Actualités de l'Urgence - APM

05/05 2023
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHU DE REIMS, CHU D'ANGERS, GH DU HAVRE, CH DE HAGUENAU (BAS-RHIN), CH DES SABLES-D'OLONNE

Le 5 mai 2023 (APMnews) -

GRAND EST: Le CHU de Reims adopte le service de partage de données d'imagerie "e-mage"

REIMS - Le CHU de Reims a adopté en mars le service de partage de données d'imagerie "e-mage", ont annoncé jeudi l'établissement rémois et le groupement régional d'appui au développement de la e-santé (Grades) du Grand Est, Pulsy, porteur du service, dans un communiqué commun.

Le service "e-mage" permet le partage, avec l'accord des patients, des examens d'imagerie réalisés dans les structures l'ayant adopté e-mage, entre professionnels de santé.

"Il s'adresse non seulement aux 'producteurs' d'images médicales (services d'imagerie en établissements de santé, cabinets de radiologie libéraux) mais aussi aux 'consommateurs' de ces images (radiologues, médecins libéraux ou exerçant en établissement de santé)", ont souligné le CHU et le Grades.

Le service Pulsy a déjà été adopté par groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA), le centre hospitalier (CH) de Wissembourg (Bas-Rhin), les groupes d'imagerie Imalo (imagerie Majorelle-Callot), Radiolor en Moselle et Meurthe-et-Moselle (Metz, Nancy, Epinal, Remiremont, Pont-à-Mousson, Lunéville), le centre d'imagerie isotopique lorrain, le centre d'imagerie métabolique et scintigraphie d'Epinal.

PAYS DE LA LOIRE: Le CHU d'Angers s'équipe d'un container de décontamination d'urgence

ANGERS - Le CHU d'Angers a acquis un module de décontamination d'urgence pour les victimes exposées à des agents chimiques, nucléaires ou radiologiques, dans le cadre de sa gestion des situations sanitaires exceptionnelles, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

Les objectifs de ce module (DéconCube*), qui peut être "déployé en moins de 30 minutes à proximité des urgences", est de "décontaminer au plus vite les victimes avant leur prise en charge dans les services de soins", d'"éviter toute propagation de la contamination au sein de l'hôpital" et de "garantir la sécurité des soignants et des autres patients". Il permet de "réaliser les premières décontaminations en attendant si besoin l'unité de décontamination référente pour les Pays de la Loire, basée au CHU de Nantes".

Photo: Catherine Jouannet, CHU d'Angers
Photo: Catherine Jouannet, CHU d'Angers

Le container est composé de deux sas permettant une prise en charge selon le principe de la marche en avant: le premier est destiné à la douche et au savonnage, le second permet le rinçage et l'habillage avec un pyjama à usage unique (les eaux contaminées sont recueillies par le biais d'un circuit d'eau fermé).

Par son caractère modulable, cette structure de décontamination permet la prise en charge des victimes valides (debout) et non valides (couchées).

Son utilisation mobilise une équipe de huit décontaminateurs qui se relaient au minimum toutes les heures. A l'échelle du CHU, "ce sont 90 personnels hospitaliers -majoritairement des soignants- qui vont être formés à la décontamination". Le Centre d'enseignement des soins d'urgence (Cesu) a lancé un appel en interne pour intégrer cette équipe de décontaminateurs.

Le CHU souligne que son programme immobilier Convergences, validé par l'Etat début 2023, prévoit le regroupement et la réorganisation des urgences, des blocs opératoires, de l'imagerie et des soins critiques entre 2029 et 2037 (cf dépêche du 24/03/2023 à 18:52). "Dès les urgences adultes, la prise en charge d'un afflux massif ou isolé de victimes potentiellement contaminées sera prévue, tout comme l'intégration du DéconCube*."

"Les hospitaliers responsables de ces questions de situations sanitaires exceptionnelles travaillent actuellement sur ces parcours patients pour soumettre les organisations sanitaires les plus optimales dans le cadre du concours d'architecte en cours", précise-t-il.

La structure, qui mesure 7 mètres sur 4 pour une hauteur de 2,70 m, permet de décontaminer 25 personnes par heure pendant deux heures. Elle représente un investissement de 134.500 euros.

NORMANDIE: Quatorze projets innovants retenus au GH du Havre au titre de la prime d'engagement collectif

LE HAVRE - Quatre-vingt-treize agents du groupe hospitalier (GH) du Havre ont reçu une prime d'engagement collectif au premier trimestre 2023 pour le développement de 14 "projets innovants", selon un communiqué de l'établissement diffusé vendredi.

