Actualités de l'Urgence - APM

30/11 2020
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CH DE LA RISLE (PONT-AUDEMER), CH DE VITRÉ, CH NORD DEUX-SÈVRES, CENTRE HOSPITALIER INTERCOMMUNAL POISSY-SAINT-GERMAIN-EN-LAYE (YVELINES), SAMU DU VAL-DE-MARNE

Le 30 novembre 2020 (APMnews) -

NORMANDIE: Eure: le CH de la Risle consolide la filière urgences

PONT-AUDEMER (Eure) - Le centre hospitalier (CH) de la Risle a réorganisé son service des urgences et consolidé la filière urgences, a-t-il annoncé vendredi dans un communiqué.

"La population du territoire de santé du CH de la Risle est vieillissante par rapport à la moyenne nationale et affiche un taux de précarité élevé. Ces facteurs favorisent une orientation vers le service public. A cet effet, le CH de la Risle, en direction commune avec le groupe hospitalier du Havre [GHH] depuis 2015, a la volonté de développer des projets médicaux qui améliorent la qualité de prise en charge de ses patients", indique l'établissement.

Il a réorganisé son service d’urgences qui accueille, 7 jours sur 7, 17.000 patients par an et réalise 700 sorties Smur.

Des travaux ont été réalisés pour moderniser l’espace avec un réaménagement permettant d’améliorer l’accueil des patients d’une part et de renforcer la confidentialité des examens réalisés, d’autre part. Un espace réservé aux équipes médicales a été créé, facilitant la concertation médicale et la gestion des dossiers patients.

L'investissement s'élève à 62.000 €, a précisé le CH à APMnews lundi.

Dans le contexte de la crise sanitaire, le CH a organisé 3 circuits différenciés au sein des urgences afin de faciliter le parcours et l’orientation des patients. Cela comprend:

  • un circuit court comprenant une machine au sein des urgences qui permet de réaliser des tests PCR avec des résultats rapides en 15 minutes
  • un circuit classique dans lequel les tests PCR sont envoyés à l’hôpital Saint-Julien (Le Petit Quevilly) pour avoir des résultats en 24 heures
  • un circuit très rapide utilisant les tests rapides d'orientation diagnostique (Trod) réservés aux patients symptomatiques avec des résultats immédiats.

L’effectif médical est désormais complété pour prendre en charge 24h sur 24 les urgences et les sorties Smur, qui sont en forte augmentation. Deux médecins urgentistes sont arrivés depuis octobre dernier, et un troisième devrait intégrer l’établissement dès début 2021.

BRETAGNE: Le CH de Vitré ferme ses urgences la nuit faute de médecins

VITRÉ (Ille-et-Vilaine) - Le centre hospitalier (CH) de Vitré modifie temporairement ses modalités d’accueil aux urgences en fermant le service la nuit à cause de la baisse de ses effectifs de médecins urgentistes, a-t-il annoncé dans un communiqué.

A compter de lundi, de 20 heures à 8h, du lundi au dimanche, "faites le 15 avant de vous déplacer", demande le CH.

"Le centre 15 vous orientera vers le lieu le mieux adapté à votre besoin (maison médicale de garde, établissements rennais, centres hospitaliers de Fougères et Laval), vous pourrez bénéficier d’un conseil, un transport sanitaire (pompiers ou ambulances privées) pourra être envoyé à votre domicile", affiche-t-il.

Le service mobile d’urgence et de réanimation (Smur) de Vitré reste disponible 24h sur 24, 7 jour sur 7, pour assurer la prise en charge de toute urgence vitale dans le cadre de la régulation par le centre 15 du Samu.

Le service d’accueil des urgences n’accueillera plus le public de 20h à 8h. Toutefois, un dispositif d’orientation des patients se présentant spontanément aux urgences de l’hôpital sera assuré par une infirmière d’accueil et d’orientation avec l’appui du Samu 35. "La réponse la plus adaptée à la prise en charge de la situation sera apportée en lien avec les médecins du centre 15."

