Actualités de l'Urgence - APM

24/01 2023
Retour

DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHI FRÉJUS-SAINT-RAPHAËL, INSTITUT PAOLI-CALMETTES, POLYCLINIQUE DE GRANDE-SYNTHE, CHU DE RENNES, EHPAD DE SAINT-AGNAN (YONNE)

Le 24 janvier 2023 (APMnews) -

PACA: Les urgences du CHI Fréjus-Saint-Raphaël sont rouvertes depuis samedi

FRÉJUS (Var) - Le service des urgences du centre hospitalier intercommunal (CHI) Fréjus-Saint-Raphaël a repris une activité normale depuis samedi matin, après une fermeture temporaire provoquée par des arrêts maladie en série, a indiqué mardi à APMnews Frédéric Limouzy, directeur de l'établissement.

Les urgences étaient fermées depuis mardi 17 janvier au soir. Tous les personnels du service étaient en arrêt maladie à partir de mercredi matin 8h30 jusqu'à samedi matin 8h30 en invoquant un épuisement dû à une surcharge d'activité (cf dépêche du 17/01/2023 à 17:59).

L'activité du service "a repris comme prévu samedi matin, avec les professionnels des urgences", a déclaré le directeur.

PACA: L'Institut Paoli-Calmettes à Marseille labellisé pour sa prise en charge des cancers de l’endomètre

MARSEILLE - L'Institut Paoli-Calmettes (IPC) a été labellisé par la Société européenne de gynécologie oncologique (ESGO) pour la prise en charge des cancers de l’endomètre, a annoncé jeudi dans un communiqué le centre de lutte contre le cancer (CLCC) marseillais.

Cette labellisation "reconnaît l’expertise de l’IPC pour la prise en charge des cancers de l’endomètre, en évaluant 29 critères de qualité, parmi lesquels le volume d’activité, le taux de chirurgie mini-invasive, le taux de réalisation de stadification ganglionnaire pelvienne par ganglion sentinelle, ainsi que le taux de succès de cette procédure, la participation du centre à des essais cliniques dans cette spécialité".

Elle reconnaît également la "prise en charge multidisciplinaire et la qualité du bilan préopératoire, des comptes rendus histologiques et opératoires". "Cette accréditation concerne des établissements qui prennent en charge plus de 50 patientes par an présentant cette pathologie", précise l'IPC.

"Précédemment accrédité par l’ESGO comme centre de formation des chirurgiens oncologues en gynécologie et comme centre expert pour la prise en charge des cancers de l’ovaire, l’IPC est à ce jour le premier et unique centre européen à bénéficier de cette nouvelle labellisation", assure l'établissement.

HAUTS-DE-FRANCE: La polyclinique de Grande-Synthe (Nord) va ouvrir un hôpital de jour en SSR

GRANDE-SYNTHE (Nord) - La polyclinique de Grande-Synthe va ouvrir en 2023 un hôpital de jour en soins de suite et de réadaptation (SSR), a annoncé Cécile Gozé, directrice de l'établissement, dans un discours des voeux prononcé le 10 janvier.

Cécile Gozé a expliqué que cet hôpital de jour en soins de suite et de réadaptation (SSR) sera consacré à "la prise en charge spécifique des troubles du sommeil", "la prévention de la chute chez la personne âgée" (SSR gériatrique) et disposera d'une activité de SSR polyvalent "en continuité d’un séjour en hospitalisation".

Il est également prévu pour l'automne 2023 l'installation d'un appareil d'IRM qui nécessitera un investissement de 1,8 million d'euros, a précisé à APMnews l'établissement.

En 2023 toujours, la polyclinique créera un espace "ouvert aux usagers".

La directrice de cet Espic s'est réjouie d'une activité revenue au niveau de 2019, avec "37.457 journées d’hospitalisation" notamment. Selon elle, dans l'attente de la 4e circulaire budgétaire, la polyclinique devrait être "faiblement déficitaire" en 2022.

