Actualités de l'Urgence - APM

29/09 2022
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LE PROGRAMME ASSURE DÉPLOYÉ EN ILE-DE-FRANCE POUR AIDER LES EHPAD À GÉRER LES URGENCES

PARIS, 29 septembre 2022 (ARS) - Le programme d'amélioration des soins d'urgence en Ehpad ("Assure"), initié dans les Hauts-de-France, va être déployé en Ile-de-France au cours des deux prochaines années, par l'agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France en s'appuyant sur le gérontopôle, Gérond'if, et le groupe associatif Univi, ont expliqué les partenaires la semaine dernière lors d'un point presse.

En 2018, l'ARS Hauts-de-France, en lien avec les CHU de Lille et d'Amiens et le groupe hospitalier (GH) à profil gériatrique de Loos-Haubourdin (Nord), se sont lancés dans ce programme innovant baptisé "Assure" afin de diminuer le recours aux urgences pour les résidents en formant les soignants en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et en renforçant leurs liens avec les acteurs du sanitaire.

Cette démarche se fonde sur une acculturation transmise en "cascade": diffusion d'outils pédagogiques, puis sensibilisation de binômes "gériatre-urgentiste", lesquels forment des trinômes "directeurs-médecins coordonnateurs-infirmières coordinatrices [Idec]", lesquels, enfin, transmettent les connaissances aux soignants des Ehpad.

À début 2021, la grande majorité des Ehpad des Hauts-de-France avaient été sensibilisés.

En Ile-de-France, l'ARS s'est lancée en mai dans la transposition de ce programme et prévoit de le déployer en deux ans auprès de 63.000 résidents des 705 Ehpad franciliens.

Le pilotage de la phase pilote a été confié au gérontopôle Gérond'if et au groupe associatif Univi, retenus dans le cadre d'un appel à candidatures.

Outre la réduction des hospitalisations non programmées et des passages aux urgences, il s'agit de renforcer les compétences des agents déjà en place, dans un contexte de tensions RH fortes, a introduit Céline Boreux, responsable du département Organisation de l'offre et parcours de santé pour les personnes âgées à l'ARS, lors du point presse organisé le 22 septembre.

"Surtout, on ne voulait pas laisser retomber la coopération sanitaire/médico-social qui s'est renforcée pendant la crise Covid".

Un premier temps sera consacré à "créer des collaborations entre sanitaire et médico-social pour créer un langage commun" puis, une fois que les Ehpad se seront approprié la démarche, l'objectif sera "d'apporter le juste soin par la bonne personne au bon moment et dans le lieu le plus approprié".

Isabelle Dufour, déléguée générale de Gérond'if, a expliqué que la démarche englobe environ "1.000 établissements et services". Outre les Ehpad, elle a cité 62 services d'urgence, 56 équipes mobiles gériatriques, 8 Samu et 152 instituts de formation en soins infirmiers (Ifsi) et instituts de formation d'aides-soignants (Ifas).

Anaïs Cloppet-Fontaine, gériatre et cheffe de projets à Gérond'if, a présenté les deux volets du programme: "favoriser les partages d'expérience entre tous les acteurs" et "mettre à disposition des professionnels d'Ehpad une méthode et des outils" pour "les aider à gérer des situations d'urgence".

Le kit d'outils ressemble à celui des Hauts-de-France: des cartes-jeu de rôle Cluehpad, des fiches de conduites à tenir, des affiches et des fiches descriptives, par exemple sur le fonctionnement du Samu. Mais il a été adapté après échanges avec les soignants, a précisé Anaïs Cloppet-Fontaine à APMnews/Gerontonews.

Par exemple, les fiches de conduite à tenir, qui se présentaient dans le Nord "sous la forme d'un grand livret qui restait souvent dans le poste de soins", ont été transformées en "petit carnet de poche, plus utile dans les situations d'urgence". Et ce kit "va continuer à être enrichi tout au long de la démarche", a-t-elle ajouté.

Nord-Essonne et Yvelines: 90% des Ehpad sensibilisés (phase pilote)

La phase pilote s'est déroulée de mai à septembre sur les territoires des deux filières gériatriques portées par des établissements d'Univi, soit Nord Essonne et Grand Versailles.

Le directeur général du groupe Univi, Thomas Lauret, a expliqué que l'opérateur disposait d'un pôle senior et d'un pôle santé intégrant 23 Ehpad et trois hôpitaux, dont deux en Ile-de-France, l'Hôpital gériatrique Les Magnolias, à Ballainvilliers (Essonne) et celui de La Porte verte à Versailles.

Grâce à la mobilisation des professionnels, 90% des Ehpad de ces deux territoires ont été sensibilisés, soit 100 professionnels.

