État de lieu de la prescription de la morphine pour les urgences non traumatique aux urgences de Bizerte
Diffusé le 16/10/2020Elhem MCHIRGUI (1), Ichrak RDHAOUNIA (2), Maha TAMEDDA (3), Eya JABNOUN (4), Zeineb ABID (5), Imen RIAHI (5), Ahlem NABLI (2), Abir HAJ AMOR (2)
1. service des urgences, CHU de Bizerte tunisie, Ariana, Tunisie
2. service des urgences, CHU Habib BOUGATFA, Bizerte, Tunisie
3. urgences, HU Habib Bougatfa de Bizerte, bizerte, Tunisie
4. urgences, CHU Habib Bougatfa de Bizerte, Bizerte, Tunisie
5. urgences, HU Habib Bougatfa de Bizerte, Bizerte, Tunisie
2. service des urgences, CHU Habib BOUGATFA, Bizerte, Tunisie
3. urgences, HU Habib Bougatfa de Bizerte, bizerte, Tunisie
4. urgences, CHU Habib Bougatfa de Bizerte, Bizerte, Tunisie
5. urgences, HU Habib Bougatfa de Bizerte, Bizerte, Tunisie
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Introduction :
La douleur est un motif de consultation fréquent aux urgences. Sa prise en charge nécessite de poser le diagnostic étiologique et d'évaluer son intensité afin de prescrire des antalgiques adaptés.
La morphine est le traitement antalgique le plus puissant. Son utilisation est requise dans les situations où les antalgiques de niveau 2 sont insuffisants ou d'emblée devant une douleur intense.
Objectif :
l'objectif de notre étude était de décrire les caractéristiques épidémio-cliniques des patients traités par morphine à notre urgence pour des douleurs non traumatiques.
Patients et méthodes
Étude prospective, descriptive et mono-centrique incluant les patients traités par morphine aux urgences sur une période de sept mois entre mars 2015 et septembre 2015.
Résultats
179 patients ont été colligés. La moyenne d'âge est de 44.63 ans ± 13.75 avec un sex-ratio de 1.26.
Les indications au traitement morphinique étaient dans 81.6% des coliques néphrétiques, 6.1% de douleurs abdominales, 5% des douleurs d'origines néoplasiques, 3.9% des névralgies, 2.2% des syndromes coronariens aigus et 1.2% des céphalées.
le recours à la morphine étaient dans 98% après échec des antalgiques de palier 2.
Les effets indésirables constatés étaient une somnolence à un stade 1 à l'échelle de sédation dans 1.5% des cas et des vomissements dans 3% des cas.
Le maximum de consultation pour une douleur nécessitant le recours à la morphine a été noté vers 5 heure du matin et entre 18 heure et 21 heure.
L'admission dans un service spécialisé a été indiquée dans 25.1% des cas.
Conclusion
La douleur est une sensation souvent mal vécu par le patient. Sa prise en charge doit être efficace et muti modale nécessitant parfois le recours à la morphine.
La douleur est un motif de consultation fréquent aux urgences. Sa prise en charge nécessite de poser le diagnostic étiologique et d'évaluer son intensité afin de prescrire des antalgiques adaptés.
La morphine est le traitement antalgique le plus puissant. Son utilisation est requise dans les situations où les antalgiques de niveau 2 sont insuffisants ou d'emblée devant une douleur intense.
Objectif :
l'objectif de notre étude était de décrire les caractéristiques épidémio-cliniques des patients traités par morphine à notre urgence pour des douleurs non traumatiques.
Patients et méthodes
Étude prospective, descriptive et mono-centrique incluant les patients traités par morphine aux urgences sur une période de sept mois entre mars 2015 et septembre 2015.
Résultats
179 patients ont été colligés. La moyenne d'âge est de 44.63 ans ± 13.75 avec un sex-ratio de 1.26.
Les indications au traitement morphinique étaient dans 81.6% des coliques néphrétiques, 6.1% de douleurs abdominales, 5% des douleurs d'origines néoplasiques, 3.9% des névralgies, 2.2% des syndromes coronariens aigus et 1.2% des céphalées.
le recours à la morphine étaient dans 98% après échec des antalgiques de palier 2.
Les effets indésirables constatés étaient une somnolence à un stade 1 à l'échelle de sédation dans 1.5% des cas et des vomissements dans 3% des cas.
Le maximum de consultation pour une douleur nécessitant le recours à la morphine a été noté vers 5 heure du matin et entre 18 heure et 21 heure.
L'admission dans un service spécialisé a été indiquée dans 25.1% des cas.
Conclusion
La douleur est une sensation souvent mal vécu par le patient. Sa prise en charge doit être efficace et muti modale nécessitant parfois le recours à la morphine.
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