Actualités de l'Urgence - APM

07/07 2025
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHU DE NICE, CLINIQUE DES 7 VALLÉES (PAS-DE-CALAIS), POLYCLINIQUE CÔTE BASQUE SUD, HÔPITAL DE QUIMPERLÉ, HÔPITAL RAMSAY DE LA LOIRE

Le 7 juillet 2025 (APMnews) -

PACA: Le CHU de Nice s'associe à General Electric en imagerie

NICE - Le CHU de Nice et General Electric (GE) Healthcare ont annoncé un "partenariat stratégique pour accélérer l'innovation en imagerie médicale", dans un communiqué commun diffusé vendredi.

Ce partenariat vise "la fluidification du parcours chirurgical" via "l'envoi automatisé des données cliniques et d'imagerie des patients en amont des interventions" afin d'"améliorer la coordination entre les services et [de] réduire les délais de préparation opératoire".

Le partenariat comprend aussi l'implication de GE Healthcare auprès de l'institut hospitalo-universitaire (IHU) RespirERA, centré sur la santé respiratoire, afin de "développer une approche multidimensionnelle du dépistage du cancer du poumon, incluant les facteurs de risques phénotypiques, professionnels et environnementaux".

"Cette approche sera combinée au développement de l'IA [intelligence artificielle] prédictive appliquée aux données de l’imagerie et de la biologie (analyse fragmentomique et profils de méthylation de l’ADN plasmatique libre circulant)", est-il précisé.

Le troisième volet du partenariat concerne un "programme de recherche appliquée autour de sondes échographiques" dans le but "d’élargir les usages cliniques de cette modalité, d’en améliorer la qualité d’image et d’enrichir les perspectives diagnostiques dans différents contextes médicaux".

HAUTS-DE-FRANCE: La clinique des 7 Vallées à Hesdin va renforcer et développer son offre de soins

HESDIN (Pas-de-Calais) - Le groupe Victor-Pauchet Santé a annoncé vendredi dans un communiqué qu'il allait renforcer l'offre de soins actuelle de la clinique des 7 Vallées située à Hesdin, dont le nouveau bâtiment a été inauguré ce jour-là, et en créer de nouvelles.

Le groupe Victor-Pauchet, qui a repris l'établissement début 2020 (cf dépêche du 06/01/2020 à 10:47), vise à "compléter l'offre de soins" en angiologie, ophtalmologie, gastro-entérologie. La clinique va "développer de nouvelles techniques ambulatoires en lien avec les professionnels de santé du territoire", notamment avec la mise en place de la récupération améliorée après chirurgie (RAAC). La clinique prévoit de se doter d'un scanner.

L'établissement espère également "attirer de nouveaux spécialistes" et "créer des filières de soins avec les spécialistes d'Hesdin-Abbeville-Amiens". Il souhaite contribuer à développer l'accueil non programmé et une offre de prévention en santé publique.

Huit millions d'euros d'investissements ont été mis sur la table par le groupe notamment pour le déménagement de la clinique "pour rejoindre le nouveau pôle de santé à Hesdin", lancé en 2023 et ayant abouti en 2024. Il est prévu, à travers ce pôle de santé, de "renforcer les synergies territoriales, "s'inscrire dans le projet de la communauté de communes des 7 Vallées", ou encore de "contribuer à la création d’un espace santé de référence de proximité", de "densifier les consultations de proximité" et de "répondre au besoin de consultations de spécialités".

La clinique enregistre 3.000 actes chirurgicaux et 20.000 consultations par an.

NOUVELLE-AQUITAINE: L'ARS Nouvelle-Aquitaine insiste pour que la polyclinique Côte basque sud maintienne ses urgences

SAINT-JEAN-DE-LUZ (Pyrénées-Atlantiques) - Benoît Elleboode, directeur général de l'agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine, a demandé à la polyclinique Côte basque sud, à Saint-Jean-de-Luz, de déposer une demande d'autorisation pour ses urgences, selon un communiqué diffusé jeudi, alors que l'établissement privé a laissé entendre qu'il pourrait les fermer.