BRETAGNE: Le CHU de Rennes étoffe son offre de chirurgie pour les femmes transgenres

RENNES - Le CHU de Rennes étoffe son offre de soins pour accompagner les femmes transgenres dans leur parcours avec la réalisation mi-janvier de deux nouveaux types d'intervention, a-t-il annoncé dans un communiqué diffusé lundi.

Créée en 2021 par le Dr Lucas Freton, chirurgien urologue, une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) mensuelle réservée à la prise en charge des chirurgies d’affirmation de genre rassemble tous les acteurs de ce parcours: chirurgiens, infirmières de parcours, endocrinologues, médecins de la fertilité et de la reproduction, sexologues, psychiatres et psychologues, infirmières spécialisées, coordinateurs de soins, médecins généralistes et spécialisés, représentants d’associations...

Il y a un an, une première vaginoplastie était réalisée au CHU de Rennes, ce qui en faisait "l’un des rares établissements français à proposer ce parcours de soins aux personnes transgenres".

"Depuis, près d’une trentaine de femmes ont pu bénéficier de cette intervention au CHU. En les accompagnant dans leur transition, l’établissement participe à répondre à un enjeu de santé majeur qui concerne, rien qu’en Bretagne, plus de 30.000 personnes", explique le CHU.

Dans ce contexte, l’hôpital continue de faire évoluer son offre de soins à destination des femmes trans avec de nouvelles interventions réalisées en janvier: "une féminisation faciale complète, une première pour le CHU, suivie quelques jours plus tard d’une vaginoplastie robot-assistée, une première française", annonce le CHU.

Le recours au robot Da Vinci Xi* (Intuitive Surgical) pour cette intervention permet à deux chirurgiens de travailler en même temps et ainsi de réduire la durée de l’intervention.

Cette vaginoplastie par inversion pénienne comprend la création d'une cavité néovaginale, la clitoroplastie, la labiaplastie, la réduction des corps caverneux, l'orchidectomie et l'urétroplastie. La peau du pénis est notamment utilisée pour créer la paroi vaginale tandis que ses terminaisons nerveuses serviront à créer un clitoris sensible. La chirurgie robot-assistée semble présenter non seulement l’avantage de réduire les complications (notamment les plaies rectales) mais également de créer une profondeur vaginale dont la vascularisation est optimisée.

Parce que le visage est le médium de tout premier contact visuel, les femmes trans recourent davantage aux chirurgies de féminisation du visage qu'à celles des organes génitaux. Opérées à des fins thérapeutiques, le corps médical les conseille et réalise des projections visuelles postopératoires de façon à obtenir le résultat le plus naturel possible.

Le 11 janvier, le Dr Tristan Beaufils, le Pr Eric Watier et le Pr Nicolas Bertheuil du service de chirurgie plastique du CHU de Rennes ont réalisé au côté du Dr Quentin Qassemyar de l'hôpital Tenon (AP-HP, Paris), chirurgien du visage de notoriété internationale, une féminisation complète du visage chez une jeune-femme de 21 ans -fronto-orbitoplastie, rhinoplastie, génioplastie (menton), bichectomie (boules de Bichat, joues) et V-line (lignes du visage en V)- complétée par la pose de prothèses mammaires pour féminiser son thorax. A l’issue d’une telle opération dont la durée oscille entre six et sept heures, les complications sont infimes et la cicatrisation rapide. En outre, la patiente est gardée en observation deux nuits puis revue régulièrement, indique l'établissement.

Depuis l’ouverture des consultations pour vaginoplastie au CHU de Rennes, les délais d’attente se sont allongés à environ 18 mois pour une consultation et deux ans et demi pour une opération.

Le service prévoit également, au cours des prochaines années et en collaboration avec le service de chirurgie plastique, de développer cette activité en débutant les chirurgies masculinisantes, à savoir des métaïdioplasties (chirurgie alternative à la phalloplastie, qui consiste en la création d’un pénis par l’allongement du clitoris) et des phalloplasties. Du côté de la chirurgie plastique, le service a d’ores et déjà effectué en moins d’un an près d’une vingtaine de torsoplasties/mammectomies pour la masculinisation du torse.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE: Yonne: la justice confirme la fermeture de l'Ehpad de Saint-Agnan

SAINT-AGNAN (Yonne) - Le tribunal administratif de Dijon a rejeté mi-janvier le référé du groupe Bridge visant à suspendre la fermeture de son établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) à Saint-Agnan, a confirmé mardi la direction du groupe à APMnews.