Parmi les 14 projets retenus dans le cadre de la prime d'engagement collectif, instaurée en juillet 2022 (cf dépêche du 22/07/2021 à 14:41), figure la création d'un hôpital de jour bariatrique, d'une formation à la prise en charge des patients mineurs en secteur adulte ou encore l'ouverture d'une antenne de formation d'aides-soignantes à Lillebonne (Seine-Maritime).

Au total, 60.000 euros ont été versés au titre de la prime d'engagement collectif, soit en moyenne 640 euros bruts par agent.

Le GH précise que les projets ont été "accompagnés dans leur réalisation par la commission des projets innovants, pilotée par Pauline Richoux, directrice générale adjointe, et par le Dr Anne Vandendriessche, membre du bureau de la commission médicale d'établissement (CME).

GRAND EST: Régulation à l'entrée des urgences du CH de Haguenau (Bas-Rhin)

HAGUENAU (Bas-Rhin) - Le centre hospitalier (CH) de Haguenau a mis en place une régulation par le Samu-Centre 15 à l'entrée de ses urgences durant la journée du samedi 6 mai, a annoncé vendredi l'établissement sur Facebook.

Cette régulation est mise en place de 7h à 18h le samedi 6 mai.

Durant cette journée, "les patients sont invités à ne pas se présenter spontanément aux urgences, et à appeler le Samu-Centre 15 pour évaluer si leur état de santé nécessite la prise en charge dans un service d'urgence", a expliqué le CH.

L'établissement a néanmoins précisé que cette régulation ne concerne que les urgences adultes. "Les urgences gynécologiques, obstétricales et pédiatriques continuent d'être prises en charge au CH selon les circuits habituels", est-il souligné.

C'est le deuxième week-end consécutif que cette mesure est prise par la direction du CH, après la réorganisation temporaire des urgences instaurée du vendredi 28 avril au soir jusqu'au matin du dimanche 30 avril.

L'établissement avait de même limité l'accès à ses urgences en février dernier ou encore durant l'été 2022 (cf dépêche du 11/08/2022 à 17:53). Le CH de Haguenau compte en moyenne 95 passages aux urgences adultes par mois.

PAYS DE LA LOIRE: Nouvelle suspension de l'accueil des urgences au CH des Sables-d'Olonne (Vendée) mais reprise des accouchements

LES SABLES-D'OLONNE - Le centre hospitalier des Sables-d'Olonne a annoncé vendredi qu'il fermait une nouvelle fois l'accueil de ses urgences pendant une nuit mais qu'il reprenait la prise en charge des accouchements à compter de ce vendredi.

Il sera "suspendu du samedi 6 mai à 18h30 au dimanche 7 mai 8h30", a-t-il annoncé dans un communiqué.

"Un(e) infirmier(ère) et un(e) aide-soignant(e) resteront cependant présent(e)s pour accueillir les patients qui viendraient à se présenter par leurs propres moyens aux urgences et apporter une réponse la plus adaptée en fonction de leur état de santé", précise-t-il toutefois.

Comme il l'avait fait en avril, il précise que cette suspension est liée "à la défection de médecins remplaçants refusant dans l'immédiat le plafond de rémunération de 1.390 € par 24 heures".

Dans un autre communiqué, diffusé vendredi, l'hôpital a annoncé qu'après avoir arrêté de prendre en charge des accouchements, depuis le 1er mai (cf dépêche du 04/05/2023 à 18:31), il les reprenait à compte de ce vendredi à 17 heures.

Une équipe de 11 anesthésistes va intervenir au sein du centre hospitalier. "Parmi eux, 3 ont signé des contrats de praticiens contractuels et les huit autres interviendront dans le cadre de contrats d’intérim conformes aux règles et plafonds édictés par la loi Rist".

Les parturientes ont été prévenues ce jour de la reprise d’activité. "Six des 30 parturientes prévenues vendredi dernier ont accouché dans les structures vendéennes", précise-t-il. "Les 24 futures mamans peuvent envisager de reprendre leur suivi et de projeter leur accouchement au sein du service de maternité", ajoute-t-il.

"C’est une satisfaction tant pour les patientes que pour les professionnels qui ont à coeur d’offrir un suivi de qualité aux usagers du territoire", se félicite-t-il.

"Au-delà de l’activité d’accouchement, ce sont aussi les activités de bloc opératoires qui sont sécurisées. La programmation des blocs d’endoscopie, de pneumologie, de cardiologie sera donc assurée", souligne aussi l'établissement qui estime que "l’activité est désormais sécurisée pour les mois de mai et juin" et que "les jours à venir permettront sans nul doute de projeter les activités sur un plus long terme."

