner qui existe déjà, d'une activité de radiothérapie en partenariat public-privé et de médecine nucléaire avec des praticiens libéraux".

Du fait des surfaces libérées, une grande partie du site a été cédée pour un montant de 43 M€, la ville prévoyant de la transformer en lieu d'activités "autour de la santé et du bien-être" (cf dépêche du 15/07/2019 à 18:27).

Une chute des recettes liée aux difficultés de recrutement

En 2019, des travaux de mise en conformité de sécurité incendie ont été menés à Poissy et à Saint-Germain-en-Laye, pour un montant de 14 M€.

L'établissement doit désormais engager "la phase 2" de son projet immobilier. Celle-ci "consiste à rénover le bâtiment historique de Poissy, à transférer certaines activités logistiques et médico-techniques actuellement sur le site de Saint-Germain-en-Laye et à rénover la psychiatrie et le bloc opératoire à Poissy", a détaillé Isabelle Leclerc. Le financement de cette nouvelle étape doit encore être précisé.

La directrice a pointé que l'établissement a en 2019 investi dans le renouvellement ou l'acquisition de plusieurs équipements biomédicaux. "Nous avons installé une nouvelle salle cardiovasculaire interventionnelle, pour un coût de 2 M€, qui a remplacé une salle 'ancienne génération'".

"Nous avons acquis un automate de dernière génération pour l'analyse des frottis, installé sur le site de Mantes, destiné à l’ensemble des établissements du GHT [groupement hospitalier de territoire Yvelines Nord, dont le CHI est l'établissement support], et renouvelé le parc échographique des trois maternités du GHT", a-t-elle exposé.

L'établissement a également inauguré, en juin 2019, l'extension du laboratoire de biologie du site de Poissy, qui lui "a permis d’acquérir une chaîne automatisée ultramoderne pour réaliser des examens, notamment de biochimie et sérologie infectieuse". Les équipements du laboratoire ont représenté un coût de 3 M€.

Interrogée sur le résultat du CHI pour 2019, sa directrice a répondu qu'il était estimé "à ce stade" à 8 M€ sur l'activité principale, contre une prévision initiale de l’ordre de 6 M€ (pour un budget principal de 254 M€).

"Les charges de l’hôpital sont totalement maîtrisées, en revanche nous avons une diminution de nos recettes d’activité qui s’explique en grande partie par le fait que nous avons dû, dans certains secteurs, fermer des lits, à un moment donné, de manière plus ou moins durable, parce que nous manquions soit de médecins, soit de personnel paramédical", a-t-elle expliqué.

Cette baisse d'activité a entraîné "un manque à gagner de 4 M€", a chiffré Isabelle Leclerc. "En 2018, le déficit était proche de l’EPRD [état prévisionnel des recettes et des dépenses], qui était de l’ordre de 2 M€."

"Nous mettons tout en oeuvre pour recruter, nous avons mené beaucoup d’actions", a-t-elle fait valoir, citant des initiatives à destination des étudiants ou "des contrats de pré-recrutement pour certains métiers comme les masseurs kinésithérapeutes et les manipulateurs radio".

Pour les médecins, la directrice a évoqué la mise en oeuvre de postes partagés, de primes multisites et de contrats de praticiens cliniciens.

"Nous espérons que le prochain statut unique de praticien hospitalier nous offrira plus de souplesse, à la fois pour les niveaux de rémunération, l’organisation du temps de nos médecins et pour les exercices mixtes ville-hôpital", a-t-elle souligné.

Interrogée sur l'enveloppe dont va bénéficier le CHI au titre des investissements courants, dans le cadre du plan "Investir pour l’hôpital", Isabelle Leclerc a précisé qu'elle serait "de l'ordre de 650.000 € pour 2020".

"Chaque année, nous consacrons près de 7 M€ au renouvellement courant de nos équipements et nos installations, mais cela n’est pas forcément suffisant, donc cette enveloppe supplémentaire qui sera discutée au plus près des services sera vraiment la bienvenue", a-t-elle commenté.

La dette de l'établissement "est proche de 100 M€ avec les derniers investissements", a-t-elle également précisé. "Nous ferons valoir le dossier du CHI" pour la reprise d'une partie de la dette prévue par le "Plan investir par l'hôpital", afin de lui permettre "de continuer à investir, de manière à maintenir à des standards modernes ses unités d’hospitalisation et ses plateaux techniques".

Une "politique zéro brancard"

Dans son discours de voeux, la directrice est également revenue sur la grève des urgences, qui a connu "un épisode local l'été dernier". Ce mouvement a abouti à un protocole d'accord, renforçant notamment les équipes de nuit d'un poste d'aide-soignante (trois aides-soignantes supplémentaires).

Avec le nouveau bâtiment de Poissy, les urgences vont s'installer "dans des locaux neufs, adaptés, car [ceux d'aujourd'hui] ont été dimensionnés pour 25.000-30.000 passages, alors qu'il y a 45.000 passages aux urgences adultes" par an, a spécifié Isabelle Leclerc.

Elle a précisé que l'établissement s'était engagé dans une "politique zéro brancard", déclinée dans les trois établissements de la direction commune (avec le CH de Mantes-la-Jolie et le CHI de Meulan-Les Mureaux), en travaillant sur le parcours intra-urgences, sur l'amont et l'aval.

Isabelle Leclerc a pointé que le CHI s'inscrivait "dans tous les projets de CPTS [communautés professionnelles territoriales de santé] du territoire, pour organiser dans les parcours patients l’épisode hospitalier ou des recours à des plateaux techniques, avec un circuit court grâce à des liens privilégiés entre la ville et l'hôpital".

"Il faut regarder, une fois qu’on aura fait tout le travail sur la fluidification du parcours, si la question de la capacité se pose ou pas", a-t-elle poursuivi. "On est en train de démarrer, on n’a pas encore signé notre contrat avec l’ARS".

Dans le champ des personnes âgées, le CHI a engagé des travaux d’extension de l'Ehpad Hervieux, à Poissy, qui doit accueillir les places de l'Ehpad Ropital Anquetin, à Saint-Germain-en-Laye, "qui n’est plus en très bonne état". Les travaux devraient être terminés "d’ici un an et demi à deux ans".

Parmi les projets du GHT, "en 2019, nous avons constitué une communauté psychiatrique de territoire qui réunit l’activité de psychiatrie des établissements de Poissy-Saint-Germain-en-Laye, Mantes-la-Jolie, Meulan-Les Mureaux, et l’hôpital Théophile-Roussel à Montesson", a fait savoir Isabelle Leclerc.

Les établissements du GHT ont par ailleurs travaillé sur un schéma cible d'organisation de leurs unités de soins de suite et de réadaptation (SSR). Le GHT poursuit la structuration de ses filières de soins, par exemple gériatrique, vasculaire, ou encore de chirurgie orthopédique.

Des départements des services d'urgence et d'hépato-gatro-entérologie sont en cours de constitution pour les trois établissements en direction commune. Les 9 instituts de formation du GHT vont par ailleurs former sur le plan de la gouvernance un "campus unique multisite".

Isabelle Leclerc a précisé que le Pr Patrick Rozenberg, professeur des universités-praticien hospitalier (PU-PH) gynécologue-obstétricien, responsable de la maternité, a succédé au Pr Jacqueline Selva à la présidence de la commission médicale d'établissement (CME) du CHI.

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