Actualités de l'Urgence - APM

09/07 2021
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L'HÔPITAL FOCH (HAUTS-DE-SEINE) A VU SA RECHERCHE SE DÉVELOPPER FORTEMENT EN 2020

(Par Caroline BESNIER)

SURESNES (Hauts-de-Seine), 9 juillet 2021 (APMnews) - L'Hôpital Foch, situé à Suresnes, a vu sa recherche prendre de l'ampleur en 2020, avec environ 600 publications, a mis en avant son directeur, Jacques Léglise, lors d'un entretien à APMnews.

"2020 a été une très bonne année de recherche" avec "quasiment 150 publications en plus" par rapport à 2019, ce qui représente un "gros saut" et "nous met au niveau d'un CHU de taille moyenne, a-t-il relaté.

La recherche a été "beaucoup tirée par le Covid-19 mais pas seulement", a observé le directeur de cet établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic). "Pendant la première vague du Covid, toute une partie de l'hôpital a été désarmée, [les équipes] ont travaillé sur d'autres sujets".

Parmi les thèmes de recherche liés à la crise sanitaire, Jacques Léglise a cité le Covid long et l'analyse des souffles exhalés.

Ce dernier sujet constitue l'un des grands thèmes de recherche de l'Hôpital Foch qui, avant le Covid, s'était déjà penché sur l'analyse des composés volatils exhalés pour détecter "des signes de maladies chroniques, de reprise de pathologie ou de cancer", a-t-il rappelé.

Avec la pandémie, "on a converti les chaînes d'expérimentation pour essayer de détecter le Covid dans l'air expiré [étude VOLATOLHOM], l'idée à terme [étant] de faire un peu comme l'alcootest". Une quantité importante de données ont été recueillies et l'analyse est en cours en partenariat notamment avec le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

L'établissement a aussi lancé l'étude CTSCANCOVID19, qui vise à recourir à l'intelligence artificielle pour identifier et quantifier l'étendue et la sévérité des lésions pulmonaires des malades du Covid-19, sur des images de scanner, en partenariat avec le constructeur Siemens Healthineers.

Jacques Léglise a également rappelé que la première naissance après une greffe d'utérus en France avait eu lieu en février à l'Hôpital Foch, où l'équipe du Pr Jean-Marc Ayoubi travaille depuis de nombreuses années sur ce sujet (cf dépêche du 17/02/2021 à 11:38).

En 2020, l'établissement a aussi mis en production son entrepôt de données de santé, "levier majeur pour faire avancer la recherche médicale", souligne-t-il sur son site internet.

Dans le cadre de l'accord conclu fin juin entre Respic (association pour la recherche des Espic) et la fédération Unicancer, des travaux seront aussi menés sur la recherche sur le cancer et il est prévu de constituer des entrepôts de données communicants sur les différents types de cancers (cf dépêche du 29/06/2021 à 09:15).

La dimension recherche de l'Hôpital Foch devrait continuer à se développer cette année, a souligné Jacques Léglise.

Une maison des soins de support début 2022

L'activité d'oncologie a été restructurée au cours des 18 derniers mois.

Le Pr Jaafar Bennouna, du CHU de Nantes, a récemment rejoint l'établissement en tant que chef du service d'oncologie médicale, tout d'abord à mi-temps puis à temps plein à partir de septembre. "Très investi dans la recherche sur le poumon et le digestif, il complète totalement nos pôles d'excellence avec le Dr Beuzeboc, [qui est] sur le cancer urologique", a souligné Jacques Léglise. "Il apporte aussi une dimension recherche sur la partie 'cancers colorectaux', que nous n'avions pas."

Le pôle poumon avait été retravaillé avec l'arrivée du Pr Antoine Magnan, venant également du CHU de Nantes, au second semestre 2020.

Une "maison des soins de support" doit par ailleurs être ouverte à proximité de l'hôpital (cf dépêche du 04/10/2019 à 17:21). La livraison des locaux, situés dans un immeuble en restructuration en face de l'hôpital, devrait avoir lieu fin 2021, au lieu de fin 2020, pour une mise en service début 2022. Le chantier "est resté à l'arrêt pendant presque 6 mois à cause du Covid", a observé le directeur.

L'activité de néphrologie a aussi été restructurée avec l'arrivée en janvier du Pr Alexandre Hertig comme chef du service. Il exerçait auparavant dans le service de transplantation rénale de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris, AP-HP).