/gl-jyp-mg-san/gl/nc/APMnews

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Le 5 mai 2023 (APMnews) -

GRAND EST: Le CHU de Reims adopte le service de partage de données d'imagerie "e-mage"

REIMS - Le CHU de Reims a adopté en mars le service de partage de données d'imagerie "e-mage", ont annoncé jeudi l'établissement rémois et le groupement régional d'appui au développement de la e-santé (Grades) du Grand Est, Pulsy, porteur du service, dans un communiqué commun.

Le service "e-mage" permet le partage, avec l'accord des patients, des examens d'imagerie réalisés dans les structures l'ayant adopté e-mage, entre professionnels de santé.

"Il s'adresse non seulement aux 'producteurs' d'images médicales (services d'imagerie en établissements de santé, cabinets de radiologie libéraux) mais aussi aux 'consommateurs' de ces images (radiologues, médecins libéraux ou exerçant en établissement de santé)", ont souligné le CHU et le Grades.

Le service Pulsy a déjà été adopté par groupe hospitalier de la région de Mulhouse et Sud-Alsace (GHRMSA), le centre hospitalier (CH) de Wissembourg (Bas-Rhin), les groupes d'imagerie Imalo (imagerie Majorelle-Callot), Radiolor en Moselle et Meurthe-et-Moselle (Metz, Nancy, Epinal, Remiremont, Pont-à-Mousson, Lunéville), le centre d'imagerie isotopique lorrain, le centre d'imagerie métabolique et scintigraphie d'Epinal.

PAYS DE LA LOIRE: Le CHU d'Angers s'équipe d'un container de décontamination d'urgence

ANGERS - Le CHU d'Angers a acquis un module de décontamination d'urgence pour les victimes exposées à des agents chimiques, nucléaires ou radiologiques, dans le cadre de sa gestion des situations sanitaires exceptionnelles, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

Les objectifs de ce module (DéconCube*), qui peut être "déployé en moins de 30 minutes à proximité des urgences", est de "décontaminer au plus vite les victimes avant leur prise en charge dans les services de soins", d'"éviter toute propagation de la contamination au sein de l'hôpital" et de "garantir la sécurité des soignants et des autres patients". Il permet de "réaliser les premières décontaminations en attendant si besoin l'unité de décontamination référente pour les Pays de la Loire, basée au CHU de Nantes".

Photo: Catherine Jouannet, CHU d'Angers
Photo: Catherine Jouannet, CHU d'Angers

Le container est composé de deux sas permettant une prise en charge selon le principe de la marche en avant: le premier est destiné à la douche et au savonnage, le second permet le rinçage et l'habillage avec un pyjama à usage unique (les eaux contaminées sont recueillies par le biais d'un circuit d'eau fermé).

Par son caractère modulable, cette structure de décontamination permet la prise en charge des victimes valides (debout) et non valides (couchées).

Son utilisation mobilise une équipe de huit décontaminateurs qui se relaient au minimum toutes les heures. A l'échelle du CHU, "ce sont 90 personnels hospitaliers -majoritairement des soignants- qui vont être formés à la décontamination". Le Centre d'enseignement des soins d'urgence (Cesu) a lancé un appel en interne pour intégrer cette équipe de décontaminateurs.

Le CHU souligne que son programme immobilier Convergences, validé par l'Etat début 2023, prévoit le regroupement et la réorganisation des urgences, des blocs opératoires, de l'imagerie et des soins critiques entre 2029 et 2037 (cf dépêche du 24/03/2023 à 18:52). "Dès les urgences adultes, la prise en charge d'un afflux massif ou isolé de victimes potentiellement contaminées sera prévue, tout comme l'intégration du DéconCube*."

"Les hospitaliers responsables de ces questions de situations sanitaires exceptionnelles travaillent actuellement sur ces parcours patients pour soumettre les organisations sanitaires les plus optimales dans le cadre du concours d'architecte en cours", précise-t-il.

La structure, qui mesure 7 mètres sur 4 pour une hauteur de 2,70 m, permet de décontaminer 25 personnes par heure pendant deux heures. Elle représente un investissement de 134.500 euros.

NORMANDIE: Quatorze projets innovants retenus au GH du Havre au titre de la prime d'engagement collectif

LE HAVRE - Quatre-vingt-treize agents du groupe hospitalier (GH) du Havre ont reçu une prime d'engagement collectif au premier trimestre 2023 pour le développement de 14 "projets innovants", selon un communiqué de l'établissement diffusé vendredi.

