Actualités de l'Urgence - APM

DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CH DE RIOM, CHU DE BORDEAUX ET CH CHARLES-PERRENS, CHU DE NANTES, AP-HP, POLYCLINIQUE DU PARC DREVON (DIJON), CLINIQUE RHÉNA (STRASBOURG)
AUVERGNE-RHONE-ALPES: Début effectif des travaux des nouvelles urgences de l'hôpital de Riom (Puy-de-Dôme)
RIOM (Puy-de-Dôme) - Le centre hospitalier de Riom a commencé de manière effective le chantier pour construire un nouveau bâtiment accueillant les urgences, a indiqué son directeur délégué, Marc Hector, à APMnews.La première pierre avait été posée en décembre 2019. Ce projet de reconstruction des urgences, lancé après plus de 10 ans de discussions et qui doit s'achever au printemps 2022, représente une opération de 9,5 millions d'euros. Elle est financée principalement par l'Etat (ARS) à hauteur de 7,5 M€, ainsi que par le conseil régional (900.000 €). Le groupement de coopération sanitaire (GCS) La Pommeraie apporte 900.000 €, pour un dossier cuisine relais intégré au projet, et l'autofinancement représente 200.000 €.
Le nouveau bâtiment, d'une superficie de 1.000 m² sur un étage (contre 300 m² actuellement), sera construit à l'emplacement de l'actuel bureau des entrées et du parking. Il sera notamment composé de huit salles de soin, de salles de première urgence et de déchocage, de bureaux administratifs et de l'accueil du Smur. Le chantier se terminera avec la création d'un nouveau service des admissions dans le bâtiment principal.
Il vise à accueillir 24.000 passages par an contre 18.000 actuellement alors que le service actuel a été conçu pour moins de 10.000 passages. Il s'agit d'un "dossier vital pour fixer l’offre de soins sur un territoire hétérogène d’environ 80.000 habitants", souligne le directeur du CH.
D'autres travaux vont être effectués en parallèle, comme une refonte des 4 blocs opératoires et le déplacement des installations de sécurité médico-technique.
NOUVELLE-AQUITAINE: Le CHU de Bordeaux et le CH Charles-Perrens ont créé un pôle inter-établissement en addictologie
BORDEAUX - Le CHU de Bordeaux et le centre hospitalier (CH) Charles-Perrens, spécialisé en psychiatrie, ont mis en oeuvre un pôle inter-établissement en addictologie "pour une meilleure prise en charge des patients", a-t-on appris auprès du CHU, lundi.Ce nouveau pôle inter-établissements, "est ouvert à tous les patients souffrant d’addictions avec ou sans substances (alcool, tabac, cannabis, opiacés, cocaïne, nouveaux produits de synthèse, jeux, sexe..) en y intégrant les troubles du comportement alimentaire", a expliqué le CHU à APMnews, lundi.
Le pôle a pour objectif de "structurer une filière hospitalo-universitaire d'addictologie unique, sanitaire (consultations hospitalières, hôpitaux de jour, hospitalisations temps plein, équipe de liaison et de soins en addictologie), médico-sociale (Csapa -centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie-, consultations jeunes consommateurs, équipe mobile addiction-parentalité) et universitaire (enseignement initial et continu, recherche clinique, innovation), intégrant des missions de prévention, de soins de proximité, de recours et d’expertise".
Ce projet est "garant d’une meilleure articulation avec la psychiatrie, la médecine, la chirurgie et les services d’urgence", assure le CHU, expliquant que le "regroupement fonctionnel de ces structures dans un pôle unique devrait ainsi permettre de faciliter l’accès aux soins grâce à la mise en place d’un guichet unique". Cela doit également permettre "de promouvoir la prise en charge somatique et psychiatrique des sujets souffrant d’addiction et de diminuer le poids du stigma souvent associé à cette pathologie".
Le pôle inter-établissements compte 17 médecins et environ 70 personnels non médicaux. Il pourrait à terme être étendu à d’autres établissements du groupement hospitalier de territoire (GHT) Alliance de Gironde.