Le directeur de l'agence régionale de santé (ARS) Bourgogne-Franche-Comté, Jean-Jacques Coiplet, avait annoncé début décembre 2022 la fermeture définitive de la résidence Flore, l'Ehpad du groupe Bridge à Saint-Agnan (cf dépêche du 01/12/2022 à 16:55), se basant sur les résultats d'une inspection menée au printemps ayant révélé "de graves dysfonctionnements" (cf dépêche du 19/05/2022 à 18:35).

Cette fermeture avait par la suite été contestée en justice par le groupe Bridge (cf dépêche du 09/12/2022 à 19:07).

Contactée, la direction du groupe s'est dite "surprise" de cette nouvelle décision de justice et "regrette" la position de l'ARS Bourgogne-Franche-Comté et du conseil départemental.

Elle souligne également que "deux recours sur le fond sont toujours en cours et permettront aux juges de disposer du temps nécessaire au regard de la nature de la procédure l'ensemble des pièces".

La direction de l'établissement demeure ainsi "mobilisée pour permettre la reprise des activités de [l'Ehpad] et prendra toutes les initiatives et décisions qui permettront la réalisation de cet objectif", a-t-elle fait savoir.

/syl-jyp-sl-mg/ab/APMnews

Les données APM Santé sont la propriété de APM International. Toute copie, republication ou redistribution des données APM Santé, notamment via la mise en antémémoire, l'encadrement ou des moyens similaires, est expressément interdite sans l'accord préalable écrit de APM. APM ne sera pas responsable des erreurs ou des retards dans les données ou de toutes actions entreprises en fonction de celles-ci ou toutes décisions prises sur la base du service. APM, APM Santé et le logo APM International, sont des marques d'APM International dans le monde. Pour de plus amples informations sur les autres services d'APM, veuillez consulter le site Web public d'APM à l'adresse www.apmnews.com

Copyright © APM-Santé - Tous droits réservés.

Informations professionnelles

24/01 2023
Retour

DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHI FRÉJUS-SAINT-RAPHAËL, INSTITUT PAOLI-CALMETTES, POLYCLINIQUE DE GRANDE-SYNTHE, CHU DE RENNES, EHPAD DE SAINT-AGNAN (YONNE)

Le 24 janvier 2023 (APMnews) -

PACA: Les urgences du CHI Fréjus-Saint-Raphaël sont rouvertes depuis samedi

FRÉJUS (Var) - Le service des urgences du centre hospitalier intercommunal (CHI) Fréjus-Saint-Raphaël a repris une activité normale depuis samedi matin, après une fermeture temporaire provoquée par des arrêts maladie en série, a indiqué mardi à APMnews Frédéric Limouzy, directeur de l'établissement.

Les urgences étaient fermées depuis mardi 17 janvier au soir. Tous les personnels du service étaient en arrêt maladie à partir de mercredi matin 8h30 jusqu'à samedi matin 8h30 en invoquant un épuisement dû à une surcharge d'activité (cf dépêche du 17/01/2023 à 17:59).

L'activité du service "a repris comme prévu samedi matin, avec les professionnels des urgences", a déclaré le directeur.

PACA: L'Institut Paoli-Calmettes à Marseille labellisé pour sa prise en charge des cancers de l’endomètre

MARSEILLE - L'Institut Paoli-Calmettes (IPC) a été labellisé par la Société européenne de gynécologie oncologique (ESGO) pour la prise en charge des cancers de l’endomètre, a annoncé jeudi dans un communiqué le centre de lutte contre le cancer (CLCC) marseillais.