L'ARS avait auparavant sommé la polyclinique Côte basque sud de faire fonctionner normalement ses urgences, rappelle-t-on. L'établissement rencontre des difficultés en matière de ressources humaines aux urgences depuis septembre 2024. Il doit fermer régulièrement le service le jour, la nuit et parfois pendant 24 heures (cf dépêche du 05/05/2025 à 18:01).

La direction de la polyclinique a choisi de limiter, depuis le 1er janvier, le temps de présence médicale aux urgences en journée, avec "une seule ligne de présence" médicale 24h/24, contre deux auparavant (hors de la période estivale, où il faut compter un renfort supplémentaire).

Benoît Elleboode "recevra très prochainement le PDG de la polyclinique de Saint-Jean-de-Luz [le Dr Laurent Gauthier] pour lui demander de déposer un dossier de renouvellement de son autorisation actuelle, et ce avant le 15 septembre 2025", selon le communiqué. Durant cet échange, il présentera au dirigeant de la polyclinique "toutes les mesures coercitives qui pourront être mises en œuvre pour qu’il s’inscrive dans les orientations ministérielles".

Les conclusions de l’audit réalisé sur l'année 2024 par l’ARS "attestent" que l'activité des urgences "n'est pas de nature à mettre financièrement l'établissement en danger", est-il précisé.

En parallèle, "un travail est engagé [...] entre l'ARS, la direction de l’établissement et les autres acteurs de l’urgence et des soins non programmés pour trouver rapidement une solution pour le territoire". Ainsi, l'agence "s'assurera que tous les établissements de santé, placés sous son autorité, puissent coopérer plus et mieux, au service de la population de ce territoire".

Le ministre chargé de la santé et de l'accès aux soins, Yannick Neuder, s'était montré remonté contre une possible fermeture des urgences de la polyclinique Côte basque sud, le 25 juin (cf dépêche du 26/06/2025 à 15:56), se disant prêt si nécessaire à aller "en personne à Saint-Jean-de-Luz réexpliquer le sujet de la permanence des soins qui ne doit pas être une option en France".

BRETAGNE: La reconstruction de l'hôpital de Quimperlé peut commencer

RENNES - La reconstruction de l'hôpital de Quimperlé pour constituer un plateau de soins ouvert sur la ville au service de la population va pouvoir commencer, ont annoncé l'agence régionale de santé (ARS) Bretagne, le groupe hospitalier Bretagne Sud (GHBS) et L'Hospitalité Saint-Thomas de Villeneuve (HSTV), dans un communiqué diffusé vendredi.

Le comité de pilotage de suivi du projet du nouvel hôpital de Quimperlé s'est réuni vendredi pour faire un point d'avancement et valider notamment l'ordre de service de démarrage des travaux de construction du nouvel hôpital.

Second pôle d'activité du GHBS et labellisé hôpital de proximité, cet hôpital ouvert en 1962 ne répond plus aux standards d'accueil hôtelier ni au développement des activités. Sa reconstruction a été validée par l'ARS Bretagne dans le cadre du Ségur de la santé avec un accompagnement financier de l'Etat à hauteur de 30% du coût total, soit 23 millions d'euros (M€) sur 70 M€ (cf dépêche du 07/03/2024 à 12:11).

L'opération repose sur un partenariat entre le GHBS et HSTV, gestionnaire de la Maison Saint-Joseph à Quimperlé, dont les activités de soins médicaux et de réadaptation (SMR) sont intégrées au projet immobilier.

Plusieurs étapes ont été franchies en 2025: les déconstructions préalables au projet sont effectives et le résultat de l'appel d'offres des travaux a pu être fait avec un coût d'opération conforme à l'enveloppe initiale. Le programme des travaux intègre l'installation d'un appareil d'IRM, en extension du plateau d'imagerie, détaille le communiqué.

La livraison du parking provisoire et de la voie d'accès définitive aux urgences sont prévues courant juillet. Puis les travaux de terrassement démarreront comme prévu en septembre et la construction du nouveau bâtiment d'ici à la fin 2025 (cf dépêche du 13/06/2025 à 18:18).