PAYS DE LA LOIRE: Sylvie Deblois-Renaud quitte le CNCR pour le département gestion de la direction de la recherche au CHU de Nantes
PARIS, NANTES - Sylvie Deblois-Renaud quitte le Comité national de coordination de la recherche (CNCR) pour devenir responsable du département gestion de la direction de la recherche et de l’innovation du CHU de Nantes, a-t-on appris auprès du CNCR et du CHU de Nantes.Sylvie Deblois-Renaud avait rejoint le CNCR comme responsable de la filière industrielle en janvier 2017 (cf dépêche du 06/02/2017 à 15:21) après avoir été chargée de mission en charge du renforcement d’investigation clinique et de la cellule promotion externe au CHU de Nantes où elle avait été recrutée en juin 2010.
"La personne qui lui succèdera n’a pas encore été désignée", a indiqué le CNCR à APMnews.
Le CNCR est le groupement de coopération sanitaire (GCS) chargé de coordonner la recherche clinique dans les établissements publics de santé.
ILE-DE-FRANCE: L'Autorité environnementale a publié ses recommandations pour le projet de campus Grand Paris-Nord
SAINT-OUEN (Seine-Saint-Denis) - L'Autorité environnementale, saisie par le préfet de la Seine-Saint-Denis, s'est réunie le 21 avril en visioconférence afin de donner son avis sur le projet de campus hospitalo-universitaire Saint-Ouen Grand Paris-Nord et sa compatibilité avec le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de Plaine Commune.Le projet de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) réunira, à l’horizon 2028, les activités hospitalières de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO) des hôpitaux Beaujon et Bichat-Claude Bernard et les activités d’enseignement et de recherche en santé de l’Université de Paris, de médecine, d’odontologie et de soins infirmiers, actuellement répartis sur huit sites. Il sera implanté sur l'ancien site PSA de Saint-Ouen. L'AP-HP et PSA ayant signé une promesse de vente en décembre 2020 (cf dépêche du 21/12/2020 à 17:42).
Dans son avis de 22 pages, l'autorité liste les principaux enjeux environnementaux du projet:
- l’adaptation au changement climatique et la lutte contre les îlots de chaleur urbains
- l’insertion de ce projet dans le milieu urbain de Saint-Ouen et la végétalisation du site
- les déplacements
- les nuisances pour les riverains pendant la phase de construction d’un chantier s’ajoutant à de nombreux autres dans ce secteur
- les risques sanitaires liés à la pollution des nappes, à la construction sur des sols pollués et à la qualité de l’air, ainsi qu’aux produits résultant de l’activité de l’hôpital.
Ainsi, rappelant que les remblais du site sont pollués par des hydrocarbures, des métaux, des PCB et des composés organiques halogénés volatils (HCOV), l'autorité constate qu'aucun sondage n'a été réalisé dans la partie nord du site "pour vérifier la compatibilité des sols avec les usages projetés et organiser la mise en place d’une évacuation adaptée des déblais". Elle recommande donc d'étudier plus complètement les modalités de dépollution du site et sa compatibilité avec l'usage prévu, et d'introduire des prescriptions pour l'évacuation des déblais.
En matière de santé, l'autorité recommande de joindre l'évaluation quantitative des risques sanitaires (EQRS) provisoire au dossier et de prendre en compte, dans l'EQRS actualisée, les risques résiduels pour la santé, les polluants émanant du sol et du sous-sol et la pollution de l'air. Elle recommande également de "présenter les mesures d'évitement, de réduction et si besoin de compensation".
Constatant que le projet ne respecte pas les critères d'adaptation aux changements climatiques fixés par le plan local d'urbanisme de Saint-Ouen et Plaine Commune, un PLUi particulièrement ambitieux puisqu'il vise à laisser 60% d'espaces libres sur les grands terrains, 50% d'espaces végétalisés et 35% de pleine terre, l'autorité recommande de "compenser le déficit d’espaces verts et en particulier de boisements ligneux pour lutter contre les ilots de chaleur urbains par rapport aux spécifications du PLUi".
A noter enfin que cet avis simple est purement consultatif et oblige le maitre d'ouvrage à ne faire qu'une réponse écrite.