Cette labellisation "reconnaît l’expertise de l’IPC pour la prise en charge des cancers de l’endomètre, en évaluant 29 critères de qualité, parmi lesquels le volume d’activité, le taux de chirurgie mini-invasive, le taux de réalisation de stadification ganglionnaire pelvienne par ganglion sentinelle, ainsi que le taux de succès de cette procédure, la participation du centre à des essais cliniques dans cette spécialité".

Elle reconnaît également la "prise en charge multidisciplinaire et la qualité du bilan préopératoire, des comptes rendus histologiques et opératoires". "Cette accréditation concerne des établissements qui prennent en charge plus de 50 patientes par an présentant cette pathologie", précise l'IPC.

"Précédemment accrédité par l’ESGO comme centre de formation des chirurgiens oncologues en gynécologie et comme centre expert pour la prise en charge des cancers de l’ovaire, l’IPC est à ce jour le premier et unique centre européen à bénéficier de cette nouvelle labellisation", assure l'établissement.

HAUTS-DE-FRANCE: La polyclinique de Grande-Synthe (Nord) va ouvrir un hôpital de jour en SSR

GRANDE-SYNTHE (Nord) - La polyclinique de Grande-Synthe va ouvrir en 2023 un hôpital de jour en soins de suite et de réadaptation (SSR), a annoncé Cécile Gozé, directrice de l'établissement, dans un discours des voeux prononcé le 10 janvier.

Cécile Gozé a expliqué que cet hôpital de jour en soins de suite et de réadaptation (SSR) sera consacré à "la prise en charge spécifique des troubles du sommeil", "la prévention de la chute chez la personne âgée" (SSR gériatrique) et disposera d'une activité de SSR polyvalent "en continuité d’un séjour en hospitalisation".

Il est également prévu pour l'automne 2023 l'installation d'un appareil d'IRM qui nécessitera un investissement de 1,8 million d'euros, a précisé à APMnews l'établissement.

En 2023 toujours, la polyclinique créera un espace "ouvert aux usagers".

La directrice de cet Espic s'est réjouie d'une activité revenue au niveau de 2019, avec "37.457 journées d’hospitalisation" notamment. Selon elle, dans l'attente de la 4e circulaire budgétaire, la polyclinique devrait être "faiblement déficitaire" en 2022.

BRETAGNE: Le CHU de Rennes étoffe son offre de chirurgie pour les femmes transgenres

RENNES - Le CHU de Rennes étoffe son offre de soins pour accompagner les femmes transgenres dans leur parcours avec la réalisation mi-janvier de deux nouveaux types d'intervention, a-t-il annoncé dans un communiqué diffusé lundi.

Créée en 2021 par le Dr Lucas Freton, chirurgien urologue, une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) mensuelle réservée à la prise en charge des chirurgies d’affirmation de genre rassemble tous les acteurs de ce parcours: chirurgiens, infirmières de parcours, endocrinologues, médecins de la fertilité et de la reproduction, sexologues, psychiatres et psychologues, infirmières spécialisées, coordinateurs de soins, médecins généralistes et spécialisés, représentants d’associations...

Il y a un an, une première vaginoplastie était réalisée au CHU de Rennes, ce qui en faisait "l’un des rares établissements français à proposer ce parcours de soins aux personnes transgenres".

"Depuis, près d’une trentaine de femmes ont pu bénéficier de cette intervention au CHU. En les accompagnant dans leur transition, l’établissement participe à répondre à un enjeu de santé majeur qui concerne, rien qu’en Bretagne, plus de 30.000 personnes", explique le CHU.

Dans ce contexte, l’hôpital continue de faire évoluer son offre de soins à destination des femmes trans avec de nouvelles interventions réalisées en janvier: "une féminisation faciale complète, une première pour le CHU, suivie quelques jours plus tard d’une vaginoplastie robot-assistée, une première française", annonce le CHU.

Le recours au robot Da Vinci Xi* (Intuitive Surgical) pour cette intervention permet à deux chirurgiens de travailler en même temps et ainsi de réduire la durée de l’intervention.

