Actualités de l'Urgence - APM
CYBERATTAQUE: DES DONNÉES POUVANT APPARTENIR AU CH D'ARMENTIÈRES DÉROBÉES ET RENDUES ACCESSIBLES
Ces fichiers ont été rendus accessibles dimanche "vers midi".
"Les fichiers sont toujours en cours de téléchargement et de qualification par nos experts, afin d'en définir la nature et la quantité", est-il précisé dans le communiqué.
Dans un communiqué diffusé dimanche, le CH indiquait que des données dérobées "pourraient concerner ses patients".
Touché par une attaque informatique dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 février, le CH d'Armentières avait temporairement fermé ses urgences afin d'organiser la prise en charge des patients, rappelle-t-on (cf dépêche du 12/02/2024 à 10:06). La réouverture du service avait eu lieu le 13 février dans l'après-midi.
Dans un communiqué publié dimanche, le CH et le CHU (en direction commune) ont annoncé qu'une plainte avait été déposée "afin d'engager les investigations permettant de retrouver les auteurs de cette agression particulièrement condamnable, s'agissant d'un hôpital public".
Les services de la gendarmerie "ont été tenus informés de l'évolution de cette cyberattaque", selon le communiqué diffusé mardi.
Le CH précise qu'un "complément d'informations" sur la "progression de nos investigations" avait été transmis à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil).
Les services de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) et du CERT Santé "ont également été régulièrement informés de ces évolutions".
L'établissement fait part de ses regrets concernant "cette attaque" et assure mettre "tout en œuvre pour qualifier les données". Il souligne qu'il "tiendra informés personnellement les patients et professionnels éventuellement concernés".
jyp/ab/APMnews
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CYBERATTAQUE: DES DONNÉES POUVANT APPARTENIR AU CH D'ARMENTIÈRES DÉROBÉES ET RENDUES ACCESSIBLES
Ces fichiers ont été rendus accessibles dimanche "vers midi".
"Les fichiers sont toujours en cours de téléchargement et de qualification par nos experts, afin d'en définir la nature et la quantité", est-il précisé dans le communiqué.
Dans un communiqué diffusé dimanche, le CH indiquait que des données dérobées "pourraient concerner ses patients".
Touché par une attaque informatique dans la nuit du samedi 10 au dimanche 11 février, le CH d'Armentières avait temporairement fermé ses urgences afin d'organiser la prise en charge des patients, rappelle-t-on (cf dépêche du 12/02/2024 à 10:06). La réouverture du service avait eu lieu le 13 février dans l'après-midi.
Dans un communiqué publié dimanche, le CH et le CHU (en direction commune) ont annoncé qu'une plainte avait été déposée "afin d'engager les investigations permettant de retrouver les auteurs de cette agression particulièrement condamnable, s'agissant d'un hôpital public".
Les services de la gendarmerie "ont été tenus informés de l'évolution de cette cyberattaque", selon le communiqué diffusé mardi.
Le CH précise qu'un "complément d'informations" sur la "progression de nos investigations" avait été transmis à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil).
Les services de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) et du CERT Santé "ont également été régulièrement informés de ces évolutions".
L'établissement fait part de ses regrets concernant "cette attaque" et assure mettre "tout en œuvre pour qualifier les données". Il souligne qu'il "tiendra informés personnellement les patients et professionnels éventuellement concernés".
jyp/ab/APMnews