Seules les urgences nécessitant des soins immédiats et/ou vitaux seront prises en charge au sein du service. Ceci sera à l’appréciation des équipes sur place en lien avec le 15. Un circuit spécifique accessible 24h/24 est mis en place pour la prise en charge des femmes enceintes par l’équipe médicale du service de gynécologie-obstétrique.

Ce dispositif a été défini "en étroite collaboration" avec l’agence régionale de santé (ARS) Bretagne, la mairie de Vitré, le centre de régulation et de réception des appels (CRRA) du Samu 35 de Rennes, le service départemental d’intervention et de secours (SDIS 35).

"Tous les moyens seront engagés pour que cette organisation temporaire soit la plus courte possible", promet le CH.

Des citoyens de Vitré communauté ont lancé une pétition en ligne pour demander "une mobilisation forte et inédite de nos pouvoirs publics pour garantir le plus tôt possible, la réouverture du service des urgences la nuit avec des moyens qui garantissent un accueil et des soins adaptés et à toute heure, jour et nuit".

NOUVELLE-AQUITAINE: La création du GCS ophtalmologie du territoire Nord Deux-Sèvres validée par l'ARS

FAYE-L’ABBESSE (Deux-Sèvres) - Une décision de l'agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine porte approbation de la convention constitutive du groupement de coopération sanitaire (GCS) ophtalmologie du territoire Nord Deux-Sèvres, selon un recueil des actes administratifs diffusé mercredi.

La convention constitutive de ce groupement, datée de fin août, a été approuvée le 23 octobre par l'ARS.

Le GCS compte deux membres: le centre hospitalier Nord Deux-Sèvres (CHNDS) et la société d'exercice libéral Ophtalliance située à Nantes.

Son objectif est de "faciliter la réalisation et la coordination de l'activité chirurgicale spécifique en ophtalmologie et d'injection intra-vitréenne", et ce "dans le cadre du service public et afin de maintenir une offre de soins de proximité de qualité sur le territoire de santé du Nord Deux-Sèvres".

ILE-DE-FRANCE: La nouvelle aile du site hospitalier de Poissy (Yvelines) ouvrira en décembre

POISSY (Yvelines) - La nouvelle aile du site de Poissy du centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye (Chips) ouvrira progressivement en décembre, a fait savoir l'établissement lundi dans un communiqué.

Cette ouverture marque la fin du chantier d'extension du site hospitalier de Poissy, d'un coût d'environ 71 millions d'euros, dont la première pierre avait été posée en janvier 2018 (cf dépêche du 15/01/2018 à 18:54 et dépêche du 21/01/2020 à 11:31).

Elle "se fera progressivement au cours du dernier mois de l’année 2020", précise le centre hospitalier. Cette extension de 20.000 m², "connectée à chaque niveau au bâtiment historique", doit "accueillir sur 7 niveaux et 5 étages plusieurs services" actuellement installés dans le bâtiment principal du site de Poissy et sur le site de Saint-Germain-en-Laye.

A partir du 18 décembre, l’accueil principal "reprendra sa localisation historique dans un cadre totalement revu pour favoriser les accès piétons, avec un jalonnement extérieur et une signalétique intérieure pour guider les usagers". Les abords du site seront sécurisés "par une vidéosurveillance renforcée et seront fermés à terme à tout véhicule non autorisé".

A cette même date, les urgences gynécologiques et obstétricales auront déménagé au premier étage de cette "aile F", tandis que les urgences adultes seront installées au rez-de-chaussée, sur 2.200 m² (contre 800 actuellement). S'agissant de l'hospitalisation, "60 nouvelles chambres individuelles seront occupées par les patients des services de neurologie, de cardiologie et le service des maladies infectieuses et tropicales (SMIT) au 5e étage tandis que la maternité investira le 4e étage, disposant de 55 chambres dont 51 sont individuelles".