Avis de l'Autorité environnementale
BOURGOGNE-FRANCHE-COMTÉ: La polyclinique du Parc Drevon développe la greffe de membrane amniotique en ambulatoire
DIJON - La polyclinique du Parc Drevon (Ramsay Santé) pratique depuis mars la greffe de membrane amniotique en ambulatoire, dans le cadre du développement de sa filière de chirurgie ophtalmologique, a rapporté le groupe Ramsay Santé lundi dans un communiqué.La greffe de membrane amniotique constitue un traitement chirurgical pour les maladies inflammatoires de la cornée, telles que les défects conjonctivaux, à la suite d'une chirurgie de ptérygion, ou les défects cornéens.
"Les membranes amniotiques sont des tissus aux propriétés rares", prélevés lors de don de placenta et "extrêmement riches en substances cicatrisantes", a rappelé le groupe Ramsay Santé, qui a racheté la clinique dijonnaise en octobre 2020 (cf dépêche du 01/10/2020 à 12:45).
La polyclinique du Parc Drevon emploie près de 200 salariés et dispose de 167 lits et places. Elle avait réalisé un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros (M€) en 2019 avec un résultat de 1,3 M€.
GRAND EST: Changement de coprésidents à la tête de la clinique Rhéna (Strasbourg)
STRASBOURG - La clinique Rhéna, établissement de santé privé à but non lucratif du territoire de Strasbourg issu du regroupement de trois cliniques confessionnelles strasbourgeoises -Adassa (juive), Diaconat (protestante) et Sainte-Odile (catholique)-, a changé de présidence lors de l’assemblée générale de la clinique le 19 avril, a rapporté le groupe Rhéna dans un communiqué diffusé jeudi.Les deux coprésidents en exercice depuis l'ouverture de la clinique en 2017, Philippe Dolfi et Didier Ernst, atteints par la limite d’âge statutaire, ont cédé leur place à un nouveau duo constitué de Michel Buchser et de Thierry Veil.
Les nouveaux coprésidents de la clinique sont tous deux issus de son actuel conseil d’administration.
"Philippe Dolfi et Didier Ernst continueront de siéger à l’assemblée générale de Rhéna et de suivre avec attention les projets de la clinique", a indiqué le groupe.
/san-jyp-sl-gdl-gl/ab/APMnews
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CH DE RIOM, CHU DE BORDEAUX ET CH CHARLES-PERRENS, CHU DE NANTES, AP-HP, POLYCLINIQUE DU PARC DREVON (DIJON), CLINIQUE RHÉNA (STRASBOURG)
AUVERGNE-RHONE-ALPES: Début effectif des travaux des nouvelles urgences de l'hôpital de Riom (Puy-de-Dôme)
RIOM (Puy-de-Dôme) - Le centre hospitalier de Riom a commencé de manière effective le chantier pour construire un nouveau bâtiment accueillant les urgences, a indiqué son directeur délégué, Marc Hector, à APMnews.La première pierre avait été posée en décembre 2019. Ce projet de reconstruction des urgences, lancé après plus de 10 ans de discussions et qui doit s'achever au printemps 2022, représente une opération de 9,5 millions d'euros. Elle est financée principalement par l'Etat (ARS) à hauteur de 7,5 M€, ainsi que par le conseil régional (900.000 €). Le groupement de coopération sanitaire (GCS) La Pommeraie apporte 900.000 €, pour un dossier cuisine relais intégré au projet, et l'autofinancement représente 200.000 €.
Le nouveau bâtiment, d'une superficie de 1.000 m² sur un étage (contre 300 m² actuellement), sera construit à l'emplacement de l'actuel bureau des entrées et du parking. Il sera notamment composé de huit salles de soin, de salles de première urgence et de déchocage, de bureaux administratifs et de l'accueil du Smur. Le chantier se terminera avec la création d'un nouveau service des admissions dans le bâtiment principal.
Il vise à accueillir 24.000 passages par an contre 18.000 actuellement alors que le service actuel a été conçu pour moins de 10.000 passages. Il s'agit d'un "dossier vital pour fixer l’offre de soins sur un territoire hétérogène d’environ 80.000 habitants", souligne le directeur du CH.
D'autres travaux vont être effectués en parallèle, comme une refonte des 4 blocs opératoires et le déplacement des installations de sécurité médico-technique.