En septembre, l'accès à l'hôpital se fera par l'entrée historique du site; une signalétique sera apposée à proximité. L'installation de la base de chantier interviendra par la suite, pour une durée estimée des travaux de trois ans et demi. Un bâtiment de 20.000 m² sera construit sur le site de la Villeneuve. Les activités du bâtiment actuel se poursuivront pendant les travaux, en site occupé.

AUVERGNE-RHONE-ALPES: L’Hôpital Ramsay de la Loire victime d'un vol d'identité et de données

PARIS - L’Hôpital Ramsay de la Loire, à Saint-Etienne, a été victime d’un vol d’identité qui a permis à une personne malveillante d’accéder de manière indue à une quantité importante de données personnelles de ses patients, entre le 26 juin et le 1er juillet, a annoncé le groupe Ramsay Santé, dans un communiqué lundi.

Ramsay Santé assure que dès ces accès découverts, "l’hôpital et les équipes techniques du groupe ont immédiatement pris les mesures correctives pour faire cesser l’intrusion et ont, avec le concours de l’éditeur, initié les investigations pour quantifier et qualifier l’ampleur de la violation".

"Ces investigations ont permis de constater que les données concernées sont essentiellement de nature administrative", précise-t-il.

"A aucun moment cet événement n’a eu d’incidence sur la prise en charge des patients de l’établissement ni, au sens large, sur l’activité de ce dernier", ajoute-t-il.

Ramsay Santé annonce que l’établissement va déposer plainte et que, conformément à ses obligations légales, il a notifié l’incident auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), de l’agence régionale de santé (ARS) et du CERT Santé, service de référence concernant la gestion des menaces de cybersécurité pour les établissements de santé.

"Il étudie les meilleurs moyens d’assurer la communication appropriée auprès des personnes concernées pour notamment les inviter à la plus grande prudence quant au risque d’usurpation d’identité", déclare-t-il.

/jyp-bd-sl-san/lb/APMnews

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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHU DE NICE, CLINIQUE DES 7 VALLÉES (PAS-DE-CALAIS), POLYCLINIQUE CÔTE BASQUE SUD, HÔPITAL DE QUIMPERLÉ, HÔPITAL RAMSAY DE LA LOIRE

Le 7 juillet 2025 (APMnews) -

PACA: Le CHU de Nice s'associe à General Electric en imagerie

NICE - Le CHU de Nice et General Electric (GE) Healthcare ont annoncé un "partenariat stratégique pour accélérer l'innovation en imagerie médicale", dans un communiqué commun diffusé vendredi.

Ce partenariat vise "la fluidification du parcours chirurgical" via "l'envoi automatisé des données cliniques et d'imagerie des patients en amont des interventions" afin d'"améliorer la coordination entre les services et [de] réduire les délais de préparation opératoire".

Le partenariat comprend aussi l'implication de GE Healthcare auprès de l'institut hospitalo-universitaire (IHU) RespirERA, centré sur la santé respiratoire, afin de "développer une approche multidimensionnelle du dépistage du cancer du poumon, incluant les facteurs de risques phénotypiques, professionnels et environnementaux".

"Cette approche sera combinée au développement de l'IA [intelligence artificielle] prédictive appliquée aux données de l’imagerie et de la biologie (analyse fragmentomique et profils de méthylation de l’ADN plasmatique libre circulant)", est-il précisé.

Le troisième volet du partenariat concerne un "programme de recherche appliquée autour de sondes échographiques" dans le but "d’élargir les usages cliniques de cette modalité, d’en améliorer la qualité d’image et d’enrichir les perspectives diagnostiques dans différents contextes médicaux".

HAUTS-DE-FRANCE: La clinique des 7 Vallées à Hesdin va renforcer et développer son offre de soins

HESDIN (Pas-de-Calais) - Le groupe Victor-Pauchet Santé a annoncé vendredi dans un communiqué qu'il allait renforcer l'offre de soins actuelle de la clinique des 7 Vallées située à Hesdin, dont le nouveau bâtiment a été inauguré ce jour-là, et en créer de nouvelles.