Laurence Luquel, directrice médicale d'Univi, a coordonné le déploiement du projet en Nord-Essonne. Ce territoire comporte 35 Ehpad et quatre sites d'accueil des urgences, dont trois portés par le groupe hospitalier Nord-Essonne, et un par l'hôpital privé Jacques-Cartier (Ramsay Santé).

Elle a jugé cette phase "très positive", saluant un renforcement des liens, "avec, comme chef de file, le patient au bon endroit et au bon moment" afin de "tout faire pour qu'il reste à l'Ehpad" ou "soit admis à l'hôpital sans passage aux urgences".

Tous les Ehpad ont récupéré les numéros de téléphone d'admission directe des services d'accueil des urgences pour favoriser cet objectif et répondre aux questions des soignants.

"On a eu plus de 90% de participation du trinôme managérial des Ehpad, avec quatre sessions de formation réalisées par des binômes urgentiste-gériatre", s'est réjouie la directrice médicale d'Univi. "Chacun a entendu les besoins et les contraintes" des autres, surtout concernant "la gestion des détresses respiratoires à des heures où il y a peu d'encadrement".

Un appui pour aider certaines directions à déployer les outils

Les points d'attention portent selon elle sur les difficultés pour les trinômes à déployer les outils proposés, sachant que le médecin coordonnateur manque dans 30% d'Ehpad, et que d'autres "n'ont pas d'Idec". "Nous construisons donc un appui avec un urgentiste et l'équipe mobile extrahospitalière pour venir dans l'Ehpad animer des réunions avec les soignants", a indiqué Laurence Luquel.

"Nous pensons aussi organiser des visioconférences pour faire des points d'étape afin de savoir ce que la démarche aura apporté sur un plan qualitatif", a-t-elle ajouté.

Autre sujet de réflexion vanté par tous, "avoir un volet de synthèse médical régional qui soit transmis aux régulations du Samu, même si [idéalement] il figurera dans le DMP [dossier médical partagé]".

Univi souhaite désormais "créer une unité d'admission directe" en médecine sans passer par les urgences, a annoncé Thomas Lauret. "Nous réfléchissons avec les urgentistes et le Samu pour que, dans cette future unité, on favorise les admissions après appel à la régulation ou intervention du Smur pour les patients relevant d'une expertise gériatrique", a précisé Laurence Luquel.

Des indicateurs à six mois, un an et deux ans

Après la phase pilote, le déploiement d'Assure en Ile-de-France va suivre un rythme séquentiel jusqu'à avril 2023, avec d'abord le territoire du groupe hospitalier universitaire (GHU) Paris Saclay (AP-HP), puis les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, le Val-d'Oise et enfin, la Seine-Saint-Denis.

Interrogée par APMnews/Gerontonews, Céline Boreux a indiqué que le financement, abondé par le pacte de refondation des urgences, était d'un montant de 1,3 million d'euros sur deux ans, pour former au moins les trinômes de direction dans les Ehpad.

L'évaluation se fondera sur plusieurs indicateurs, dont le taux d'hospitalisation des personnes âgées, à six mois, un an et deux ans, les passages aux urgences et la mise en place d'alternatives telles que les prises en charge palliatives, et le nombre de décès dans les Ehpad, ont détaillé Céline Boreux, de l'ARS, et Anaïs Cloppet-Fontaine, de Gérond'if.

"On peut aussi regarder le turn-over […], voir si Assure a un effet sur la stabilisation des équipes", a ajouté Laurence Luquel.

Dans le cadre d'Assure, l'ARS a par ailleurs relancé en début d'été deux appels à candidatures pour renforcer la présence des infirmières de nuit en Ehpad et augmenter et financer la présence de médecins prescripteurs pour les établissements en tarif partiel, a précisé la représentante de l'agence.

La gouvernance du projet repose sur un comité de pilotage institutionnel composé:

  • D'experts médicaux représentant les filières gériatriques, les équipes mobiles de gériatrie, les services d'accueil des urgences et des Samu-centres 15

  • Des fédérations et groupements: Fédération hospitalière de France (FHF), Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne privés non lucratif (Fehap), Fédération de l'hospitalisation privée (FHP), Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), Syndicat national des établissements et résidences privées pour personnes âgées (Synerpa) et Union régionale interfédérale des oeuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (Uriopss)

  • D'associations de directeurs d'Ehpad: Association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et Conférence nationale des directeurs d'établissements publics pour personnes âgées et handicapées (CNDEPAH)

  • Des représentants de la Société de gériatrie et de gérontologie d'Île-de-France et de la Société de médecine d'urgence francilienne

  • D'un représentant de l'Association nationale des médecins coordonnateurs et du secteur médico-social (Mcoor)

  • De représentants de l'Observatoire des urgences et soins non programmés.

cbe/cb/ab/APMnews

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PARIS, 29 septembre 2022 (ARS) - Le programme d'amélioration des soins d'urgence en Ehpad ("Assure"), initié dans les Hauts-de-France, va être déployé en Ile-de-France au cours des deux prochaines années, par l'agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France en s'appuyant sur le gérontopôle, Gérond'if, et le groupe associatif Univi, ont expliqué les partenaires la semaine dernière lors d'un point presse.

