Actualités de l'Urgence - APM
POUR LAMINE GHARBI (FHP), L'HOSPITALISATION PRIVÉE EST "À MÊME" DE RÉDUIRE L'ENGORGEMENT DES URGENCES
Interrogé sur la situation dans certains services des urgences, qui font face à un surcroît continu d'activité (cf dépêche du 13/03/2018 à 19:19), le président de la République a évoqué une "réalité insoutenable" dans "10 à 15% des services d'urgence". Il a pointé du doigt le fait que "de plus en plus de gens se sont habitués à aller de manière non appropriée aux urgences" et de "plus en plus d'endroits" se retrouvent "sans garde".
"La réponse à apporter, c'est une réponse de réorganisation de nos services, de nos hôpitaux, entre la médecine de ville et les hôpitaux pour éviter que tout le monde aille aux urgences", a-t-il déclaré. Et notamment par une meilleure "organisation entre la médecine de ville et les hôpitaux" (cf dépêche du 16/04/2018 à 08:40).
Dans un communiqué, Lamine Gharbi interpelle directement Emmanuel Macron sur le "rôle à jouer" de l'hospitalisation privée dans le "désengorgement des urgences publiques".
"Mieux répartir les malades entre les services d'urgences des hôpitaux publics et ceux des hôpitaux et cliniques privés améliorerait la situation", estime-t-il.
"L'accueil dans les urgences du privé qui se fait, rappelons-le, sans dépassement d'honoraires, est à même de soulager la surcharge du public !", insiste Lamine Gharbi.
Les hôpitaux et cliniques privés disposent de 124 services d’urgences répartis sur l’ensemble du territoire qui accueillent 2,6 millions de patients chaque année, rappelle la FHP.
syl/san/APMnews
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POUR LAMINE GHARBI (FHP), L'HOSPITALISATION PRIVÉE EST "À MÊME" DE RÉDUIRE L'ENGORGEMENT DES URGENCES
Interrogé sur la situation dans certains services des urgences, qui font face à un surcroît continu d'activité (cf dépêche du 13/03/2018 à 19:19), le président de la République a évoqué une "réalité insoutenable" dans "10 à 15% des services d'urgence". Il a pointé du doigt le fait que "de plus en plus de gens se sont habitués à aller de manière non appropriée aux urgences" et de "plus en plus d'endroits" se retrouvent "sans garde".
"La réponse à apporter, c'est une réponse de réorganisation de nos services, de nos hôpitaux, entre la médecine de ville et les hôpitaux pour éviter que tout le monde aille aux urgences", a-t-il déclaré. Et notamment par une meilleure "organisation entre la médecine de ville et les hôpitaux" (cf dépêche du 16/04/2018 à 08:40).
Dans un communiqué, Lamine Gharbi interpelle directement Emmanuel Macron sur le "rôle à jouer" de l'hospitalisation privée dans le "désengorgement des urgences publiques".
"Mieux répartir les malades entre les services d'urgences des hôpitaux publics et ceux des hôpitaux et cliniques privés améliorerait la situation", estime-t-il.
"L'accueil dans les urgences du privé qui se fait, rappelons-le, sans dépassement d'honoraires, est à même de soulager la surcharge du public !", insiste Lamine Gharbi.
Les hôpitaux et cliniques privés disposent de 124 services d’urgences répartis sur l’ensemble du territoire qui accueillent 2,6 millions de patients chaque année, rappelle la FHP.
syl/san/APMnews