Le groupe Victor-Pauchet, qui a repris l'établissement début 2020 (cf dépêche du 06/01/2020 à 10:47), vise à "compléter l'offre de soins" en angiologie, ophtalmologie, gastro-entérologie. La clinique va "développer de nouvelles techniques ambulatoires en lien avec les professionnels de santé du territoire", notamment avec la mise en place de la récupération améliorée après chirurgie (RAAC). La clinique prévoit de se doter d'un scanner.

L'établissement espère également "attirer de nouveaux spécialistes" et "créer des filières de soins avec les spécialistes d'Hesdin-Abbeville-Amiens". Il souhaite contribuer à développer l'accueil non programmé et une offre de prévention en santé publique.

Huit millions d'euros d'investissements ont été mis sur la table par le groupe notamment pour le déménagement de la clinique "pour rejoindre le nouveau pôle de santé à Hesdin", lancé en 2023 et ayant abouti en 2024. Il est prévu, à travers ce pôle de santé, de "renforcer les synergies territoriales, "s'inscrire dans le projet de la communauté de communes des 7 Vallées", ou encore de "contribuer à la création d’un espace santé de référence de proximité", de "densifier les consultations de proximité" et de "répondre au besoin de consultations de spécialités".

La clinique enregistre 3.000 actes chirurgicaux et 20.000 consultations par an.

NOUVELLE-AQUITAINE: L'ARS Nouvelle-Aquitaine insiste pour que la polyclinique Côte basque sud maintienne ses urgences

SAINT-JEAN-DE-LUZ (Pyrénées-Atlantiques) - Benoît Elleboode, directeur général de l'agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine, a demandé à la polyclinique Côte basque sud, à Saint-Jean-de-Luz, de déposer une demande d'autorisation pour ses urgences, selon un communiqué diffusé jeudi, alors que l'établissement privé a laissé entendre qu'il pourrait les fermer.

L'ARS avait auparavant sommé la polyclinique Côte basque sud de faire fonctionner normalement ses urgences, rappelle-t-on. L'établissement rencontre des difficultés en matière de ressources humaines aux urgences depuis septembre 2024. Il doit fermer régulièrement le service le jour, la nuit et parfois pendant 24 heures (cf dépêche du 05/05/2025 à 18:01).

La direction de la polyclinique a choisi de limiter, depuis le 1er janvier, le temps de présence médicale aux urgences en journée, avec "une seule ligne de présence" médicale 24h/24, contre deux auparavant (hors de la période estivale, où il faut compter un renfort supplémentaire).

Benoît Elleboode "recevra très prochainement le PDG de la polyclinique de Saint-Jean-de-Luz [le Dr Laurent Gauthier] pour lui demander de déposer un dossier de renouvellement de son autorisation actuelle, et ce avant le 15 septembre 2025", selon le communiqué. Durant cet échange, il présentera au dirigeant de la polyclinique "toutes les mesures coercitives qui pourront être mises en œuvre pour qu’il s’inscrive dans les orientations ministérielles".

Les conclusions de l’audit réalisé sur l'année 2024 par l’ARS "attestent" que l'activité des urgences "n'est pas de nature à mettre financièrement l'établissement en danger", est-il précisé.

En parallèle, "un travail est engagé [...] entre l'ARS, la direction de l’établissement et les autres acteurs de l’urgence et des soins non programmés pour trouver rapidement une solution pour le territoire". Ainsi, l'agence "s'assurera que tous les établissements de santé, placés sous son autorité, puissent coopérer plus et mieux, au service de la population de ce territoire".

Le ministre chargé de la santé et de l'accès aux soins, Yannick Neuder, s'était montré remonté contre une possible fermeture des urgences de la polyclinique Côte basque sud, le 25 juin (cf dépêche du 26/06/2025 à 15:56), se disant prêt si nécessaire à aller "en personne à Saint-Jean-de-Luz réexpliquer le sujet de la permanence des soins qui ne doit pas être une option en France".