NOUVELLE-AQUITAINE: Le CHU de Bordeaux et le CH Charles-Perrens ont créé un pôle inter-établissement en addictologie
BORDEAUX - Le CHU de Bordeaux et le centre hospitalier (CH) Charles-Perrens, spécialisé en psychiatrie, ont mis en oeuvre un pôle inter-établissement en addictologie "pour une meilleure prise en charge des patients", a-t-on appris auprès du CHU, lundi.Ce nouveau pôle inter-établissements, "est ouvert à tous les patients souffrant d’addictions avec ou sans substances (alcool, tabac, cannabis, opiacés, cocaïne, nouveaux produits de synthèse, jeux, sexe..) en y intégrant les troubles du comportement alimentaire", a expliqué le CHU à APMnews, lundi.
Le pôle a pour objectif de "structurer une filière hospitalo-universitaire d'addictologie unique, sanitaire (consultations hospitalières, hôpitaux de jour, hospitalisations temps plein, équipe de liaison et de soins en addictologie), médico-sociale (Csapa -centres de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie-, consultations jeunes consommateurs, équipe mobile addiction-parentalité) et universitaire (enseignement initial et continu, recherche clinique, innovation), intégrant des missions de prévention, de soins de proximité, de recours et d’expertise".
Ce projet est "garant d’une meilleure articulation avec la psychiatrie, la médecine, la chirurgie et les services d’urgence", assure le CHU, expliquant que le "regroupement fonctionnel de ces structures dans un pôle unique devrait ainsi permettre de faciliter l’accès aux soins grâce à la mise en place d’un guichet unique". Cela doit également permettre "de promouvoir la prise en charge somatique et psychiatrique des sujets souffrant d’addiction et de diminuer le poids du stigma souvent associé à cette pathologie".
Le pôle inter-établissements compte 17 médecins et environ 70 personnels non médicaux. Il pourrait à terme être étendu à d’autres établissements du groupement hospitalier de territoire (GHT) Alliance de Gironde.
PAYS DE LA LOIRE: Sylvie Deblois-Renaud quitte le CNCR pour le département gestion de la direction de la recherche au CHU de Nantes
PARIS, NANTES - Sylvie Deblois-Renaud quitte le Comité national de coordination de la recherche (CNCR) pour devenir responsable du département gestion de la direction de la recherche et de l’innovation du CHU de Nantes, a-t-on appris auprès du CNCR et du CHU de Nantes.Sylvie Deblois-Renaud avait rejoint le CNCR comme responsable de la filière industrielle en janvier 2017 (cf dépêche du 06/02/2017 à 15:21) après avoir été chargée de mission en charge du renforcement d’investigation clinique et de la cellule promotion externe au CHU de Nantes où elle avait été recrutée en juin 2010.
"La personne qui lui succèdera n’a pas encore été désignée", a indiqué le CNCR à APMnews.
Le CNCR est le groupement de coopération sanitaire (GCS) chargé de coordonner la recherche clinique dans les établissements publics de santé.
ILE-DE-FRANCE: L'Autorité environnementale a publié ses recommandations pour le projet de campus Grand Paris-Nord
SAINT-OUEN (Seine-Saint-Denis) - L'Autorité environnementale, saisie par le préfet de la Seine-Saint-Denis, s'est réunie le 21 avril en visioconférence afin de donner son avis sur le projet de campus hospitalo-universitaire Saint-Ouen Grand Paris-Nord et sa compatibilité avec le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de Plaine Commune.Le projet de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) réunira, à l’horizon 2028, les activités hospitalières de médecine, chirurgie et obstétrique (MCO) des hôpitaux Beaujon et Bichat-Claude Bernard et les activités d’enseignement et de recherche en santé de l’Université de Paris, de médecine, d’odontologie et de soins infirmiers, actuellement répartis sur huit sites. Il sera implanté sur l'ancien site PSA de Saint-Ouen. L'AP-HP et PSA ayant signé une promesse de vente en décembre 2020 (cf dépêche du 21/12/2020 à 17:42).