Cette vaginoplastie par inversion pénienne comprend la création d'une cavité néovaginale, la clitoroplastie, la labiaplastie, la réduction des corps caverneux, l'orchidectomie et l'urétroplastie. La peau du pénis est notamment utilisée pour créer la paroi vaginale tandis que ses terminaisons nerveuses serviront à créer un clitoris sensible. La chirurgie robot-assistée semble présenter non seulement l’avantage de réduire les complications (notamment les plaies rectales) mais également de créer une profondeur vaginale dont la vascularisation est optimisée.

Parce que le visage est le médium de tout premier contact visuel, les femmes trans recourent davantage aux chirurgies de féminisation du visage qu'à celles des organes génitaux. Opérées à des fins thérapeutiques, le corps médical les conseille et réalise des projections visuelles postopératoires de façon à obtenir le résultat le plus naturel possible.

Le 11 janvier, le Dr Tristan Beaufils, le Pr Eric Watier et le Pr Nicolas Bertheuil du service de chirurgie plastique du CHU de Rennes ont réalisé au côté du Dr Quentin Qassemyar de l'hôpital Tenon (AP-HP, Paris), chirurgien du visage de notoriété internationale, une féminisation complète du visage chez une jeune-femme de 21 ans -fronto-orbitoplastie, rhinoplastie, génioplastie (menton), bichectomie (boules de Bichat, joues) et V-line (lignes du visage en V)- complétée par la pose de prothèses mammaires pour féminiser son thorax. A l’issue d’une telle opération dont la durée oscille entre six et sept heures, les complications sont infimes et la cicatrisation rapide. En outre, la patiente est gardée en observation deux nuits puis revue régulièrement, indique l'établissement.

Depuis l’ouverture des consultations pour vaginoplastie au CHU de Rennes, les délais d’attente se sont allongés à environ 18 mois pour une consultation et deux ans et demi pour une opération.

Le service prévoit également, au cours des prochaines années et en collaboration avec le service de chirurgie plastique, de développer cette activité en débutant les chirurgies masculinisantes, à savoir des métaïdioplasties (chirurgie alternative à la phalloplastie, qui consiste en la création d’un pénis par l’allongement du clitoris) et des phalloplasties. Du côté de la chirurgie plastique, le service a d’ores et déjà effectué en moins d’un an près d’une vingtaine de torsoplasties/mammectomies pour la masculinisation du torse.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE: Yonne: la justice confirme la fermeture de l'Ehpad de Saint-Agnan

SAINT-AGNAN (Yonne) - Le tribunal administratif de Dijon a rejeté mi-janvier le référé du groupe Bridge visant à suspendre la fermeture de son établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) à Saint-Agnan, a confirmé mardi la direction du groupe à APMnews.

Le directeur de l'agence régionale de santé (ARS) Bourgogne-Franche-Comté, Jean-Jacques Coiplet, avait annoncé début décembre 2022 la fermeture définitive de la résidence Flore, l'Ehpad du groupe Bridge à Saint-Agnan (cf dépêche du 01/12/2022 à 16:55), se basant sur les résultats d'une inspection menée au printemps ayant révélé "de graves dysfonctionnements" (cf dépêche du 19/05/2022 à 18:35).

Cette fermeture avait par la suite été contestée en justice par le groupe Bridge (cf dépêche du 09/12/2022 à 19:07).

Contactée, la direction du groupe s'est dite "surprise" de cette nouvelle décision de justice et "regrette" la position de l'ARS Bourgogne-Franche-Comté et du conseil départemental.

Elle souligne également que "deux recours sur le fond sont toujours en cours et permettront aux juges de disposer du temps nécessaire au regard de la nature de la procédure l'ensemble des pièces".

La direction de l'établissement demeure ainsi "mobilisée pour permettre la reprise des activités de [l'Ehpad] et prendra toutes les initiatives et décisions qui permettront la réalisation de cet objectif", a-t-elle fait savoir.

/syl-jyp-sl-mg/ab/APMnews

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour réaliser des statistiques de visites.