Au premier trimestre 2021, d’autres déménagements sont prévus, internes au bâtiment historique, pour finir d’installer les services d’hospitalisation complète du site de Saint-Germain-en-Laye, à l’exception dans l’immédiat du service de psychiatrie. "Il s’agit de la traduction spatiale des projets médical et de soins du Chips, qui prévoient la répartition des activités entre les 2 sites hospitaliers, pour offrir aux patients toutes les modalités de prise en charge, sur un grand nombre de spécialités", rappelle l'établissement.

Le site hospitalier de Saint-Germain-en-Laye poursuivra sa restructuration architecturale jusqu’en 2024. A terme, "le site conservera le centre de consultations urgentes adultes, un plateau de consultations couvrant toutes les spécialités médicales et chirurgicales, un hôpital de jour médical (éducation thérapeutique, bilans médicaux, etc.), un centre d'imagerie (IRM, scanner, etc.) et l’activité de radiothérapie tandis que son bloc opératoire (8 salles) est, aujourd’hui déjà, entièrement dévolu à la chirurgie ambulatoire".

ILE-DE-FRANCE: Décès d'une urgentiste du Samu du Val-de-Marne

CRETEIL - Le Dr Delphine Chervet, médecin urgentiste au Samu 94 et aux urgences de l'Hôpital Paris Saint-Joseph, est décédée à 34 ans la semaine dernière, a annoncé Samu-Urgences de France.

Son décès est survenu dans la soirée du mercredi 25 novembre, a précisé le Samu 94 à APMnews, faisant part d'une nouvelle brutale qui a bouleversé le service. Elle a été interne au Samu 94, à l'hôpital Henri-Mondor (Créteil, AP-HP) en 2014, avant d'y devenir praticienne hospitalière après son internat. Elle exerçait également aux urgences de l'Hôpital Paris Saint-Joseph (privé à but non lucratif).

Delphine Chervet, mère de "deux très jeunes enfants", était "très appréciée par l'ensemble des personnels du service, savait partager sa bonne humeur, sa gentillesse et son sourire", écrit Samu-Urgences de France. "Nous garderons d'elle ses qualités humaines et son professionnalisme", lui rend hommage l'organisation.

/sl-jyp-mlb/nc/APMnews

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Le 30 novembre 2020 (APMnews) -

NORMANDIE: Eure: le CH de la Risle consolide la filière urgences

PONT-AUDEMER (Eure) - Le centre hospitalier (CH) de la Risle a réorganisé son service des urgences et consolidé la filière urgences, a-t-il annoncé vendredi dans un communiqué.

"La population du territoire de santé du CH de la Risle est vieillissante par rapport à la moyenne nationale et affiche un taux de précarité élevé. Ces facteurs favorisent une orientation vers le service public. A cet effet, le CH de la Risle, en direction commune avec le groupe hospitalier du Havre [GHH] depuis 2015, a la volonté de développer des projets médicaux qui améliorent la qualité de prise en charge de ses patients", indique l'établissement.

Il a réorganisé son service d’urgences qui accueille, 7 jours sur 7, 17.000 patients par an et réalise 700 sorties Smur.

Des travaux ont été réalisés pour moderniser l’espace avec un réaménagement permettant d’améliorer l’accueil des patients d’une part et de renforcer la confidentialité des examens réalisés, d’autre part. Un espace réservé aux équipes médicales a été créé, facilitant la concertation médicale et la gestion des dossiers patients.

L'investissement s'élève à 62.000 €, a précisé le CH à APMnews lundi.

Dans le contexte de la crise sanitaire, le CH a organisé 3 circuits différenciés au sein des urgences afin de faciliter le parcours et l’orientation des patients. Cela comprend:

  • un circuit court comprenant une machine au sein des urgences qui permet de réaliser des tests PCR avec des résultats rapides en 15 minutes
  • un circuit classique dans lequel les tests PCR sont envoyés à l’hôpital Saint-Julien (Le Petit Quevilly) pour avoir des résultats en 24 heures
  • un circuit très rapide utilisant les tests rapides d'orientation diagnostique (Trod) réservés aux patients symptomatiques avec des résultats immédiats.