Réussir à monter la marche en 2022

Sur le plan financier, dans le cadre du dispositif mis en place par l'Etat de garantie de financement et de maintien du taux de marge brute de 2019, l'Hôpital Foch s'est retrouvé en 2020 dans la même situation qu'en 2019, c'est-à-dire "quasiment à l'équilibre avec un petit déficit". "L'Etat s'est comporté vraiment en protecteur des établissements de santé sur 2020 et on espère [que cela se passera] de la même manière sur 2021", avec le maintien du niveau de marge brute d'avant la crise du Covid, a commenté le directeur.

"Notre vraie crainte [est:] serons-nous capables en 2022 de monter la marche qu'il y a à monter", pour "réussir à rattraper le niveau des dépenses", notamment l'augmentation des salaires sur deux ans, a expliqué Jacques Léglise. Cela supposera de générer suffisamment de recettes, donc de reprendre toute l'activité antérieure et de l'augmenter, ce qui peut être compliqué si les mesures sanitaires restent extrêmement drastiques (davantage de chambres individuelles, un siège sur deux bloqué dans les salles d'attente de consultations).

L'établissement a "désarmé" ses dispositifs Covid depuis un mois et demi et essaye "de recréer une dynamique de projet en reprenant tous les sujets là où [il] les avait laissés".

L'hôpital a profité de la crise sanitaire en 2020 et de la mise à l'arrêt de plusieurs services pour accélérer le déploiement de son nouveau dossier patient informatisé (DPI), Easily* (GIE Hopsis). "On devait le faire sur deux ans, on ne l'a fait que sur un an", a observé son directeur, en rappelant que l'établissement disposait auparavant d'un logiciel maison datant d'une dizaine d'années et du logiciel Omnipro* (Xperthis).

Le déploiement du nouveau DPI est achevé sur les services de soins et va se poursuivre sur des services spécialisés comme la salle de réveil, l'anesthésie, la maternité et les urgences.

Sur le plan des ressources humaines, le directeur a confirmé le "mouvement de départ soit vers la province, soit de la profession infirmière", déjà pointé par des responsables hospitaliers (cf dépêche du 25/06/2021 à 16:11). "C'est tendu, peut-être de manière moins prononcée [que dans d'autres établissements] mais quand même de manière nette" et "ça va vraisemblablement être très dur en région parisienne pendant plusieurs mois, si ce n'est pas plusieurs années", a-t-il alerté.

Pour améliorer la qualité de vie au travail, des dispositifs de soutien des équipes, de massage et de sophrologie ont été mis en place. "On a un peu improvisé [...] sur le terrain et on est en train de les rationaliser" et de leur donner plus d’"ampleur", avec l'ouverture d'un lieu, appelé "espace parenthèse" permettant de se détendre ou de faire du sport.

Le travail s'est par ailleurs poursuivi sur l'expérience patient, avec le living lab, ouvert en septembre 2019 et désormais en "régime de croisière" (cf dépêche du 09/03/2020 à 09:36). Il s'agit d'un lieu d'échange ouvert entre patients et professionnels de santé, près de l'accueil, afin que les patients puissent formuler des suggestions sur des difficultés ou souligner des points positifs, rappelle-t-on.

Forfait de réorientation des urgences: sortie de l'expérimentation envisagée

S'agissant de l'expérimentation sur le forfait de réorientation des patients des services d'urgence vers la médecine de ville, relancé en mars (cf dépêche du 08/03/2021 à 17:55), Jacques Léglise a déploré le caractère "plus restrictif" des nouveaux textes, qui posent une "série de conditions extrêmement compliquées à mettre en oeuvre". L'établissement envisage donc de sortir de cette expérimentation.

L'hôpital Foch est aussi expérimentateur des hôtels hospitaliers (cf dépêche du 01/07/2021 à 17:30 et dépêche du 01/09/2020 à 16:34) et a beaucoup développé cette dimension pendant la crise du Covid. Un contrat a été passé avec une association qui dispose de locaux à côté de l'hôpital, prévus pour la maison des accompagnants, afin de réserver environ 6 à 7 lits en moyenne pour cette activité d'hôtel hospitalier. Un projet de construction a été lancé en parallèle sur un terrain situé en face de l'hôpital pour disposer d'une quarantaine de lits d'hôtel hospitalier, d'ici à trois ans.