En 2018, l'ARS Hauts-de-France, en lien avec les CHU de Lille et d'Amiens et le groupe hospitalier (GH) à profil gériatrique de Loos-Haubourdin (Nord), se sont lancés dans ce programme innovant baptisé "Assure" afin de diminuer le recours aux urgences pour les résidents en formant les soignants en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et en renforçant leurs liens avec les acteurs du sanitaire.

Cette démarche se fonde sur une acculturation transmise en "cascade": diffusion d'outils pédagogiques, puis sensibilisation de binômes "gériatre-urgentiste", lesquels forment des trinômes "directeurs-médecins coordonnateurs-infirmières coordinatrices [Idec]", lesquels, enfin, transmettent les connaissances aux soignants des Ehpad.

À début 2021, la grande majorité des Ehpad des Hauts-de-France avaient été sensibilisés.

En Ile-de-France, l'ARS s'est lancée en mai dans la transposition de ce programme et prévoit de le déployer en deux ans auprès de 63.000 résidents des 705 Ehpad franciliens.

Le pilotage de la phase pilote a été confié au gérontopôle Gérond'if et au groupe associatif Univi, retenus dans le cadre d'un appel à candidatures.

Outre la réduction des hospitalisations non programmées et des passages aux urgences, il s'agit de renforcer les compétences des agents déjà en place, dans un contexte de tensions RH fortes, a introduit Céline Boreux, responsable du département Organisation de l'offre et parcours de santé pour les personnes âgées à l'ARS, lors du point presse organisé le 22 septembre.

"Surtout, on ne voulait pas laisser retomber la coopération sanitaire/médico-social qui s'est renforcée pendant la crise Covid".

Un premier temps sera consacré à "créer des collaborations entre sanitaire et médico-social pour créer un langage commun" puis, une fois que les Ehpad se seront approprié la démarche, l'objectif sera "d'apporter le juste soin par la bonne personne au bon moment et dans le lieu le plus approprié".

Isabelle Dufour, déléguée générale de Gérond'if, a expliqué que la démarche englobe environ "1.000 établissements et services". Outre les Ehpad, elle a cité 62 services d'urgence, 56 équipes mobiles gériatriques, 8 Samu et 152 instituts de formation en soins infirmiers (Ifsi) et instituts de formation d'aides-soignants (Ifas).

Anaïs Cloppet-Fontaine, gériatre et cheffe de projets à Gérond'if, a présenté les deux volets du programme: "favoriser les partages d'expérience entre tous les acteurs" et "mettre à disposition des professionnels d'Ehpad une méthode et des outils" pour "les aider à gérer des situations d'urgence".

Le kit d'outils ressemble à celui des Hauts-de-France: des cartes-jeu de rôle Cluehpad, des fiches de conduites à tenir, des affiches et des fiches descriptives, par exemple sur le fonctionnement du Samu. Mais il a été adapté après échanges avec les soignants, a précisé Anaïs Cloppet-Fontaine à APMnews/Gerontonews.

Par exemple, les fiches de conduite à tenir, qui se présentaient dans le Nord "sous la forme d'un grand livret qui restait souvent dans le poste de soins", ont été transformées en "petit carnet de poche, plus utile dans les situations d'urgence". Et ce kit "va continuer à être enrichi tout au long de la démarche", a-t-elle ajouté.

Nord-Essonne et Yvelines: 90% des Ehpad sensibilisés (phase pilote)

La phase pilote s'est déroulée de mai à septembre sur les territoires des deux filières gériatriques portées par des établissements d'Univi, soit Nord Essonne et Grand Versailles.

Le directeur général du groupe Univi, Thomas Lauret, a expliqué que l'opérateur disposait d'un pôle senior et d'un pôle santé intégrant 23 Ehpad et trois hôpitaux, dont deux en Ile-de-France, l'Hôpital gériatrique Les Magnolias, à Ballainvilliers (Essonne) et celui de La Porte verte à Versailles.

Grâce à la mobilisation des professionnels, 90% des Ehpad de ces deux territoires ont été sensibilisés, soit 100 professionnels.