L’effectif médical est désormais complété pour prendre en charge 24h sur 24 les urgences et les sorties Smur, qui sont en forte augmentation. Deux médecins urgentistes sont arrivés depuis octobre dernier, et un troisième devrait intégrer l’établissement dès début 2021.

BRETAGNE: Le CH de Vitré ferme ses urgences la nuit faute de médecins

VITRÉ (Ille-et-Vilaine) - Le centre hospitalier (CH) de Vitré modifie temporairement ses modalités d’accueil aux urgences en fermant le service la nuit à cause de la baisse de ses effectifs de médecins urgentistes, a-t-il annoncé dans un communiqué.

A compter de lundi, de 20 heures à 8h, du lundi au dimanche, "faites le 15 avant de vous déplacer", demande le CH.

"Le centre 15 vous orientera vers le lieu le mieux adapté à votre besoin (maison médicale de garde, établissements rennais, centres hospitaliers de Fougères et Laval), vous pourrez bénéficier d’un conseil, un transport sanitaire (pompiers ou ambulances privées) pourra être envoyé à votre domicile", affiche-t-il.

Le service mobile d’urgence et de réanimation (Smur) de Vitré reste disponible 24h sur 24, 7 jour sur 7, pour assurer la prise en charge de toute urgence vitale dans le cadre de la régulation par le centre 15 du Samu.

Le service d’accueil des urgences n’accueillera plus le public de 20h à 8h. Toutefois, un dispositif d’orientation des patients se présentant spontanément aux urgences de l’hôpital sera assuré par une infirmière d’accueil et d’orientation avec l’appui du Samu 35. "La réponse la plus adaptée à la prise en charge de la situation sera apportée en lien avec les médecins du centre 15."

Seules les urgences nécessitant des soins immédiats et/ou vitaux seront prises en charge au sein du service. Ceci sera à l’appréciation des équipes sur place en lien avec le 15. Un circuit spécifique accessible 24h/24 est mis en place pour la prise en charge des femmes enceintes par l’équipe médicale du service de gynécologie-obstétrique.

Ce dispositif a été défini "en étroite collaboration" avec l’agence régionale de santé (ARS) Bretagne, la mairie de Vitré, le centre de régulation et de réception des appels (CRRA) du Samu 35 de Rennes, le service départemental d’intervention et de secours (SDIS 35).

"Tous les moyens seront engagés pour que cette organisation temporaire soit la plus courte possible", promet le CH.

Des citoyens de Vitré communauté ont lancé une pétition en ligne pour demander "une mobilisation forte et inédite de nos pouvoirs publics pour garantir le plus tôt possible, la réouverture du service des urgences la nuit avec des moyens qui garantissent un accueil et des soins adaptés et à toute heure, jour et nuit".

NOUVELLE-AQUITAINE: La création du GCS ophtalmologie du territoire Nord Deux-Sèvres validée par l'ARS

FAYE-L’ABBESSE (Deux-Sèvres) - Une décision de l'agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine porte approbation de la convention constitutive du groupement de coopération sanitaire (GCS) ophtalmologie du territoire Nord Deux-Sèvres, selon un recueil des actes administratifs diffusé mercredi.

La convention constitutive de ce groupement, datée de fin août, a été approuvée le 23 octobre par l'ARS.

Le GCS compte deux membres: le centre hospitalier Nord Deux-Sèvres (CHNDS) et la société d'exercice libéral Ophtalliance située à Nantes.

Son objectif est de "faciliter la réalisation et la coordination de l'activité chirurgicale spécifique en ophtalmologie et d'injection intra-vitréenne", et ce "dans le cadre du service public et afin de maintenir une offre de soins de proximité de qualité sur le territoire de santé du Nord Deux-Sèvres".