BRETAGNE: La reconstruction de l'hôpital de Quimperlé peut commencer

RENNES - La reconstruction de l'hôpital de Quimperlé pour constituer un plateau de soins ouvert sur la ville au service de la population va pouvoir commencer, ont annoncé l'agence régionale de santé (ARS) Bretagne, le groupe hospitalier Bretagne Sud (GHBS) et L'Hospitalité Saint-Thomas de Villeneuve (HSTV), dans un communiqué diffusé vendredi.

Le comité de pilotage de suivi du projet du nouvel hôpital de Quimperlé s'est réuni vendredi pour faire un point d'avancement et valider notamment l'ordre de service de démarrage des travaux de construction du nouvel hôpital.

Second pôle d'activité du GHBS et labellisé hôpital de proximité, cet hôpital ouvert en 1962 ne répond plus aux standards d'accueil hôtelier ni au développement des activités. Sa reconstruction a été validée par l'ARS Bretagne dans le cadre du Ségur de la santé avec un accompagnement financier de l'Etat à hauteur de 30% du coût total, soit 23 millions d'euros (M€) sur 70 M€ (cf dépêche du 07/03/2024 à 12:11).

L'opération repose sur un partenariat entre le GHBS et HSTV, gestionnaire de la Maison Saint-Joseph à Quimperlé, dont les activités de soins médicaux et de réadaptation (SMR) sont intégrées au projet immobilier.

Plusieurs étapes ont été franchies en 2025: les déconstructions préalables au projet sont effectives et le résultat de l'appel d'offres des travaux a pu être fait avec un coût d'opération conforme à l'enveloppe initiale. Le programme des travaux intègre l'installation d'un appareil d'IRM, en extension du plateau d'imagerie, détaille le communiqué.

La livraison du parking provisoire et de la voie d'accès définitive aux urgences sont prévues courant juillet. Puis les travaux de terrassement démarreront comme prévu en septembre et la construction du nouveau bâtiment d'ici à la fin 2025 (cf dépêche du 13/06/2025 à 18:18).

En septembre, l'accès à l'hôpital se fera par l'entrée historique du site; une signalétique sera apposée à proximité. L'installation de la base de chantier interviendra par la suite, pour une durée estimée des travaux de trois ans et demi. Un bâtiment de 20.000 m² sera construit sur le site de la Villeneuve. Les activités du bâtiment actuel se poursuivront pendant les travaux, en site occupé.

AUVERGNE-RHONE-ALPES: L’Hôpital Ramsay de la Loire victime d'un vol d'identité et de données

PARIS - L’Hôpital Ramsay de la Loire, à Saint-Etienne, a été victime d’un vol d’identité qui a permis à une personne malveillante d’accéder de manière indue à une quantité importante de données personnelles de ses patients, entre le 26 juin et le 1er juillet, a annoncé le groupe Ramsay Santé, dans un communiqué lundi.

Ramsay Santé assure que dès ces accès découverts, "l’hôpital et les équipes techniques du groupe ont immédiatement pris les mesures correctives pour faire cesser l’intrusion et ont, avec le concours de l’éditeur, initié les investigations pour quantifier et qualifier l’ampleur de la violation".

"Ces investigations ont permis de constater que les données concernées sont essentiellement de nature administrative", précise-t-il.

"A aucun moment cet événement n’a eu d’incidence sur la prise en charge des patients de l’établissement ni, au sens large, sur l’activité de ce dernier", ajoute-t-il.

Ramsay Santé annonce que l’établissement va déposer plainte et que, conformément à ses obligations légales, il a notifié l’incident auprès de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), de l’agence régionale de santé (ARS) et du CERT Santé, service de référence concernant la gestion des menaces de cybersécurité pour les établissements de santé.

"Il étudie les meilleurs moyens d’assurer la communication appropriée auprès des personnes concernées pour notamment les inviter à la plus grande prudence quant au risque d’usurpation d’identité", déclare-t-il.

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