Enfin, l'établissement prévoit d'ouvrir au premier trimestre 2022 un centre de consultations couvrant plusieurs spécialités, sur la place des reflets en plein coeur de La Défense (Puteaux, Hauts-de-Seine), dans le cadre d'un accord passé avec l'établissement public d'aménagement La Défense Seine Arche. Il va louer des surfaces, où exerceront des médecins salariés en secteur 1, et un cabinet libéral de radiologie doté d'un IRM et d'un scanner sera installé juste en dessous.

cb/nc/APMnews

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(Par Caroline BESNIER)

SURESNES (Hauts-de-Seine), 9 juillet 2021 (APMnews) - L'Hôpital Foch, situé à Suresnes, a vu sa recherche prendre de l'ampleur en 2020, avec environ 600 publications, a mis en avant son directeur, Jacques Léglise, lors d'un entretien à APMnews.

"2020 a été une très bonne année de recherche" avec "quasiment 150 publications en plus" par rapport à 2019, ce qui représente un "gros saut" et "nous met au niveau d'un CHU de taille moyenne, a-t-il relaté.

La recherche a été "beaucoup tirée par le Covid-19 mais pas seulement", a observé le directeur de cet établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic). "Pendant la première vague du Covid, toute une partie de l'hôpital a été désarmée, [les équipes] ont travaillé sur d'autres sujets".

Parmi les thèmes de recherche liés à la crise sanitaire, Jacques Léglise a cité le Covid long et l'analyse des souffles exhalés.

Ce dernier sujet constitue l'un des grands thèmes de recherche de l'Hôpital Foch qui, avant le Covid, s'était déjà penché sur l'analyse des composés volatils exhalés pour détecter "des signes de maladies chroniques, de reprise de pathologie ou de cancer", a-t-il rappelé.

Avec la pandémie, "on a converti les chaînes d'expérimentation pour essayer de détecter le Covid dans l'air expiré [étude VOLATOLHOM], l'idée à terme [étant] de faire un peu comme l'alcootest". Une quantité importante de données ont été recueillies et l'analyse est en cours en partenariat notamment avec le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

L'établissement a aussi lancé l'étude CTSCANCOVID19, qui vise à recourir à l'intelligence artificielle pour identifier et quantifier l'étendue et la sévérité des lésions pulmonaires des malades du Covid-19, sur des images de scanner, en partenariat avec le constructeur Siemens Healthineers.

Jacques Léglise a également rappelé que la première naissance après une greffe d'utérus en France avait eu lieu en février à l'Hôpital Foch, où l'équipe du Pr Jean-Marc Ayoubi travaille depuis de nombreuses années sur ce sujet (cf dépêche du 17/02/2021 à 11:38).

En 2020, l'établissement a aussi mis en production son entrepôt de données de santé, "levier majeur pour faire avancer la recherche médicale", souligne-t-il sur son site internet.

Dans le cadre de l'accord conclu fin juin entre Respic (association pour la recherche des Espic) et la fédération Unicancer, des travaux seront aussi menés sur la recherche sur le cancer et il est prévu de constituer des entrepôts de données communicants sur les différents types de cancers (cf dépêche du 29/06/2021 à 09:15).

La dimension recherche de l'Hôpital Foch devrait continuer à se développer cette année, a souligné Jacques Léglise.

Une maison des soins de support début 2022

L'activité d'oncologie a été restructurée au cours des 18 derniers mois.

Le Pr Jaafar Bennouna, du CHU de Nantes, a récemment rejoint l'établissement en tant que chef du service d'oncologie médicale, tout d'abord à mi-temps puis à temps plein à partir de septembre. "Très investi dans la recherche sur le poumon et le digestif, il complète totalement nos pôles d'excellence avec le Dr Beuzeboc, [qui est] sur le cancer urologique", a souligné Jacques Léglise. "Il apporte aussi une dimension recherche sur la partie 'cancers colorectaux', que nous n'avions pas."

Le pôle poumon avait été retravaillé avec l'arrivée du Pr Antoine Magnan, venant également du CHU de Nantes, au second semestre 2020.

Une "maison des soins de support" doit par ailleurs être ouverte à proximité de l'hôpital (cf dépêche du 04/10/2019 à 17:21). La livraison des locaux, situés dans un immeuble en restructuration en face de l'hôpital, devrait avoir lieu fin 2021, au lieu de fin 2020, pour une mise en service début 2022. Le chantier "est resté à l'arrêt pendant presque 6 mois à cause du Covid", a observé le directeur.

L'activité de néphrologie a aussi été restructurée avec l'arrivée en janvier du Pr Alexandre Hertig comme chef du service. Il exerçait auparavant dans le service de transplantation rénale de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris, AP-HP).