Parmi les 14 projets retenus dans le cadre de la prime d'engagement collectif, instaurée en juillet 2022 (cf dépêche du 22/07/2021 à 14:41), figure la création d'un hôpital de jour bariatrique, d'une formation à la prise en charge des patients mineurs en secteur adulte ou encore l'ouverture d'une antenne de formation d'aides-soignantes à Lillebonne (Seine-Maritime).

Au total, 60.000 euros ont été versés au titre de la prime d'engagement collectif, soit en moyenne 640 euros bruts par agent.

Le GH précise que les projets ont été "accompagnés dans leur réalisation par la commission des projets innovants, pilotée par Pauline Richoux, directrice générale adjointe, et par le Dr Anne Vandendriessche, membre du bureau de la commission médicale d'établissement (CME).

GRAND EST: Régulation à l'entrée des urgences du CH de Haguenau (Bas-Rhin)

HAGUENAU (Bas-Rhin) - Le centre hospitalier (CH) de Haguenau a mis en place une régulation par le Samu-Centre 15 à l'entrée de ses urgences durant la journée du samedi 6 mai, a annoncé vendredi l'établissement sur Facebook.

Cette régulation est mise en place de 7h à 18h le samedi 6 mai.

Durant cette journée, "les patients sont invités à ne pas se présenter spontanément aux urgences, et à appeler le Samu-Centre 15 pour évaluer si leur état de santé nécessite la prise en charge dans un service d'urgence", a expliqué le CH.

L'établissement a néanmoins précisé que cette régulation ne concerne que les urgences adultes. "Les urgences gynécologiques, obstétricales et pédiatriques continuent d'être prises en charge au CH selon les circuits habituels", est-il souligné.

C'est le deuxième week-end consécutif que cette mesure est prise par la direction du CH, après la réorganisation temporaire des urgences instaurée du vendredi 28 avril au soir jusqu'au matin du dimanche 30 avril.

L'établissement avait de même limité l'accès à ses urgences en février dernier ou encore durant l'été 2022 (cf dépêche du 11/08/2022 à 17:53). Le CH de Haguenau compte en moyenne 95 passages aux urgences adultes par mois.

PAYS DE LA LOIRE: Nouvelle suspension de l'accueil des urgences au CH des Sables-d'Olonne (Vendée) mais reprise des accouchements

LES SABLES-D'OLONNE - Le centre hospitalier des Sables-d'Olonne a annoncé vendredi qu'il fermait une nouvelle fois l'accueil de ses urgences pendant une nuit mais qu'il reprenait la prise en charge des accouchements à compter de ce vendredi.

Il sera "suspendu du samedi 6 mai à 18h30 au dimanche 7 mai 8h30", a-t-il annoncé dans un communiqué.

"Un(e) infirmier(ère) et un(e) aide-soignant(e) resteront cependant présent(e)s pour accueillir les patients qui viendraient à se présenter par leurs propres moyens aux urgences et apporter une réponse la plus adaptée en fonction de leur état de santé", précise-t-il toutefois.

Comme il l'avait fait en avril, il précise que cette suspension est liée "à la défection de médecins remplaçants refusant dans l'immédiat le plafond de rémunération de 1.390 € par 24 heures".

Dans un autre communiqué, diffusé vendredi, l'hôpital a annoncé qu'après avoir arrêté de prendre en charge des accouchements, depuis le 1er mai (cf dépêche du 04/05/2023 à 18:31), il les reprenait à compte de ce vendredi à 17 heures.

Une équipe de 11 anesthésistes va intervenir au sein du centre hospitalier. "Parmi eux, 3 ont signé des contrats de praticiens contractuels et les huit autres interviendront dans le cadre de contrats d’intérim conformes aux règles et plafonds édictés par la loi Rist".

Les parturientes ont été prévenues ce jour de la reprise d’activité. "Six des 30 parturientes prévenues vendredi dernier ont accouché dans les structures vendéennes", précise-t-il. "Les 24 futures mamans peuvent envisager de reprendre leur suivi et de projeter leur accouchement au sein du service de maternité", ajoute-t-il.

"C’est une satisfaction tant pour les patientes que pour les professionnels qui ont à coeur d’offrir un suivi de qualité aux usagers du territoire", se félicite-t-il.

"Au-delà de l’activité d’accouchement, ce sont aussi les activités de bloc opératoires qui sont sécurisées. La programmation des blocs d’endoscopie, de pneumologie, de cardiologie sera donc assurée", souligne aussi l'établissement qui estime que "l’activité est désormais sécurisée pour les mois de mai et juin" et que "les jours à venir permettront sans nul doute de projeter les activités sur un plus long terme."

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