Dans son avis de 22 pages, l'autorité liste les principaux enjeux environnementaux du projet:
- l’adaptation au changement climatique et la lutte contre les îlots de chaleur urbains
- l’insertion de ce projet dans le milieu urbain de Saint-Ouen et la végétalisation du site
- les déplacements
- les nuisances pour les riverains pendant la phase de construction d’un chantier s’ajoutant à de nombreux autres dans ce secteur
- les risques sanitaires liés à la pollution des nappes, à la construction sur des sols pollués et à la qualité de l’air, ainsi qu’aux produits résultant de l’activité de l’hôpital.
Ainsi, rappelant que les remblais du site sont pollués par des hydrocarbures, des métaux, des PCB et des composés organiques halogénés volatils (HCOV), l'autorité constate qu'aucun sondage n'a été réalisé dans la partie nord du site "pour vérifier la compatibilité des sols avec les usages projetés et organiser la mise en place d’une évacuation adaptée des déblais". Elle recommande donc d'étudier plus complètement les modalités de dépollution du site et sa compatibilité avec l'usage prévu, et d'introduire des prescriptions pour l'évacuation des déblais.
En matière de santé, l'autorité recommande de joindre l'évaluation quantitative des risques sanitaires (EQRS) provisoire au dossier et de prendre en compte, dans l'EQRS actualisée, les risques résiduels pour la santé, les polluants émanant du sol et du sous-sol et la pollution de l'air. Elle recommande également de "présenter les mesures d'évitement, de réduction et si besoin de compensation".
Constatant que le projet ne respecte pas les critères d'adaptation aux changements climatiques fixés par le plan local d'urbanisme de Saint-Ouen et Plaine Commune, un PLUi particulièrement ambitieux puisqu'il vise à laisser 60% d'espaces libres sur les grands terrains, 50% d'espaces végétalisés et 35% de pleine terre, l'autorité recommande de "compenser le déficit d’espaces verts et en particulier de boisements ligneux pour lutter contre les ilots de chaleur urbains par rapport aux spécifications du PLUi".
A noter enfin que cet avis simple est purement consultatif et oblige le maitre d'ouvrage à ne faire qu'une réponse écrite.
Avis de l'Autorité environnementale
BOURGOGNE-FRANCHE-COMTÉ: La polyclinique du Parc Drevon développe la greffe de membrane amniotique en ambulatoire
DIJON - La polyclinique du Parc Drevon (Ramsay Santé) pratique depuis mars la greffe de membrane amniotique en ambulatoire, dans le cadre du développement de sa filière de chirurgie ophtalmologique, a rapporté le groupe Ramsay Santé lundi dans un communiqué.La greffe de membrane amniotique constitue un traitement chirurgical pour les maladies inflammatoires de la cornée, telles que les défects conjonctivaux, à la suite d'une chirurgie de ptérygion, ou les défects cornéens.
"Les membranes amniotiques sont des tissus aux propriétés rares", prélevés lors de don de placenta et "extrêmement riches en substances cicatrisantes", a rappelé le groupe Ramsay Santé, qui a racheté la clinique dijonnaise en octobre 2020 (cf dépêche du 01/10/2020 à 12:45).
La polyclinique du Parc Drevon emploie près de 200 salariés et dispose de 167 lits et places. Elle avait réalisé un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros (M€) en 2019 avec un résultat de 1,3 M€.
GRAND EST: Changement de coprésidents à la tête de la clinique Rhéna (Strasbourg)
STRASBOURG - La clinique Rhéna, établissement de santé privé à but non lucratif du territoire de Strasbourg issu du regroupement de trois cliniques confessionnelles strasbourgeoises -Adassa (juive), Diaconat (protestante) et Sainte-Odile (catholique)-, a changé de présidence lors de l’assemblée générale de la clinique le 19 avril, a rapporté le groupe Rhéna dans un communiqué diffusé jeudi.Les deux coprésidents en exercice depuis l'ouverture de la clinique en 2017, Philippe Dolfi et Didier Ernst, atteints par la limite d’âge statutaire, ont cédé leur place à un nouveau duo constitué de Michel Buchser et de Thierry Veil.
Les nouveaux coprésidents de la clinique sont tous deux issus de son actuel conseil d’administration.
"Philippe Dolfi et Didier Ernst continueront de siéger à l’assemblée générale de Rhéna et de suivre avec attention les projets de la clinique", a indiqué le groupe.
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