ILE-DE-FRANCE: La nouvelle aile du site hospitalier de Poissy (Yvelines) ouvrira en décembre

POISSY (Yvelines) - La nouvelle aile du site de Poissy du centre hospitalier intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye (Chips) ouvrira progressivement en décembre, a fait savoir l'établissement lundi dans un communiqué.

Cette ouverture marque la fin du chantier d'extension du site hospitalier de Poissy, d'un coût d'environ 71 millions d'euros, dont la première pierre avait été posée en janvier 2018 (cf dépêche du 15/01/2018 à 18:54 et dépêche du 21/01/2020 à 11:31).

Elle "se fera progressivement au cours du dernier mois de l’année 2020", précise le centre hospitalier. Cette extension de 20.000 m², "connectée à chaque niveau au bâtiment historique", doit "accueillir sur 7 niveaux et 5 étages plusieurs services" actuellement installés dans le bâtiment principal du site de Poissy et sur le site de Saint-Germain-en-Laye.

A partir du 18 décembre, l’accueil principal "reprendra sa localisation historique dans un cadre totalement revu pour favoriser les accès piétons, avec un jalonnement extérieur et une signalétique intérieure pour guider les usagers". Les abords du site seront sécurisés "par une vidéosurveillance renforcée et seront fermés à terme à tout véhicule non autorisé".

A cette même date, les urgences gynécologiques et obstétricales auront déménagé au premier étage de cette "aile F", tandis que les urgences adultes seront installées au rez-de-chaussée, sur 2.200 m² (contre 800 actuellement). S'agissant de l'hospitalisation, "60 nouvelles chambres individuelles seront occupées par les patients des services de neurologie, de cardiologie et le service des maladies infectieuses et tropicales (SMIT) au 5e étage tandis que la maternité investira le 4e étage, disposant de 55 chambres dont 51 sont individuelles".

Au premier trimestre 2021, d’autres déménagements sont prévus, internes au bâtiment historique, pour finir d’installer les services d’hospitalisation complète du site de Saint-Germain-en-Laye, à l’exception dans l’immédiat du service de psychiatrie. "Il s’agit de la traduction spatiale des projets médical et de soins du Chips, qui prévoient la répartition des activités entre les 2 sites hospitaliers, pour offrir aux patients toutes les modalités de prise en charge, sur un grand nombre de spécialités", rappelle l'établissement.

Le site hospitalier de Saint-Germain-en-Laye poursuivra sa restructuration architecturale jusqu’en 2024. A terme, "le site conservera le centre de consultations urgentes adultes, un plateau de consultations couvrant toutes les spécialités médicales et chirurgicales, un hôpital de jour médical (éducation thérapeutique, bilans médicaux, etc.), un centre d'imagerie (IRM, scanner, etc.) et l’activité de radiothérapie tandis que son bloc opératoire (8 salles) est, aujourd’hui déjà, entièrement dévolu à la chirurgie ambulatoire".

ILE-DE-FRANCE: Décès d'une urgentiste du Samu du Val-de-Marne

CRETEIL - Le Dr Delphine Chervet, médecin urgentiste au Samu 94 et aux urgences de l'Hôpital Paris Saint-Joseph, est décédée à 34 ans la semaine dernière, a annoncé Samu-Urgences de France.

Son décès est survenu dans la soirée du mercredi 25 novembre, a précisé le Samu 94 à APMnews, faisant part d'une nouvelle brutale qui a bouleversé le service. Elle a été interne au Samu 94, à l'hôpital Henri-Mondor (Créteil, AP-HP) en 2014, avant d'y devenir praticienne hospitalière après son internat. Elle exerçait également aux urgences de l'Hôpital Paris Saint-Joseph (privé à but non lucratif).

Delphine Chervet, mère de "deux très jeunes enfants", était "très appréciée par l'ensemble des personnels du service, savait partager sa bonne humeur, sa gentillesse et son sourire", écrit Samu-Urgences de France. "Nous garderons d'elle ses qualités humaines et son professionnalisme", lui rend hommage l'organisation.

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