Laurence Luquel, directrice médicale d'Univi, a coordonné le déploiement du projet en Nord-Essonne. Ce territoire comporte 35 Ehpad et quatre sites d'accueil des urgences, dont trois portés par le groupe hospitalier Nord-Essonne, et un par l'hôpital privé Jacques-Cartier (Ramsay Santé).

Elle a jugé cette phase "très positive", saluant un renforcement des liens, "avec, comme chef de file, le patient au bon endroit et au bon moment" afin de "tout faire pour qu'il reste à l'Ehpad" ou "soit admis à l'hôpital sans passage aux urgences".

Tous les Ehpad ont récupéré les numéros de téléphone d'admission directe des services d'accueil des urgences pour favoriser cet objectif et répondre aux questions des soignants.

"On a eu plus de 90% de participation du trinôme managérial des Ehpad, avec quatre sessions de formation réalisées par des binômes urgentiste-gériatre", s'est réjouie la directrice médicale d'Univi. "Chacun a entendu les besoins et les contraintes" des autres, surtout concernant "la gestion des détresses respiratoires à des heures où il y a peu d'encadrement".

Un appui pour aider certaines directions à déployer les outils

Les points d'attention portent selon elle sur les difficultés pour les trinômes à déployer les outils proposés, sachant que le médecin coordonnateur manque dans 30% d'Ehpad, et que d'autres "n'ont pas d'Idec". "Nous construisons donc un appui avec un urgentiste et l'équipe mobile extrahospitalière pour venir dans l'Ehpad animer des réunions avec les soignants", a indiqué Laurence Luquel.

"Nous pensons aussi organiser des visioconférences pour faire des points d'étape afin de savoir ce que la démarche aura apporté sur un plan qualitatif", a-t-elle ajouté.

Autre sujet de réflexion vanté par tous, "avoir un volet de synthèse médical régional qui soit transmis aux régulations du Samu, même si [idéalement] il figurera dans le DMP [dossier médical partagé]".

Univi souhaite désormais "créer une unité d'admission directe" en médecine sans passer par les urgences, a annoncé Thomas Lauret. "Nous réfléchissons avec les urgentistes et le Samu pour que, dans cette future unité, on favorise les admissions après appel à la régulation ou intervention du Smur pour les patients relevant d'une expertise gériatrique", a précisé Laurence Luquel.

Des indicateurs à six mois, un an et deux ans

Après la phase pilote, le déploiement d'Assure en Ile-de-France va suivre un rythme séquentiel jusqu'à avril 2023, avec d'abord le territoire du groupe hospitalier universitaire (GHU) Paris Saclay (AP-HP), puis les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Seine-et-Marne, le Val-d'Oise et enfin, la Seine-Saint-Denis.

Interrogée par APMnews/Gerontonews, Céline Boreux a indiqué que le financement, abondé par le pacte de refondation des urgences, était d'un montant de 1,3 million d'euros sur deux ans, pour former au moins les trinômes de direction dans les Ehpad.

L'évaluation se fondera sur plusieurs indicateurs, dont le taux d'hospitalisation des personnes âgées, à six mois, un an et deux ans, les passages aux urgences et la mise en place d'alternatives telles que les prises en charge palliatives, et le nombre de décès dans les Ehpad, ont détaillé Céline Boreux, de l'ARS, et Anaïs Cloppet-Fontaine, de Gérond'if.

"On peut aussi regarder le turn-over […], voir si Assure a un effet sur la stabilisation des équipes", a ajouté Laurence Luquel.

Dans le cadre d'Assure, l'ARS a par ailleurs relancé en début d'été deux appels à candidatures pour renforcer la présence des infirmières de nuit en Ehpad et augmenter et financer la présence de médecins prescripteurs pour les établissements en tarif partiel, a précisé la représentante de l'agence.

La gouvernance du projet repose sur un comité de pilotage institutionnel composé:

  • D'experts médicaux représentant les filières gériatriques, les équipes mobiles de gériatrie, les services d'accueil des urgences et des Samu-centres 15

  • Des fédérations et groupements: Fédération hospitalière de France (FHF), Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne privés non lucratif (Fehap), Fédération de l'hospitalisation privée (FHP), Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP), Syndicat national des établissements et résidences privées pour personnes âgées (Synerpa) et Union régionale interfédérale des oeuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (Uriopss)

  • D'associations de directeurs d'Ehpad: Association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) et Conférence nationale des directeurs d'établissements publics pour personnes âgées et handicapées (CNDEPAH)

  • Des représentants de la Société de gériatrie et de gérontologie d'Île-de-France et de la Société de médecine d'urgence francilienne

  • D'un représentant de l'Association nationale des médecins coordonnateurs et du secteur médico-social (Mcoor)

  • De représentants de l'Observatoire des urgences et soins non programmés.

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