Réussir à monter la marche en 2022

Sur le plan financier, dans le cadre du dispositif mis en place par l'Etat de garantie de financement et de maintien du taux de marge brute de 2019, l'Hôpital Foch s'est retrouvé en 2020 dans la même situation qu'en 2019, c'est-à-dire "quasiment à l'équilibre avec un petit déficit". "L'Etat s'est comporté vraiment en protecteur des établissements de santé sur 2020 et on espère [que cela se passera] de la même manière sur 2021", avec le maintien du niveau de marge brute d'avant la crise du Covid, a commenté le directeur.

"Notre vraie crainte [est:] serons-nous capables en 2022 de monter la marche qu'il y a à monter", pour "réussir à rattraper le niveau des dépenses", notamment l'augmentation des salaires sur deux ans, a expliqué Jacques Léglise. Cela supposera de générer suffisamment de recettes, donc de reprendre toute l'activité antérieure et de l'augmenter, ce qui peut être compliqué si les mesures sanitaires restent extrêmement drastiques (davantage de chambres individuelles, un siège sur deux bloqué dans les salles d'attente de consultations).

L'établissement a "désarmé" ses dispositifs Covid depuis un mois et demi et essaye "de recréer une dynamique de projet en reprenant tous les sujets là où [il] les avait laissés".

L'hôpital a profité de la crise sanitaire en 2020 et de la mise à l'arrêt de plusieurs services pour accélérer le déploiement de son nouveau dossier patient informatisé (DPI), Easily* (GIE Hopsis). "On devait le faire sur deux ans, on ne l'a fait que sur un an", a observé son directeur, en rappelant que l'établissement disposait auparavant d'un logiciel maison datant d'une dizaine d'années et du logiciel Omnipro* (Xperthis).

Le déploiement du nouveau DPI est achevé sur les services de soins et va se poursuivre sur des services spécialisés comme la salle de réveil, l'anesthésie, la maternité et les urgences.

Sur le plan des ressources humaines, le directeur a confirmé le "mouvement de départ soit vers la province, soit de la profession infirmière", déjà pointé par des responsables hospitaliers (cf dépêche du 25/06/2021 à 16:11). "C'est tendu, peut-être de manière moins prononcée [que dans d'autres établissements] mais quand même de manière nette" et "ça va vraisemblablement être très dur en région parisienne pendant plusieurs mois, si ce n'est pas plusieurs années", a-t-il alerté.

Pour améliorer la qualité de vie au travail, des dispositifs de soutien des équipes, de massage et de sophrologie ont été mis en place. "On a un peu improvisé [...] sur le terrain et on est en train de les rationaliser" et de leur donner plus d’"ampleur", avec l'ouverture d'un lieu, appelé "espace parenthèse" permettant de se détendre ou de faire du sport.

Le travail s'est par ailleurs poursuivi sur l'expérience patient, avec le living lab, ouvert en septembre 2019 et désormais en "régime de croisière" (cf dépêche du 09/03/2020 à 09:36). Il s'agit d'un lieu d'échange ouvert entre patients et professionnels de santé, près de l'accueil, afin que les patients puissent formuler des suggestions sur des difficultés ou souligner des points positifs, rappelle-t-on.

Forfait de réorientation des urgences: sortie de l'expérimentation envisagée

S'agissant de l'expérimentation sur le forfait de réorientation des patients des services d'urgence vers la médecine de ville, relancé en mars (cf dépêche du 08/03/2021 à 17:55), Jacques Léglise a déploré le caractère "plus restrictif" des nouveaux textes, qui posent une "série de conditions extrêmement compliquées à mettre en oeuvre". L'établissement envisage donc de sortir de cette expérimentation.

L'hôpital Foch est aussi expérimentateur des hôtels hospitaliers (cf dépêche du 01/07/2021 à 17:30 et dépêche du 01/09/2020 à 16:34) et a beaucoup développé cette dimension pendant la crise du Covid. Un contrat a été passé avec une association qui dispose de locaux à côté de l'hôpital, prévus pour la maison des accompagnants, afin de réserver environ 6 à 7 lits en moyenne pour cette activité d'hôtel hospitalier. Un projet de construction a été lancé en parallèle sur un terrain situé en face de l'hôpital pour disposer d'une quarantaine de lits d'hôtel hospitalier, d'ici à trois ans.

Enfin, l'établissement prévoit d'ouvrir au premier trimestre 2022 un centre de consultations couvrant plusieurs spécialités, sur la place des reflets en plein coeur de La Défense (Puteaux, Hauts-de-Seine), dans le cadre d'un accord passé avec l'établissement public d'aménagement La Défense Seine Arche. Il va louer des surfaces, où exerceront des médecins salariés en secteur 1, et un cabinet libéral de radiologie doté d'un IRM et d'un scanner sera installé juste en dessous.

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