Actualités de l'Urgence - APM
18/04
2018
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PREMIER PRÉLÈVEMENT D’ORGANES À COEUR ARRÊTÉ AU CH DE SAINT-DENIS
Le centre hospitalier (CH) de Saint-Denis a réalisé en février un prélèvement d’organes (foie et reins) et de tissus à coeur arrêté chez un jeune patient décédé en réanimation. Une première depuis le démarrage, en janvier, de la procédure Maastricht III au sein de l'établissement. "L’hôpital figure sur la liste des 19 établissements de santé français, dont six en Ile-de-France, à être habilités à pratiquer le prélèvement d’organes à coeur arrêté", explique-t-il. Mise en place en France en 2014, la procédure Maastricht III concerne les patients décédés en réanimation des suites d’un arrêt cardiaque contrôlé consécutif à l’arrêt des traitements. Cette procédure vient compléter celle du prélèvement sur donneurs décédés en état de mort encéphalique. Elle découle de la loi Leonetti de 2005 et a été facilitée par la loi Claeys-Leonetti de 2016. Le CH de Saint-Denis, qui a prélevé 30 organes et 20 tissus sur des patients en état de mort encéphalique en 2017, devrait voir son activité s’intensifier avec la mise en place de Maastricht III. Ce programme, qui à ce jour s’applique au prélèvement hépatique et rénal, doit s’étendre prochainement aux poumons grâce à un partenariat institué avec l’hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine).
Communiqué de presse du GHT Plaine de France, le 06/04/2018
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Le centre hospitalier (CH) de Saint-Denis a réalisé en février un prélèvement d’organes (foie et reins) et de tissus à coeur arrêté chez un jeune patient décédé en réanimation. Une première depuis le démarrage, en janvier, de la procédure Maastricht III au sein de l'établissement. "L’hôpital figure sur la liste des 19 établissements de santé français, dont six en Ile-de-France, à être habilités à pratiquer le prélèvement d’organes à coeur arrêté", explique-t-il. Mise en place en France en 2014, la procédure Maastricht III concerne les patients décédés en réanimation des suites d’un arrêt cardiaque contrôlé consécutif à l’arrêt des traitements. Cette procédure vient compléter celle du prélèvement sur donneurs décédés en état de mort encéphalique. Elle découle de la loi Leonetti de 2005 et a été facilitée par la loi Claeys-Leonetti de 2016. Le CH de Saint-Denis, qui a prélevé 30 organes et 20 tissus sur des patients en état de mort encéphalique en 2017, devrait voir son activité s’intensifier avec la mise en place de Maastricht III. Ce programme, qui à ce jour s’applique au prélèvement hépatique et rénal, doit s’étendre prochainement aux poumons grâce à un partenariat institué avec l’hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine).
Communiqué de presse du GHT Plaine de France, le 06/04/2018