Actualités de l'Urgence - APM
LE DR ERIC LE BIHAN (AP-HP) DEVIENT PRÉSIDENT DU SNPHARE
En tant que vice-président, Eric Le Bihan termine le mandat de la présidente, le Dr Emmanuelle Durand, qui quitte le bureau "pour des raisons strictement personnelles", a-t-elle indiqué à APMnews. Elle reste membre du conseil d'administration du syndicat.
Anesthésiste-réanimatrice au CHU de Reims, Emmanuelle Durand avait été élue présidente en janvier (cf dépêche du 17/01/2022 à 12:09).
Au conseil d'administration du syndicat depuis 2017, le Dr Le Bihan a été élu vice-président en janvier. Il a été secrétaire général du syndicat de 2019 à 2021.
Le SNPHARE ne change pas sa ligne syndicale et la continuité des actions entreprises sera assurée, indique le communiqué.
Le SNPHARE, qui sera reçu dans quelques jours au ministère, rappelle ses demandes pour "limiter la fuite des praticiens hospitaliers":
- ouverture du chantier de la permanence des soins -gardes et astreintes- comprenant la réflexion sur le temps de travail, son décompte, la pénibilité, la rémunération (plafond de rémunération des astreintes remonté à 400 euros brut, gardes à 600 euros brut) et la valorisation pour la retraite
- bonification des 4 ans d’ancienneté aux PH nommés avant le 1er octobre 2020
- réforme courageuse de la gouvernance redonnant aux praticiens la maîtrise de leurs organisations de travail et le choix de leurs responsables fonctionnels.
Le syndicat dénonce des inégalités d'application des mesures d'attractivité de la mission flash
Le SNPHARE, membre fondateur de l'intersyndicale Avenir hospitalier et adhérent à l'intersyndicale Action praticiens hôpital (APH), dénonce des inégalités d'application des mesures d'attractivité issues de la mission flash (doublement de la rémunération du temps additionnel et majoration de 50% de l'indemnité de sujétion pour les gardes) prises dans des arrêtés publiés en juin et juillet (cf dépêche du 30/06/2022 à 10:44 et dépêche du 15/07/2022 à 14:16).
Comme l'a dénoncé APH dans un courrier adressé au ministre de la santé et de la prévention, le SNPHARE déplore "une trahison des intentions du ministère de la santé". Il rapporte être sollicité "par de nombreux praticiens signalant la décision de certains établissements de ne pas appliquer ces majorations à tous, de les appliquer partiellement ou encore de retarder le règlement de cette valorisation, rendant illisible l'effectivité de la mesure pour certains praticiens hospitaliers".
Le syndicat demande la diffusion d’une instruction de la direction générale de l'offre de soins (DGOS) auprès de l’ensemble des établissements pour faire appliquer les arrêtés du 29 juin et du 12 juillet à l’ensemble des praticiens.
Il réclame aussi le contrôle, par la DGOS, de l’effectivité de cette application et la pérennisation de ces mesures d’attractivité au-delà de fin septembre, au moins jusqu’à la remise du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur l’évaluation des mesures prises à l’issue de la mission flash.
sl/ab/APMnews
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LE DR ERIC LE BIHAN (AP-HP) DEVIENT PRÉSIDENT DU SNPHARE
En tant que vice-président, Eric Le Bihan termine le mandat de la présidente, le Dr Emmanuelle Durand, qui quitte le bureau "pour des raisons strictement personnelles", a-t-elle indiqué à APMnews. Elle reste membre du conseil d'administration du syndicat.
Anesthésiste-réanimatrice au CHU de Reims, Emmanuelle Durand avait été élue présidente en janvier (cf dépêche du 17/01/2022 à 12:09).
Au conseil d'administration du syndicat depuis 2017, le Dr Le Bihan a été élu vice-président en janvier. Il a été secrétaire général du syndicat de 2019 à 2021.
Le SNPHARE ne change pas sa ligne syndicale et la continuité des actions entreprises sera assurée, indique le communiqué.
Le SNPHARE, qui sera reçu dans quelques jours au ministère, rappelle ses demandes pour "limiter la fuite des praticiens hospitaliers":
- ouverture du chantier de la permanence des soins -gardes et astreintes- comprenant la réflexion sur le temps de travail, son décompte, la pénibilité, la rémunération (plafond de rémunération des astreintes remonté à 400 euros brut, gardes à 600 euros brut) et la valorisation pour la retraite
- bonification des 4 ans d’ancienneté aux PH nommés avant le 1er octobre 2020
- réforme courageuse de la gouvernance redonnant aux praticiens la maîtrise de leurs organisations de travail et le choix de leurs responsables fonctionnels.
Le syndicat dénonce des inégalités d'application des mesures d'attractivité de la mission flash
Le SNPHARE, membre fondateur de l'intersyndicale Avenir hospitalier et adhérent à l'intersyndicale Action praticiens hôpital (APH), dénonce des inégalités d'application des mesures d'attractivité issues de la mission flash (doublement de la rémunération du temps additionnel et majoration de 50% de l'indemnité de sujétion pour les gardes) prises dans des arrêtés publiés en juin et juillet (cf dépêche du 30/06/2022 à 10:44 et dépêche du 15/07/2022 à 14:16).
Comme l'a dénoncé APH dans un courrier adressé au ministre de la santé et de la prévention, le SNPHARE déplore "une trahison des intentions du ministère de la santé". Il rapporte être sollicité "par de nombreux praticiens signalant la décision de certains établissements de ne pas appliquer ces majorations à tous, de les appliquer partiellement ou encore de retarder le règlement de cette valorisation, rendant illisible l'effectivité de la mesure pour certains praticiens hospitaliers".
Le syndicat demande la diffusion d’une instruction de la direction générale de l'offre de soins (DGOS) auprès de l’ensemble des établissements pour faire appliquer les arrêtés du 29 juin et du 12 juillet à l’ensemble des praticiens.
Il réclame aussi le contrôle, par la DGOS, de l’effectivité de cette application et la pérennisation de ces mesures d’attractivité au-delà de fin septembre, au moins jusqu’à la remise du rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) sur l’évaluation des mesures prises à l’issue de la mission flash.
sl/ab/APMnews