Actualités de l'Urgence - APM
UN ARRÊTÉ MODIFIE LA SENSIBILISATION AUX "GESTES QUI SAUVENT" INSTAURÉE EN 2017
Cette sensibilisation accessible à l'ensemble de la population avait été instaurée en juin 2017 (cf dépêche du 18/09/2017 à 11:23).
Elle était issue des recommandations de l'urgentiste Patrick Pelloux et du président de la fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) Eric Faure, rappelle-t-on (cf dépêche du 20/04/2017 à 14:30).
Dans le nouvel arrêté, daté du 12 juillet, il est d'abord indiqué que la sensibilisation "est dispensée en présentiel et sur une durée de deux heures", et non plus "sur une durée maximale de deux heures", comme dans l'arrêté initial.
En revanche, les objectifs restent les mêmes: assurer sa propre sécurité ou celle d'une victime "ou de toute autre personne" et transmettre aux services de secours les informations nécessaires, réagir face à une hémorragie externe et installer correctement la victime, réagir face à un arrêt cardiaque et savoir utiliser un défibrillateur automatisé externe (DAB).
Dans un article additionnel, il est donc désormais précisé que "le nombre maximum d'apprenants par session de formation est de 15 maximum pour a minima un formateur".
La notion de "recommandation pédagogique" est par ailleurs remplacée par celle de "proposition pédagogique" à plusieurs occurrences dans le texte.
En février 2019, les députés ont adoptés une proposition de loi relative aux gestes qui sauvent, en attente d'examen par le Sénat (cf dépêche du 20/02/2019 à 16:17).
(Journal officiel du 19 juillet 2019, texte 24)
bd/vl/APMnews
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UN ARRÊTÉ MODIFIE LA SENSIBILISATION AUX "GESTES QUI SAUVENT" INSTAURÉE EN 2017
Cette sensibilisation accessible à l'ensemble de la population avait été instaurée en juin 2017 (cf dépêche du 18/09/2017 à 11:23).
Elle était issue des recommandations de l'urgentiste Patrick Pelloux et du président de la fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) Eric Faure, rappelle-t-on (cf dépêche du 20/04/2017 à 14:30).
Dans le nouvel arrêté, daté du 12 juillet, il est d'abord indiqué que la sensibilisation "est dispensée en présentiel et sur une durée de deux heures", et non plus "sur une durée maximale de deux heures", comme dans l'arrêté initial.
En revanche, les objectifs restent les mêmes: assurer sa propre sécurité ou celle d'une victime "ou de toute autre personne" et transmettre aux services de secours les informations nécessaires, réagir face à une hémorragie externe et installer correctement la victime, réagir face à un arrêt cardiaque et savoir utiliser un défibrillateur automatisé externe (DAB).
Dans un article additionnel, il est donc désormais précisé que "le nombre maximum d'apprenants par session de formation est de 15 maximum pour a minima un formateur".
La notion de "recommandation pédagogique" est par ailleurs remplacée par celle de "proposition pédagogique" à plusieurs occurrences dans le texte.
En février 2019, les députés ont adoptés une proposition de loi relative aux gestes qui sauvent, en attente d'examen par le Sénat (cf dépêche du 20/02/2019 à 16:17).
(Journal officiel du 19 juillet 2019, texte 24)
bd/vl/APMnews